Lui, Sacha, incompris....[FIN]

Coucou (= alors comment vas depuis la dernière fiction ? ^^
Cet apreme, je ne sais pas ce qui m'a pris, j'ai eu l'inspiration soudaine, du coup je n'ai pas arreter d'ecrire, et voila le résultat ! je vous dis franchement je ne sais absolument pas ce que je vais ecrire ensuite.... Donc pour la suite, je pense que cela va m'étonner, car je n'ai pas vraiment d'idée...même que j'en ai aucune --" , ça viens tout seul xD donc, c'est mon délire du moment... hihi, jespere que cela vous plaira...
ps: je pense que cela dura plus de temps à ecrire qu'a rapport aux précedents... vous trouver pas que je me suis amelioré depuis la premiere fiction " le cachier de Sacha" ?

Lui, Sacha, incompris...

Abréger mes souffrances rien qu'en l' insultant, c'est lâche. Je devais me sentir supérieure, me sentir bien...
Voilà, le problème, c'est lui.
Lui de toute sa splendeur. Je l' avoue, je ne pu m' empêcher de le regarder encore et encore. Comme une drogue, je suis indépendante de lui.
Il ne comprend rien de moi, il est si innocent à vrai dire...
Je voulais tant lui dire, mais les mots se sont évaporés avant qu'ils quittent ma bouche.
J' abuse peut-être trop de son temps, mais je n' arrivais plus à me séparer de lui. C'était, comme on pourrais dire, mon ami.
J'ai pris conscience, que ma vie sans lui serai tellement différent ! Est-ce en mieux ou en pire ? Personne ne le saura vraiment...
Je voulais tant, qu'il s' aperçoit de ma présence, je veux dire, la vraie, celle que je suis vraiment, et non, celle qui se cache derrière une carapace difficile à cerner.
J'ai essayé d' oublier ses sentiments envers lui, mais j'ai compris que c'était plus difficile que je croyais, quoi que le temps me fasse, malgré les absences et les souvenirs, je ne pu m' empêcher de l' admirer, de
l' observer, de l' aimer...
Voilà, c'est dis. Je l' aime.
Moi Ondine Williams, est tombée dans le piège de la folie de l' amour.
Je suis tombée amoureuse de Sacha Ketchum.
Au début, je ne me suis pas rendu compte, je le haïssais presque en vrai.
Mais j'ai appris à l' accepter tel qui l' était, et malgré ses défauts, ses colères, ses gamineries, j'ai dû me résoudre que mes sentiments avaient changer depuis un moment.
Maintenant, je le regarde différemment, je le perçois d'une autre façon, d'un autre point de vu.
Suis-je devenue plus mature ? ou peut- être trop amoureuse...
Sûrement un peu des deux.
J'ai voulu le cerner, le découvrir sous son vrai visage, pas celui du dresseur, mais celui de Sacha. Le Sacha, le vrai, celui avec des sentiments, celui avec des regrets et des peurs, l'humain.
Je connaissais par coeur son coté passionner, son coté dresseur, ses qualités lors d'un match.
Mais voilà, je me suis aperçu que je ne connaissais que cette facette de lui. Cela me semble bizarre d'un coup, de se dire, que peut-être il cache quelque chose, un secret, un souvenir lourd. Peut-être que je fais des idées, mais cela me semble plausible...
Avec lui, je ne connais qu'une seule chose: la nourriture.
Un vrai gourmand. Je crois que tout le monde avait remarquer...
Tout le monde ? Je ne suis pas si sûr...
Comment se fait-il qu'il soit si accrocher à ses deux activités, si je peux me le permette, manger et défier les champions.
C'est ironique, dans le fond, je m' aperçois, que je connais rien de lui, si on devait enlever ces deux choses, ces deux passions.
Je me demande s' il sait plus de choses sur moi que moi sur lui. Je sais qu'on a tous à cacher un truc, un débris d'un souvenir, une douleur, une honte, un remords, un sentiment, moi la première.
Malheureusement, ou heureusement- que je sache- pour lui, il
n' échappe pas à la règle.
Je m' abstiens de tout commentaires, quand les disputes éclates...je fais comme si ne rien n' étais, je cris bien sûr, je devais le réagir, le laisser dans ses émotions: c'est compliqué.
Ses sauts d' humeurs, ses rires, ses sourires...l'impression que quelque chose cloque. Il y a t-il du vrai dans ses gestes , dans ses mots ?
Son orgueil, qui est, je l' admets aussi fort que le mien, semble si important pour lui. Pas que j'en doute de ses capacités, juste que cela me préoccupe plus que je le dois. C'est si simple, quand on y pense.
On se hurle dessus, on ne s' excuse nullement, on rejettent la faute sur l'autre. Je suis prête à faire le sacrifice de ma fierté, j'ai juste l'impression de faire trop. Il y a des jours, où j' aimerai qu' il reconnaît ses fautes, ses mots blessants, ses actes. Je sais que ce souhait banal ne sera pas réaliser. Dans le fond, je m' en moque un peu- juste un peu- car je sais que malgré moi, cela me fais mal, au plus profond de mon âme.
