Lui, Sacha, incompris....[FIN]

Passez une agréable lecture (=

Je me leva. Je vis la porte de la chambre s'ouvrir sur le médecin,
qui nous demanda de rejoindre Délia. Pierre et moi, avançons vers la concernée. Elle nous regarda avec un air sérieux. Pierre et moi, prenions des chaises puis s' installâmes devant elle.
Elle nous raconta un souvenir, où Sacha avait était mordu
par un pokemon serpent, un arbok plus précisément il y a au moins deux années auparavant. Les effets d'une morsure ne sont pas les mêmes sur un humain que sur un autre pokemon. A l'époque, les médecins avaient réussi à
détruire ce poison, mais ils ne pensaient pas qu'il y avait encore des micro-débris du fameux poison, qui était rester dans le corps de Sacha. Alors, au fil du temps, la substance a résister et a réussi à affecter l'organisme.
Voilà, j'ai bien la confirmation de mes doutes, Sacha était empoisonné par une morsure grave.
Délia nous avait faire remarqué que Sacha n'avait aucun pokemon à
rapport avec des serpents. Je venais d' apercevoir que c'était le cas, même Pierre était surpris, par cette remarque.Lui aussi n'avait pas fait attention à ce détail qui était toute une importance. Pourtant Sacha n'avait jamais eu
peur de ce genre de pokemon...encore un mystère !
Comme un robot, je me leva et me dirigea vers le sac de Sacha, sous les regards interrogateur de Délia et de Pierre. Je le pris dans mes mains, puis retira toutes les choses qu'il contenait. Je chercha la fameuse poche secrète, sous leur airs curieux, puis réussi à sortir deux boîtes, assez large, où elles contenaient des médicaments. Délia lâcha un cris de stupeur. Pierre me demanda comment je savais qu'il y avait des médicaments à cet endroit, je lui montra le carnet en signe de réponse.

Cela fait déjà deux jours que Sacha est toujours dans le même état. Il y a eu aucun signe de progression. Professeur Chen avait laissé son travail pour venir aussi. Il voulait aidé Mme Ketchum à surmonté cette épreuve. Depuis l' arrivé de Délia, je n'avais plus osé touché au carnet de Sacha. J'étais dans la chambre de ce dernier, son carnet posé sur à coté de lui, j'hésite encore à lire la suite, car maintenant, il y a toutes les réponses, on sait pourquoi il est dans le coma. La voix de Pierre me fit sursauter. Il me
conseilla de le lire encore. Il disait, comme je l'ai entamé,autant le terminer. J' acquiesca. Je repris le carnet et m' installa auprès de Sacha.

«Je flippe d'user trop mon sourire, de ne plus vraiment savoir comment rire...
J'ai peur de vivre que dans le pire et ne jamais connaître les
petits plaisirs de la vie.
Toujours et encore, je m'apprends à mentir jusqu'à ne plus savoir à défaire la vérité.
Je voudrais tant pouvoir jurer des serments, et refaire des promesses de gosse, comme si j'avais encore la vie devant moi.
Je n'ai plus d'audace, juste cette regrettable lien qui m'enfonce dans
un enfer, dans un paradis...Je ne sais.
Je me le demande aussi, cette question qui se répète dans
ma tête, et me hante mes nuits: Quel est le bonheur ?
J'use encore mes soupirs, j'ose affronter les limites du dangers, pour
oublier que les risques sont en moi.
Après tout, je ne veux pas perdre un seul instant qui pourra me rendre l'éphémère éternelle...

Hier soir encore, je manquais de sommeil, et je me suis réveillé
tard dans la soirée. Ondine aussi avait dû mal à s' endormir, du coup, on a discuté, et ...wahou quoi...
Je me suis aperçu que ses lèves me narguaient...et j'avais trop envie de les toucher... Horrible sensation qui me procure, j'ai su résister à la tentation.
C'est moi où, j'ai l'impression que je m' accroche à ses lèvres ?
Je me fais peur, je crois que... non impossible. Cela ne peux pas être
ça !!! Si ?
Bon autant annoncer cette nouvelle:
Moi,Sacha Ketchum, à réalisé qu'il est tombé amoureux de son amie Ondine Williams »

Je relu plusieurs fois la dernière phrase. J'avais dû mal à assimilé la nouvelle. Je cligna mes yeux comme une idiote, comme si la phrase en question allait disparaître. Je lis encore, oui, c'est ce qu'il y a écris...
Il est amoureux de moi...
Je regarda Sacha,une larme roula sur ma joue et atterri sur une page du carnet. Une autre roula, et encore une autre...
Je pris sa main, et croisa mes doigts avec les siens délicatement.
Je le contempla, comme si ma vie en dépendais. Après plusieurs minutes qui durèrent une éternité, je repris la lecture.

