Lui, Sacha, incompris....[FIN]

Je vais mettre le début de la partie 2 ce soir....alors patienter un peu ! =D

Voici la suite ! (= enfin la partie 2 ^^ j'espère que vous allez aimé autant que la première partie..(= bonne lecture.
ps: je fait une pub pour mon OS que j'ai recement ecrit il y a quelques jours..pour ceux qui veulent le lire xD

Partie 2:

Il était dans le coma. Personne savait quand il se réveillera.
J'avais peur, je me sentais coupable. Cela me rongeait... Je me sentais complètement nulle, et inutile. Sa situation était critique, même plus...
Le médecin, n'avais pas voulu nous dire ce qu'il avait exactement, avant la présence de la mère de Sacha. Je n'avais pas compris son choix. Quand je voulu savoir pourquoi, tout ce qu'il m' avait dit, c'était qu'il devait suivre la consigne qui était inscrit sur son dossier médical. C'était louche. Cette affaire était vraiment suspecte. Pierre avait prévenu Délia, qui elle, sera là aussi vite que possible.
Du coup, on attendais Délia dans le couloir en face de la chambre
de son fils, assis sur des sièges. Pierre avait encore le sac de notre ami en main. Je lui pris délicatement sous son regard interrogateur. Je lui expliqua, que je voulais lire son carnet, pour soutirer des informations sur son état actuel. Au début, il ne voulut pas, car cela violerai son intimé,comme il le disait. Après quelques minutes d'argumentations,il a dû admettre que je n'avais pas tort. Il me disait qu'il ne voulait pas le lire, d'abord, préférant ne rien savoir.
J' acquiesça son choix, puis je pris le fameux carnet dans mes
mains.
Je l'ouvris délicatement, un peu comme un trésor. Un
trésor que j'avais peur de découvrir quelque chose d'épouvantable...
Je découvris une très belle écriture, venant de lui, cela m' étonna. Je ne le savais pas aussi soigner.

«Si jamais vous ouvrez ce carnet, sans doute, qu'il m'est arrivé une chose grave... »

Rien qu'en lisant la première phrase, mon pouls ne pu s' empêché
de pulsé rapidement. Mes mains devinrent moines. J'avais soudainement peur. Peur, un mot trop faible pour décrire ce que je ressentais face à cette phrase, qui a, plusieurs sens. Elle résonna plusieurs fois dans ma tête, je fut stopper dans mon élan. Je n'osais plus découvrir la suite. Il le fallait, il faut que je sache pourquoi il avait écrit cette phrase, et peut-être, je découvrirai pourquoi il est tombé dans le coma. Avec une détermination sans faille,je me plongea de nouveau dans le mystérieux ouvrage.

«Je m' appelle Sacha Ketchum, adolescent banal aux hormones folles,comme le reste du monde, du moins, ce que j'en sais...
Rêve d'être Maître Pokemon et de découvrir au mieux le monde...
Ironique,vous dites ? Pourquoi j' écris sur ce carnet sans importance?
Je voulais juste décrire mes combats. Non, pas ceux des matchs en
tant que dresseur. Le combat, le mien, mon quotidien...
Vous vous demandez de quoi je parle ? Vous le saurez sûrement un jour, en tant voulu.
J'écris comme si je fuyais mes craintes, j' écris, pour oublier que j'existe....un goût dramatique ? Peut-être je n'en sais trop rien...
Ce fut plus fort que moi, il fallait que je dépose mes armes, et que je me dévoile...
Cela me suffoque, cela me ronge jusqu'au plus profond de moi. Ma
respiration saccager par cette monstruosité, essaie de résister. Je sais que peu à peu tout mon être sera dépendu. Je me résous à cette fâcheuse
décision. Que pensez vous? Je suis et je resterai le même...
si je pouvais être vraiment moi...
Avec des si, on pourrait refaire le monde ! Cette phrase cliché qui
m'entaille à en vomir. J'ai horreur des soit-disant banalités,
ces stupidités qui arrivent malgré moi à m'enfoncer plus bas que terre...
Je m' accroche et je respire...j' adore cette phrase, j'ai l'impression
qu'elle me désigne, qu'elle me représente.
Tout me semble dérisoire et précieux à la fois.Tout... tout sans la moindre exception. Lors de ces instants d'écriture, je me sens libre, je me sens enlevé d'un poids, je n'arrive plus à garder mon masque. Je me faufile
à travers les mots, à travers les phrases où la ponctuation fait la guerre à mes fautes d' étourderies.Je parcours mes pages vierges de mots, qui hurlent de ma dépendance.Je cris sur le papier, je m' étouffe. L' encre, mon ami, mon ennemi, se perds sous mes gestes abusifs, à travers mes doigts, où le stylo ose me dominer.
Je cherche à comprendre encore, comment cela put se passé? Mais il n'y a rien à chercher... Mon coeur ose me faire mal,comme si ma langue était mordue, lors d'un geste brusque:c'est douloureux et passager. On sent les muscles se contracter, cela picote, c'est une sensation désagréable, et cela reste toujours aussi douloureux même après le geste fatal, après une heure, après une journée...
Je ne comprenais pas ce que j'avais, je me suis senti étrangement
différent, un peu dérangeant. Je me surpris à faire des gestes que je ne faisait plus depuis fort longtemps, ces gestes qui trahissaient une douleur, un mal. Ce jour-là, j'ai eu la confirmation. La triste vérité, que je ne voulais
pas voir en face, était beaucoup plus présente qu'avant.
Avant...c'était il y a longtemps. Il y a deux ans. Avant...c'était ce
souvenir, c'était ce geste normal, banal. C'était inévitable, c'était inscrit un peu dans le temps. Personne à vu venir, c'était tout bonnement facile,
normal, trop normal... »