C'est quelque chose d' entendre des mots fatales, de voir des gestes coriaces, mais que cela vient d'une personne qu'on y tient, cela peut vraiment, mais alors là , vraiment très très mal. La douleur ne fais que s' accroître au fil du temps. Il suffit quelquefois quelques mots pour tout achever, comme pour tout oublier: au moins s' excuser.
Une action que je voudrais tant pouvoir le faire avec lui: pardonner.
Je n'en doute sûrement pas, qu'il a du avoir des regrets après certains moments de rage.
Comment voulez-vous que je sache de lui, tout ce qui me dis pas ? On se parle, mais cela fini souvent en silence.
J'en ris. J'ai l'impression de vivre dans une illusion. Cela me paraît si ironique, si fragile...
Je voudrais être l' aiguille qui éclate sa bulle; être la lumière de son monde qui me paraît plus sombre qu'on croirai.
Je voudrais juste le comprendre mieux, le soutenir dans chaque épreuve comme toujours.
Ce dont, que personne ose, affronter la vie, affronter la vraie, la pure, la réalité, qui est sans doute lié au passé.
Je m' enfonce dans son monde, en tout cas j' essaie, pour enfin
l' appréhender.
Il m'a l' air mystérieux, comme un morceau de lettre où les mots sont à moitiés effacer, et que je voudrais tant déchiffrer.
Il me paraît existant, trop vivant...il à ce détail qui me trouble.
Non, je ne comprends pas. Il y a un truc qui ne va pas. Je ne sais pas c'est quoi exactement, mais c'est lié à lui.
Lui, Sacha Ketchum, semble trop – encore trop – sûr de lui.
Mais ce jour là, j'avais compris que je trouvais aucune faille... ce détail qui me brûlais, je n' arrivais pas à trouver cette chose, ce futile détail qui donne toute son importance.
Cela me semble injuste, j'ai l'impression qu'il a l' air tellement seul, pourtant si entouré. J'ai de la compassion, presque de la pitié pour lui.
Que croyez vous ? J'ai un coeur, et j' aimerai le partager avec lui. Dédier la moitié, pour lui. Mais je n' ose.
J'ai trop peur de casser notre amitié, trop peur de sa réaction, trop peur des émotions. Je n'arrive pas à dire ces mots qui ont tout leur sens, ces mots tendre et inavouables.
L' angoisse de ne jamais pouvoir lui dire, me semble incompréhensible.
Ces sentiments, qui me rend impuissante et si forte à la fois. Je le fais pour lui, je tiens, je marche encore, la seule raison de vivre, est lui, tout simplement. Il a cette chose qui me fait de moi un aimant. Il
m' attire, je le suis, comme une fan qui suis les traces de son idole.
Pourtant, il y a un mais.
Une sorte de cassure qui laisse une petite ouverture sur la paroi, qui
l' entourais. J'ai su me faufiler à travers cette faible lumière.
Je n' osais à peine croire. Il était si différent, j' imaginais tout sauf ce que je voyais en face de moi: lui, le vrai.
Quelque chose en moi, fut plus fort, un sentiment, une émotion...
Mes larmes ont ruisselé sur mes joues rougis par la chaleur de mon être. Je n'arrive plus à respirer normalement, c'est trop fort, cela fait mal comme cela fait du bien. C'est tout simplement incompréhensible.
Tout bonnement impossible, cela ne peux pas être...non...
Je ne su quoi dire quand je l'ai découvert. C'était certainement trop tard. Saccagé par les mots...les mots, encore des mots, toujours des mots...marre, tellement marre. Maintenant , je comprends. Ce détail, ce fameux détail c'était lui, entièrement lui. Le détail c'était Sacha, de toute sa personne. C'était ton son être...
Comment expliquer cette situation délicate ? Comment raconter les évènements qui à accentuer ce mal-être ? Je me suis sentit si faible.
J' étais tellement inférieure à lui. Il était plus fort que je croyais, il était déjà blesser.
Il est, il était, et il le sera toujours le même...
Comment j'ai fais, pour ne pas apercevoir sa détresse, ces messages d'un mal-être, d'une obscure mélancolie ? Je me traître d'idiote,
d' imbécile, de naïve, d' égoïste.
Les signes étaient là, juste devant moi, et j' étais aveugle...
Il a voulut tout simplement oublier. Personne a pu l'aider, personne
l' a su.
Vulnérable, c'est le bon terme pour désigné cette situation critique.
Son malheur s'est agrandi peu à peu chaque jour, sans que je pu le concevoir un peu de répit. C'était un peu de ma faute, il faut avouer.
Je ne su quoi dire, quand j'ai découvert cette nouvelle personnalité qui était vraiment la sienne, celle qui à tout simplement caché. La question est pourquoi ?
Et si je vous raconte l'histoire ? En tout cas, je vais essayer de vous la raconter...il faut bien que vous comprenez mes angoisses, mes peurs, mes appréhensions, mes folies... tout ce que je ressens...
Alors, oui, je vais vous la conter.

