Une Nuit de Novembre

J'adore!!
Surtout quand Sacha essaye de se présenter a Ondine et qu'elle ne comprend pas
Vivement la suite!!

Lolo57 a écrit:

J'adore!!
Surtout quand Sacha essaye de se présenter a Ondine et qu'elle ne comprend pas
Vivement la suite!!

ouai sa fait un peut penser a tarsan et jane cette maniere de se presenté XDDD


SUITE SUITE SUITE

Chapitre n°5: Les Carnivores

Le 15 Juin 2011

Général : … Nous Sommes Ici pour faire Reigner la Loi ! Dans Un Premier Temps, Retirer tous les Drapeaux tricolores français, que ce soit dans la Rue ou chez les Parisiens …

Sur La Grande Place de L’étoile, Les Troupes Allemandes reçoivent les Ordres d’Hitler via le Général. Droit comme Un I, Je regarde et écoute le Général nous donné les Ordres, sous le Célèbre Arc de Triomphe. Autour de Nous, il n’y a Presque Aucun Parisiens. Dans la Plupart des Immeuble, les Volets Sont Clos. Un Jeune Soldat leva le Bras.

Soldat : J’ai Une Question Général.
Général : Oui.
Soldat : Doit-on aussi également retirer les Drapeaux historiques des Invalides ?
Général : Tous Les Drapeaux. La France ne s’appellera Bientôt plus France mais Allemagne.
Soldat : Très Bien Mon Général.
Général : Ses Drapeaux seront Remplacé par Ceux du Troisième Reich. J’ai Besoin de Quelques Soldats Qualifiés pour Retirer ce Grand Drapeau.

Il leva le Doigt vers Le Grand drapeau Tricolore qui flotta dans L’air sous le Monument de Napoléon 1er.

Général : A La Place, Nous Mettrons celui De la Croix Camé pour Montrer aux Français Notre Toute Puissance. Pour cette Mission délicate, J’ai besoin des Soldats Baumgarten, Gärtener, Loewy et Stinnes

Je me retenu de ne pas Lâché Un Soupir. Je ne sais Pas Pourquoi mais à cet Instant, J’ai Pensé à Ondine. Vu Comment Elle Nous a Accueillis hier Soir …

« Ondine : Vive les Croissants ! Vive la France ! »

Elle doit Surement en Avoir Un Grand de Drapeau tricolore dans Sa Chambre… Je fus Coupé dans Mes Pensées quand Une Petite voiture portant Sur Son Toit des Hauts Parleurs Passa près de Nous. Dans les Haut-Parleur, Les Messages Commençaient Tous Par « Les Troupes Allemandes Occupent Paris » Je ne pense Pas Que Pour les Civils se soient Une Nouvelle vu Que Nous fessons tout pour Que l’on Nous remarque Bien. Quand le Son des Hauts Parleur fut Assez loin pour qu’on ne l’entende plus, Le Général continua ses Instructions.

Général : L’Heure de Paris sera désormais la Même Que celle de Notre Capitale… Entre 21h et 5h du Matin, Le Führer ne Veut Personne dans les
Rues de Paris. Il y aura donc Couvre-Feu. Je compte sur Vous pour Faire Reigner Cette Nouvelle Loi dès Ce Soir …

Pierre, qui était une fois de Plus Sur ma Droite, me donna Un Coup Sur l’épaule.

Pierre : Il y a déjà presque Personne à 10h du Matin Alors à 21h, il n’y aura pas Un Chat.

Pierre avait Raison.

Général : C’est pour éviter les Conspirations contre Nous. Si Vous Voyez Quelqu’un se promener la Nuit pendant le Couvre-feu, Vous ouvrez le Feu sur la Personne sans Aucune Hésitation…

J’avala ma Salive.

Général : Tous les Jours à Midi, 16h, 18h et 20h30, Nous défileront sur l’Avenue des Champs Elysée … L’Objectif de Ses Défilés, c’est Que les Français Comprennent Bien qu’ils sont Occupés, Que Nous Sommes Supérieur à Eux …

Avec Quatre Défilés par Jours, 7 fois par Semaine, Je ne pense pas Que Les Français L’oublieront ou Que Nous Passerons Inaperçu …

Général : De plus Je vous Donne Rendez-Vous Ici Même à 15h. Le Führer compte Sur Vous.