De quoi parlait-il ? Que c'était passé il y a deux ans ?
Je ne le connaissait pas encore à cette époque, enfin pas assez...
Ma curiosité me mit à l'épreuve. Je continua de lire.

«Il m' entaillait, il me trahissait. Il m'avait déjà tout contaminé.
Cela me ronge, me boussille mes entrailles, cela me rend fou. Il à
osé s'attaqué à mon souffle, à mon sommeil. J'ai l'impression de devenir un pantin, où l'avenir me tire les ficelles, qui décide, quel chemin prendre. Un
jouet, je suis tout simplement un jouet meurtri par le destin. Je voulais fuir. Fuir et prendre le courage d'être lâche et partir loin. Loin de tout, loin de cette prison d'argent qui m'étouffe. Fuir, et encore fuir. Courir , jusqu'à
s'envoler, et pouvoir toucher cette liberté de mes mains tremblantes. Partir... Je n'arrivais plus à faire un seul mouvement. Alors je m'échappe dans les pages, où les mots écrits me rassurent... je suis libre à travers les lignes que sûrement, toi, cet(te) inconnu(e) qu'il lit en ce moment- même. J'imagine encore ma vie sans cette maudite douleur, cette violence. Oui, c'est une violence, où tout mon être est soumit. Mon corps essaie de combattre, de ne pas relâché.
Cette chose à réussi à entrer dans mes organes, dans la moindre parcelle de ma peau, jusqu'aux extrémité de mes lèvres, passant par mes paupières déjà fatigué par l'effort. Je suis condamné avant d'avoir pu faire un seul geste pour vaincre.
Ce jour-là, où ma conscience à voulu se perdre dans le néant de l'obscurité de la descente des enfers. Ce jour, où je me
suis pris un malaise, et que je me retrouva dans un hôpital.C'était il y a déjà plusieurs semaines, au début de mon voyage. »

Je n' étais pas encore avec les garçons, et bizarrement,je n' étais pas au courant de son malaise. Mon coeur se serra.Qu'avait-il ? Je ne le reconnaissait plus à travers ces lignes. Ce n'est pas le Sacha que je connaissait tant. Ma curiosité me poussa à continuer à lire la suite.

«Ce jour-là, qu'il doit se marquer en rouge sur le calendrier,
tellement c'était une grande chute pour moi. Je m' étais cru m' effondre, comme si je titubais au rebord d'une falaise, prêt à tomber. Le médecin m' avait hanter de ces mots où la nouvelle me fut comme un coup de poignard en plein coeur. Les débris d'un souvenir à su ouvrir une blessure atroce,
plus profonde que je croyais. Je me suis senti vulnérable,complètement inutile. Le discours du docteur résonna encore dans ma mémoire, comme un échos qui ne veut pas s'arrêter, qu'il veut m'anéantir sans excès, douce et dangereuse souffrance.
Je devais accepter cette contrainte de ma vie, cette bataille, je devais la subir, la gagner, mais je sais d'ores et déjà que j'avais déjà perdu la guerre.
Aujourd'hui, est un autre jour, une nouvelle bataille, une nouvelle découverte, où je veux que mes yeux s' étonnent encore. Je voudrais
encore que les lendemains m' émerveillent toujours, et que rien ne pourra m'arrêter, surtout pas cette chose qui a su s' incruster à jamais en moi. Une amie à moi, nous a rejoint. J'étais très content, car cela fait longtemps que je ne l'avais pas vu.»