suis-je le seul à avoir fait un effort surhumain pour comprendre ce qui est écrit? Surprised

à par ça c'est un super début

mdr j'avoue que c'est un peu ( beaucoup) flou, mais il y a une part de mystere xD
j'admets que c'est un peu dur à comprendre (=
merci ^^ hihi

Nombre de messages : 5727 Age : 27 Date d'inscription : 05/09/2010

J'adore !!

très bon début Very Happy

hâte de lire la suite =) !!

La police d'écriture bousille mes yeux >.> ^^. En fait, c'est la police qui ne permet pas de distinguer les lettres^^.
Sinon, cela annonce une suite:

Suite cheers

Super bien écrit comme d'hab même sans poemes =D

je suis en train d'ecrire une suite, aussi je vous previens, que je posterai surement irrégulierement, je peux poster plusieurs fois par jour, ou meme je pas poster pendant quelques jours... ^^ puis a partir du 13 aout, je n'aurai pas acces a internet...

DrakoloB: c'est la couleur qui te fait mal au yeux ou l'ecriture ?

la police (=ecriture^^). On va plutot dire que c'est le fait que tu as tout mit en gras. Les lettres ressemblent a des patés xD ('fin, peut etre que c'est mon ordi)^^

Drakoloß a écrit:: la police (=ecriture^^). On va plutot dire que c'est le fait que tu as tout mit en gras. Les lettres ressemblent a des patés xD ('fin, peut etre que c'est mon ordi)^^

xD ouai jsais que ecriture=police ( jaime pas mettre police, ça fait trop...Trop POLICE mdr)
mais je vais mettre la suite sans mettre en gras, peut-etre que c'est miieux (;

alors voila j'hesite, je ne sais pas si je fait des poemes:
- lié a la fic ( ex: comme avec "les mots") ou il a des phrases et des textes lié juste aux situations...)
OU
- je fais des poemes mais dans le style qu'un des personnage les trouvent dans un cahier , un truc dans le genre...
Ou
- Je fais aucun poemes xD

Partie 1:

Cela fait plusieurs mois que j'ai dû arrêter de voyager avec mes amis, Pierre et Sacha, pour retourner à mon arène. Mes soeurs avaient décidé de se reposer et de me laisser toutes les responsabilités de l' arène. Pendant ce temps, elles font shopping sur shopping.
Elles profitent du bon temps, pour partir quelques jours de temps en temps en vacances, disaient-elles.
Voilà, aujourd'hui est l'un de ces jours de vacances où mes soeurs
sont parti sûrement bronzés sur une plage à l'étranger, pendant que moi, je m' occupe de mon activité. Comme la plupart du temps, elles partirent sans me dire un au revoir.On va dire que je me suis habituée à leur caprices.
Ce matin, je me suis levée, seule, où le silence m' apaisait. Vous savez, ce silence, où la sérénité était la plus grande délivrance.
Mais à ce moment-là, la solitude me pesait plus que d'habitude. Je me sentis déprimé. Je repensais aux
souvenirs avec mes amis, lors du voyage. Tout me manquait. Cela fait longtemps que je n'ai plus eu de nouvelles de Sacha et de Pierre.
Pendant que je nourrissais mes pokemons, je rêvassais, je m' imaginais encore avec eux, sans doute dans une ville, où je faisais à chaque fois, de tenir tête à Sacha lors de nos disputes sans importances, et que j'essayais d'éviter à Pierre de draguer toutes les filles de son passage.Oui, il y avait une pointe de nostalgie qui me dévastait. Je n'en pouvais plus de cette routine infernale, de ce monotone qui semblait m'assombrir de plus en plus dans la dépression. J'avais envie,
de sortir, de m' aérer. Je voulais casser les murs, et sortir de cette prison d' or. Pourtant, j' aime ce que je fais. J' adore mes pokemons et faire des matchs. C'est juste que c'était trop répétitifs, trop maussade. Je voulais de l'action, découvrir des nouveaux horizon, rencontré des gens. En fait, je voulais tout simplement retrouver mes amis ,et partager des moments inoubliables.