«Voilà, depuis quelques jours je n'ose plus trop m'appocher d'elle, et d'elles. Vous voyez ? Elle Ondine et elles, ses lèvres. Je préfère ne rien tenter, je n'ai pas envie de la faire souffrir plus tard. Ce plus tard qui est le moment fatidique d'un changement radical de mon corps , de mes sens.
Je ne veux pas qu'elle se force à rester auprès de moi, juste parce que je suis malade. Je préfère la voir libre, et rayonnante comme le soleil, avec ses sourires et ses rires...
Je subis deux combats. Je défis deux souffrances. je suis victimes de deux douleurs. Celle du poison, une douleur rempli de fortes tortures et de fatales blessures, et celle de l' amour, une douleur douce, où le mal se mélange au bien être.Je cherche le compromis, la face cachée de l'une ou de
l'autre... Je me perds dans la confusion, dans ce somptueux doute. J'appréhende les sentiments, les gestes. Je succombe aux mots,
au son de sa voix. Je me prosterne face aux vibrations de mon coeur,qui arrivent à jouer la mélodie des sentiments lors de sa présence,elle...
J'essaie de me retenir, d'éviter le pire. Je sens la tentation qui me
frôle, le feu qui attend de me brûler, cela bouge, cela me rend fou. Je joue avec le danger avec la volonté, je m'y accroche, je m'y perds...résister encore, cela m'est difficile...elles.
Aujourd'hui, je sentais mes forces s'affaiblir. J'entends toujours aussi bien, je sens toujours le goût, je remarque que je n'ai plus mes
périodes où ma vue est flou. Par contre, j'ai souvent de la fièvre.
C'est la pause. Je me met un peu à part, et je supporte le silence. Le
silence... une domination d'un vide, semblable au sommeil de la nuit.
Le silence fait du bruit.
Ferme les yeux, ne parle plus, et isole toi.
Le vide fait pression, et te bascule dans le tourbillon des songes.
Plus aucun mot, plus aucun pas, ni de cris ni de gestes.
Stupide! Le silence fait du bruit...
On se soumet face à cette illusion de mutisme de temps, où le vacarme se camoufle tant bien que mal.
On y croit, car on ne veut pas subir cette vérité.
Cette évidence qui est que le silence fait du bruit...
Entends tu ces murmures? Ces frôlement de tissus, ces langages
incomprises, où le rien complote avec le vide.
Non? Alors laisse toi porter dans un monde où les rêves entreprennent les silences faux pour enfin priser le bruit de leurs pas.
Le silence laisse sa trace, des empreintes où seuls tes yeux peuvent voir.
Apprenons à connaître le silence, ce silence qui est inoffensif et
complètement nuisible.
Laisse toi emporter par cette douce mélodie, où tous les
sentiments que tu procures ne font plus la guerre à tes émotions...
Chut...Le silence fait du bruit...»

Suite!

C'est vraiment trop beau.

J'adore quand elle lit qu'il est amoureux d'elle. Chou et triste à la fois. J'adore, j'adhère.

Merci (=
XD oui moi aussi j'adore ce passge c'est l'un de mes préféré de l'histoire.

J'adore!!! Very Happy

C'est triste que Sacha a été empoisonner =/ Saloperie d'Arbok!!! Qu'est-ce qu'il foutait là?! Et pourquoi il l'as attaqué?! ... XD
J'ai trop hâte de savoir la suite! Very Happy

C'est peut-etre le Arbork de Jessie Shocked

suite !

Je vais peut etre mettre la suite dans la soirée (=

Ca serais souhaite.