Je me sentais concernée par les deux dernières phrases de
cette page. A vrai dire, je ne pensais pas qu'il m' inclurai dans son
journal. Je regarda l'heure, cela fait que vingt minutes qu'on était dans le couloir. Je tourna la page et commença à lire les premières lignes en silence.

enfin le secret commence à être dévoilé, il a une maladie grave et lente on dirait

XD.

J'aime beaucoup ton histoire hein c'est pas sa mais franchement?

Qui peut imaginé Sacha parler-écrire aussi bien? Lool. Sa me choque sérieux.

Sinon j'adore. Suite. ^^

ba mercii ça me touche ^^
je mettrais la suite demain dans la journée (=

J'adore!

Surtout les écrits de Sacha Very Happy

^^
Je me demande ce qui va arriver a Sacha....
J'ai hâte de savoir la suite! Very Happy

Et voilà la suite ! (=

«Quand j'y pense c'était ma première amie lors de mon
début de mes aventures dans le monde pokemon. Notre rencontre
était assez originale...
Je l' avoue, je suis fière d'être son ami. Je ne sais pas,elle a ce petit quelque chose qui la démarque des autres, ce truc que je ne sais ,qui malgré moi me hante. »

Je ne pu m' empêché de rougir face à cette révélation. Moi aussi je suis ravie de l' avoir croisé et d'être devenue son amie. Je ne vous cache pas, que j' aurai bien voulu avoir une place plus importante dans son coeur, mais là n'est pas la question de cette situation. Sacha était inconscient et je devais trouver des réponses dans ses pages rempli d'encre.

«Une nouvelle fois, j' essaie de faire une lettre à ma mère,
mais en vain. Les mots ne veulent pas sortir, je ne pu les écrire...
Cela fait plusieurs jours que je devais lui envoyer, mais ma main se
bloqua devant la feuille blanche. Mon ventre semblait se replier, et je sentit une douleur affreuse qui était synonyme de culpabilité et d' angoisse. La crainte de mettre ces mots, de peur qu'elles brûlent le reste de la lettre.
Je n'arriverai jamais à flancher cette phrase qui prend toute le sens de la pure réalité qui m' enfonce peu à peu dans cette densité de froideur qui glace mes émotions et mon corps tout entier. »

Alors il y avait bien une raison pour l'absence de nouvelles pour Délia. La pauvre, elle était morte d' inquiétude. Je n'arrivais toujours pas à comprendre qu'est-ce qu'il a exactement. Je repris ma lecture avec plein de questions en tête.

«Je savais qu'elle allait s' inquiété si je n' envoyais pas de mes nouvelles, mais je restais toujours aussi crispé face à cette maudite feuille blanche qui me narguais. Comme si elle devait me forcer à couler l' encre et à dévoilé cette nouvelle tout bonnement fatale et méprisable. Je la
maudissait, cette fichue feuille blanche... J'avais décidé de ne pas envoyer de lettre, malgré le fait que ma mère n'aura pas mes nouvelles par écrits.
J' attendrais la prochaine ville pour l'appeler.
La journée est passée. Quand je suis parti chercher du
bois pour faire le feu, j'ai cru voir trouble. Je voyais flou pendant une ou deux minutes qui me semblait des heures, tellement cela m'angoissa. Je ne suis pas du style de personne qui avoue d'un trait ce que je ressens, j'avais vraiment peur. Oui, la peur avait réussi à m' emparer de moi lors d'un court instant. Je l' avoue, je me sens fatigué. Au début j'ai cru que c'était à
cause de cela, la fatigue, mais cela m' intrigua trop. Je savais...ce n'était pas à cause de cela. C'était ce produit,ce lugubre poison qui traversait, et qui restera dans mon corps.J'avais cette sensation d' impuissance, cette incapacité de contrôler me déplaisait fortement. Ce trouble, ce flou
était un signe que tout commença que ce poison agira selon lui. Cette semblable maladie me faisait accroître ma rancoeur, ma désillusion de vie, qui est maintenant amer depuis sa présence, depuis son départ...»