Pendant tout l' après-midi, je n'ai fais que des combats. Les pokemons étaient épuisés, et moi aussi. Je n'ai donné aucun badge.
Je suis parti donner mes pokemons à l' infirmière Joelle. Sur le chemin, j'avais rencontré la mère de Sacha: Délia.
Je me demandais ce qu'elle faisait ici. Elle m' avais raconté qu'elle était parti voir une amie. Elle avait un beau sourire.J'avais appris, que cela fait longtemps qu'elle connaissais cette amie, et qu'elle souhaitait que mon amitié avec Sacha dure aussi longtemps que la sienne. Je fut touchée.
Puis lors que j' entamais le sujet de Sacha, pour savoir des nouvelles de lui, j'ai vu son visage se changer. Elle avait l' air inquiète. Mon coeur battais plus vite face à cette angoisse. Ce n' étais pas le style de Sacha de laisser sa mère dans l' inquiétude. Malgré qu'il m' appelle rarement, je sais que, toujours Délia avait des nouvelles se son fils. Cela me paraîssait insensé. Cette situation était anormale.
Pour essayer de la rassurer, pour lui faire changer d' idées, et d' oublier cette sensation qui ronge en fond de nous à cause de cette inquiétude, je lui proposa un thé chez moi. Au début, elle ne voulut pas, croyez ou non, après quelques minutes, elle avait accepté mon invitation. Il y a des fois, où j' arrivais très bien à persuader les gens.

Dans la cuisine, Délia était installée sur une chaise haute. Pendant que je faisais chauffé l'eau, elle me complimenta sur la décoration. Récemment, mes soeurs et moi avons décidés (même si je l' avoue c'était plus mes soeurs qui avaient décidés) de changer un peu la décoration de l' arène, qui est aussi derrière la salle de combats, un grand appartement. A l' étage, au dessus de la salle de combat, il avait les chambres d' amis, et des
pièces de débarras, comme des greniers.
Après avoir servi le thé à mon invitée, je m' installa en face d'elle. Le sujet de Sacha, revenait à galop. Cela fait plusieurs semainesqu'il n'avait plus donner de nouvelles. Je remarquais, que moi aussi cela fait longtemps, que je n'avais plus reçu de lettres de sa part. Je savais que Pierre et Sacha faisaient des lettres communes.
La dernière fois que j'ai eu un coup de fil, c'était de Pierre, il y avait un peu plus d'une semaine. Je rassura Délia, en disant que j'ai eu des nouvelles de mon ami. Je la voyais angoisser, stresser. Ses mains se tordaient, ses doigts crispés en disaient long sur ses émotions. Comment ce fait-il que Sacha ne donne plus de nouvelles ? Cela m'
enragea intérieurement. Après une heure à discuter, elle parti rentrer chez elle.
Je ferma mon arène. Le silence s' incrusta. Mes pas résonnèrent,
les minutes paraissaient des heures. Je me souciais. Je regardais
dans mon ordinateur portable, mes e-mail, mais aucun était de Sacha. Sa mère avait réussi à me contaminé son inquiétude. J'avais peur qu'il lui était arrivé quelque chose. J' essayais de ne pas imaginé le pire. Sans doute, qu'il a eu un petit problème avec la poste, donc cela serait logique, que je ne reçois pas de lettres, non ?
Peut-être qu'il est en pleine forêt donc, il ne peux pas m' appeler.
Oui, ces idées me semblent correctes. Cela ne me rassurèrent guère, à vrai dire...