Il leva la Main et Tendit de La Bras. Nous le Minons.

Général : Ein Reich, ein Volk, ein Führer !!

Nous Répétons en Chœur après Lui et Nous mettons Rapidement tous Au Travail.

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Fiancé : Tu es Une Vraie Traitresse !!

Mon Fiancé était venu me Rendre Visite des qu’il avait vu Ondine partir faire les Courses. Il m’avait surpris en M’offrant Une Fois de Plus Un Bouquet de Fleurs Roses. Minable ! Une Fois de Plus Mes Lèvres Avaient Touchés les Siennes. Sa Voix m’avait Dit Qu’il m’Aimait pour ensuite m’Injuré à La Vue d’un Brassard Rouge portant Une Croix Camé. Un Soldat avait dû l’oublier dans Le Salon ce Matin. Je remonta Mes Cheveux Blonds et Mis mes Main Sur les Hanches.

Fiancé : Ses Sales Boches nous Font Bouffés des Patates à l’eau toute la Semaine et Toi, tu les Loges et les Nourris ... Tu couches peut-être avec aussi …

Un Sourire Vicieux apparut Sur Mon Visage.

Daisy : Peut-être … qui sait …

Ses Yeux commencèrent à s’enfoncer dans Ses Orbites.

Fiancé : Tu es Vraiment Une Honte pour la France …
Daisy : Et Toi, tu es Quoi ? Un Français Raté qui ne va même Pas Au Combat défendre l’Honneur de Son Pays. Tu ne vaux pas Mieux que Moi dans ces Cas-là ! Tu es Vraiment …

Sans Que Je ne m’en rende Compte, Je sentis Sur Ma Joue Une Brûlure. Il m’avait Giflé. Mon Premier Réflexe fut de Mettre Une Main sur La Douleur. Il s’approcha de Moi et me Prit par les Bras. Il me sera tellement Que Je sentis Ses Ongles Mal Coupés s’enfoncé dans Ma Peau…

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Assise sur le Dos de Toképi, Je le fis trotter doucement dans les Rues de Paris. En Quelques Heures les Rues de Paris ont Changé de Couleur. Je leva mon Nez en l’air. Ça ne sent Plus les Bon Croissants du Boulanger mais L’essence des Charts et la Poudre à Canon. Sur les Façades de plusieurs Immeubles pendent des Drapeaux Nazis. Partout où J’avance, La Croix Camé me Fait Face couché Sur Sa Marre de Sang Rouge. Je descendis du Dos de Mon Cheval blanc et avança dans les Rues de Paris. Je devais Acheter de la Nourriture en Grande Quantité pour Nourrir Les Trois Sœurs, Nos Invités et Moi-même mais Tout les Vendeurs me Disent la même Phrase : On est Rationné. Je passa la Porte de Chez le Boucher. Il y a Un An, Le Boucher était Monsieur Ducoin. Deplus Que ce dernier est Partis au Front, Sa Femme le Remplace malgré qu’elle doit s’occuper de Ses Enfants. Encore Une Femme Française pleine de Courage.

Ondine : Bonjour Madame Ducoin !
Ducoin : Ondine ! Bonjour ! Tu vas Bien ?
Ondine : Ça pourrait Aller Mieux mais à Comparer à d’autre, Je n’ai Pas à me Plaindre et Vous et Vos Enfants ?
Ducoin : Moi, Je fais aller et mes Enfants vont Biens. Sébastien se prend pour l’Homme de la Maison maintenant, il veut même arrêter l’école pour venir travailler ici avec Moi à La Place de Son Père.
Ondine : Vous devez être fière de Lui.
Ducoin : Très.

Je regarda derrière la Vitrine presque Vide.