Voici la suite ! (=

Les jours passèrent, et Sacha était toujours endormi. Cela
faisait plus d'une semaine qu'il était dans cet état.
Seul,lui pourrait décider quand il se réveillera. J'avais
entendu dire par certains médecins, que malgré qu'il soit dans le coma, il peut nous entendre. Le soir, quand il y a personne, je m' assis auprès de lui, et je lui parle de tout et de rien, de ce que j'ai fait, des souvenirs...
J'avais encore son carnet dans mes mains, je ne l'avais pas encore terminer de le lire, je prends mon temps, de peur de tout casser ce lien qui
me reste entre Sacha et moi. Cette impression, que je peux le comprendre et que je peux ressentir à travers ses mots plein de sens.
Enfin de compte, ce carnet à une très grande importance pour lui. Je repris ma lecture l'a où je me suis arrêter...

«Voilà,j'ai décidé de raconter ce souvenir, qui avait, malgré
moi, changer ma vie. C'était il y en deux ans environ.J'étais parti en vacances chez mon cousin Simon et comme la plupart du temps quand je suis avec lui, on observe des pokemon. Sauf que ce jour-là, cela à mal tourner. Lors de notre promenade-observation nous étions tombé sur un Arbork qui était vraiment en colère, et contre toute attente,j'ai trébuché et il m'avait attaqué. J'avais atrocement mal. Cela me brûlait la peau. C'était l'un des pires moments que j'ai jamais passer. J'avais de la fièvre, je crois même que je commençais à délirer.Je souvenais encore le visage paniqué de Simon, et le cris inquiet de ma mère. Je me souvins le bruit des sirènes de l' ambulance, et du crépuscule qui commençais à apparaître. Chaque détail de ce moment rempli de frayeur et de douleur était et sera toujours ancré dans ma mémoire. Il m'avait précisément mordu sur mon bras. Depuis j'ai une petite cicatrice distraite. »

Cela devait être un moment éprouvant pour lui comme pour sa
famille. J'imagine très bien sa douleur, que cette morsure lui avait procurer. Je continu de lire, absorber par la curiosité.

«Dans le fond, ma vie ressemble à une comédie, une tragédie où le théâtre n'a plus de valeur.Les comédiens ne savent plus jouer, ils se perdent dans leur répliques. Le décor commence à devenir terne,il s'abime, peu à peu il s' effondre...
Digne d'un scénario de Roméo et Juliette en nouvelle version.
Il n'y a plus de spectateurs, qui veulent voir cette pièce qui
semble rempli de mélancolie. L' orchestre se mobilise dans leur partitions, où les notes s'effacent au fil du temps. La clé de sol semble garder sa splendeur dans cette triste scène,où la réalité s'en mêle. Les musiciens
essaient de bien jouer, de bien faire, mais leur musique sonne faux.
Plus personnes interprète leurs actions, les violons, le piano, les trompettes... aucun arrive à suivre la mélodie.Les musiciens ne savent plus se concorder, ni jouer en même temps...
Les principes se fondent dans la folie, où les voix s'entretuent,et osent les dissimuler.
Sauf que là, c'est Roméo qui fait semblant de mourir, non,
en fait, il se meurt peu à peu, et que Juliette, elle ,restera en vie.
Elle ne mourra pas, elle ne suivra pas Roméo, non, elle n'a pas le
droit, elle ne peut pas: je l' interdit.
Et quand le rideau final tombera, plus jamais il se releva. Le théâtre
sera définitivement fermer, où seul moi à vraiment la clé pour le réouvrir...
Seulement, j'ai égaré cette clé, qui est, la seule ouverture, d'une nouvelle comédie, d'une nouvelle histoire, oui, j'aimerai que Roméo, retrouve sa Juliette. Alors Roméo se bat contre cette injustice, qui de vous à moi est trop destructrice pour qu'un jour Roméo dira Je t'aime à Juliette...pour que je lui dis je t'aime...à elle, Ondine.»

Les mots « je t'aime » résonnèrent dans ma tête, je lu et relu ces dernières lignes, cette dernière phrase. Mon coeur battait aussi vite que l' éclair.
Je tourna la page quand je m'aperçois que je tombe sur une page
blanche. Je serra la main de mon amour secret, quand soudain , je
sens une pression. Sacha m'avait serrer la main quelques secondes.
J'appela une infirmière, un médecin, j' étais contente, je fis un sourire. Délia était venue, pour entendre le verdict du docteur. Ce dernier a dis que c'était un signe que Sacha se réveillera bientôt.

Yeuuuu. Je sais dire que ca mais c'est trop mimi et touchant et triste et....

Suite ohhh Oohfemmeluxieuse.

C'est mignooon!! :57:
J'adore! Very Happy

J'ai hâte de savoir la suite!! Very Happy

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