Je commençais enfin à comprendre. Sacha était malade. Très gravement, à ce que je peux lire sur ce carnet. C'était impensable. Ce que j'ai compris, c'est qu'il avait un poison dans son corps ? ...ou bien une maladie ? C'était encore trop incertain. Fallait que je sois sûr, alors je
continu à lire, malgré le choque qui me rendait nerveuse...

« Je repensais encore au diagnostic du médecin, je n' arrivais
pas à le retirer de ma tête, cela me rendais presque fou. Je ne voulais pas croire. Tout ceci n'est qu'un cauchemar, il faut juste que je me réveille. La fatigue me rattrapa. Ma tête commença à tourner à force de vouloir croire
à un mirage.
Une journée qui commence parmi tant d'autres... Quand je me suis
réveillé ce matin, je me suis rendu compte qu'on était qu'à l'aube. Je
n' arrivais plus à m' endormir. Mon ventre cria famine, mais je ne voulais pas me bouger. J'étais bien dans cette tente, dans ma couverture. On se demande pourquoi j' écris encore dans ce fichu carnet? L'envie... juste l'envie d'écrire. Je me suis aperçu que je n'avais pas manger le dîner de la veille. J'étais déjà assoupi sans me rendre compte. Je me glissa dans ma couchette qui était inutilisé la nuit dernière.
Je pris mon traitement dans le plus grand secret. Personne ne sait que je prends des médicaments pour cette chose que je n' ose prononcer qui se décide d' habiter dans mon organisme. Je ne veux pas que mes amis s' inquiètent pour moi, je ne veux pas de leur pitié.
Le docteur m'a gentiment prescrit mon traitement pour une durée
indéterminé. Je dois prendre certaines gélules tous les jours, et d'autres pour certain en cas de fièvre ou de douleur. Je les cachent précieusement au fond de mon sac, où il y un une poche secrète que j'ai perforé il y a quelques temps déjà. A la base, je ne savais pas pourquoi j'avais fait cette poche, mais maintenant je vois l' utilité.
Malgré cela, j'ai l'impression qu' Ondine ( c'est l' amie qui est venue dernièrement) perçois, que je cache bien quelque chose.j'espère qu'elle ne saura pas...pas avant que tout soit chambouler.
Le docteur m'a prévenu que les effets pourraient m' emmener à
une incapacité de mon corps, sinon, que je peux perdre mes sens comme l'usage de la parole, l' ouïe, la vue et même le goût ou bien je peux tomber dans le coma, perte mémoire...J'ai le choix ! Mais seul le destin décidera. Je suis bel et bien une marionnette, un prisonnier qui attend son jugement.
Quelquefois avec Ondine on s' embrouille, on se dispute pour des choses tellement futiles, tellement rien... Mais je ne peux m'empêcher de la faire crier, de rage, de peur, de rire.... Je veux encore profiter de sa voix, entendre encore et encore ses cordes vocales. J'ai peur que mon ouïe parte. Elle ne comprend pas,elle me juge, mais c'est normal, j'aurai fait pareil à sa
place, je sais que je suis énervant des fois. Je ne peux pas m'arrêter, je suis comme un aimant qui est attiré par sa voix...
C'est drôle, quand on y pense... Je suis absorbé par une voix.
Voilà, c'est cette voix qui me donne encore envie de m'accrocher à la vie. Je veux encore profiter de sa voix. Je préfère que cela soit cette voix qui me percent les tampons que ce poison qui coulent dans mes veines. Chaque jour, je prie intérieurement que je l' entendrais encore, pour me rassurer que, oui, j'entends toujours... »

encore! encore! (demain au plus tard stp j'aimerais la suite avant que je parte)

je mettrais peut-être la suite ce soir, sinon c'est demain...
tu pars quand ?
De toute façon, a partir du 13 la fiction sera en pause, car moi aussi je pars...xD

je pars lundi, le 8 donc après-demain

» La vengeance de Sacha ! (suite du cahier de Sacha)
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» mais ou est Sacha ?
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