Plusieurs jours plus tard, mes soeurs sont revenues. Elles avaient bronzés. Elles me racontèrent ce qu'elles avaient fait pendant leur
séjour, cette fois-ci c'était en France, à Marseille. Je me demande où elles trouvent tout l' argent pour faire plusieurs voyages dans l'année. Puis elles me parlèrent de garçons, cette conversation me faisaient penser à mes deux amis, et plus particulièrement à Sacha.
Puis, impulsivement, sans vraiment me rendre compte de mes mots, je leur hurla dessus. Je n'en pouvais plus, fallait que cela sorte de moi. Ma rage, mes peurs, mes angoisses, toutes ces émotions ont étaient éclatées. Elles me regardèrent avec leur gros yeux , stupéfaites.
La situation aurai pu être drôle, mais je n'avais vraiment pas le coeur à rire. Je leur avais lâché mes mots fatales, que j'en avait marre de ma solitude, d'être enfermer en quatre murs, et qu'elles en
avaient rien à faire de moi. J'admets, Je suis allé fort, mais fallait qu'elles comprennent; si bien sûr elles voulaient comprendre...ça, c'était autre chose.
Soudain, lors de mon discours rempli de colère, quelques larmes ont roulées sur mes joues. C'était éprouvant, elles ne pouvaient pas me comprendre, j' étais inquiète, j' étais fatiguée de faire des matchs. Je voulais revoir Pierre et Sacha. Je me sentais lâche, on aurait dit un caprice d'une petite fille qui voulait un bonbon. Sauf que là, je voulais partir, loin, et revoir Sacha.
Mes trois soeurs se sont tus. Cela m'a fait bizarre, généralement,
après que je fasse une crise de nerf, elles protestèrent, où elles continuèrent à parler comme si je n'étais pas là. Cette fois-ci, c'était différent. Il fallait carrément que je pleure devant eux, pour enfin
avoir leur attention, pour qu'elles m' écoutent.
Ce changement me déstabilisa, je partis en courant vers ma chambre sous leur regards encore choqués.

Dans le noir, je m' étais assis sur la moquette de ma chambre, mon
dos collé au pied de mon lit. Je regardais vers la véranda, le ciel étoilés. Après quelques instants, j'entendis ma porte s'ouvrir. C'était Daisy. Elle s' assis à coté de moi, en silence.
Elle s' excusa de son comportement et de mes deux autres soeurs. Je ne disais rien. Je sentais que ma tête allait exploser. J'avais
mal au crâne. Elle continua de parler, sans trop vraiment
écouté, quand soudain j'entendis des mots qui
attiraient mon attention.
Je la regarda, sans broncher. Un sourire s'afficha sur mon visage. Elle m' avait dit, qu'elle avait décidé de prendre la relève
de l' arène soit disant, que c'était l' aînée, et tout le blabla... je n'avais pas retenu le reste de la phrase tellement j' étais contente de la nouvelle, cela veut dire, que je peux voyager !!!

Le lendemain, je commençais à faire mon sac, mais j' étais
devant un obstacle: je ne savais pas où étaient mes deux amis. Je ne pouvais tout de même pas appeler tout les centre de pokemon de la région pour savoir s'ils se trouvèrent là, non, cela serait de la folie, et une perte de temps.
J'avais appelé la mère de Sacha, pour lui dire de me prévenir si jamais son fils l' appelle. La seule solution était de lui envoyer un e-mail, mais à ma connaissance la connexion n'était pas très fiable, et il fallait qui soit connecter avec le réseau du centre: cela veut dire que cela pourrai prendre du temps...
Plus je cherchais d' idées, plus je sentais mes espoirs envolés.
Le soir même, le téléphone sonna. Je décrocha. C'était Pierre,
j' étais contente de l' entendre. PlusPierre me parlait, plus mon visage était assombri. Mon visage reflétait la crainte, l' appréhension. Il me dis où
ils étaient, et je raccrocha, le regard rempli d' inquiétude mélangé à du soulagement. Pierre venait de me prévenir, qu'il avait eu un cambriolage dans un magasin la veille, où Sacha et lui étaient dedans. Cela avait mal
tourné, Sacha avait reçu un coup. Il était encore inconscient, et il venait de se réveiller il y a quelques minutes.

» La vengeance de Sacha ! (suite du cahier de Sacha)
» Serena/Sacha ou Ondine/Sacha
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