Ondine : Vous avez Des Nouvelles de Votre Mari ?
Ducoin : Oui. Il me dit Que ça ne va pas Fort sur la Ligue Maginot. Que l’Armée Allemande Les a attaquées par derrière. Malheureusement, il ne donne plus longtemps à Son Régiment…

Ses Yeux se mirent à Briller. Elle essuya ses Mains Sur Son Tablier blanc taché de Sang.

Ducoin : Je suis très attristé de Savoir tout ça mais Je suis Heureuse d’avoir de Ses Nouvelles. Ça signifie Qu’il n’est Pas … Mo…Mo …
Ondine : Je comprends Madame Ducoin.

J’avais compris ou elle venait en venir malgré Qu’elle n’arrive pas à prononcer ce genre d’adjectif pour qualifier Son Mari. Je ne pouvais pas Comprendre ce Qu’elle ressentait, Je n’avais pas de Mari ou de Fiancé au Front, mais Je pouvais essayer. Rien Que le faite d’essayer me Donnait Mal au Cœur alors des Fois ne vaut mieux pas y penser.

Ondine : Il vous Reste Quoi Aujourd’hui Madame Ducoin ?

Elle regarda ses Maigres Morceau de Viande.

Ducoin : Juste Un Peu de Volaille.
Ondine : Très Bien, Je vais Vous en prendre pour 10 personnes et demie.

Le « et demi » c’est ma Part …

Ondine : C’est Quoi comme volatile ?

Madame Ducoin qui était en train de prendre ces Morceaux s’arrêta nette et me Regarda dans Les yeux. Elle me mit le Morceau de Viande devant les Yeux.

Ducoin : Les Allemands nous rationnes tellement Qu’ils nous restent plus rien … Du Pigeon.

Je ferma les Yeux d’un Air dégouté. Je comprends mieux pourquoi Ce Matin, Je ne me Suis pas réveillé au Chant des Oiseaux.

Ondine : Très Bien alors Mettez-moi en juste pour 10 personnes.

Elle m’obéit. Je paya et Partit vite en la Saluant. Je Mis Directement le Morceau de Viande dans le Panier en Osier. Berk ! Du Pigeon ! Je ne sais même pas y cuisiner … Les Allemands Viennent Juste d’arriver et il nous prenne déjà toutes nos Richesses. Du Pigeon ! Mon Dieu ! J’essaya de penser à Autres Choses … Mes pas avancèrent dans les Rues de Paris. Je marcha pendant dix Bonnes Minutes avant d’entendre Un Grand bruit. Comme si quelques Chose venaient de tomber. Curieuse de Nature, J’alla Voir ce qui se passa. Deux rues Plus loin, Je vis 3 Hommes devant Une Maison. Je reconnu toute suite l’uniforme Allemand que portait deux des Hommes. Devant la porte, un Homme barbu tenait fermement dans ses mains du Tissus Blanc et Bleu. Un des Soldats tirait l’autre extrémité du Tissu comme pour lui dérober. Dans la Maison, il y a des Pleures. Surement ceux d’enfants. Je ne sais pas Pourquoi Mais Je sens Que Je dois Intervenir avant Que ça ne dégénère. Je commença à m’avancer vers la Scène puis j’entendis Une Voix Masculine me Parler.

Homme : Tu ne devrais pas.

Je me retourna.

Homme : Les Allemands sont Sans Pitié…

Un Cri s’échappa de La Maison. Je me retourna violement et vu l’Homme qui tenait le Morceau de Tissu par terre. Un des Allemands avait Une Pierre dans Une Main. Sans Que Je ne comprenne pourquoi, Je me à courir vers l’Homme à Terre. Sous le Regard étonner des Soldats, Je m’agenouilla et souleva la Tête de L’Homme à Terre. Vers La Temple, Un Filet de Sang coula le long de son Visage. Un des Deux Soldats avait dû le Frapper avec La Pierre. Sans Que Je ne contrôle le Moindre de Mes Gestes, Mon Regard tomba sur les Deux soldats. Mon Regard était menaçant.

Ondine : Allez-vous-en !! Partez !

Les Deux soldats se parlèrent entre Eux. Je déchira Un Morceau de Ma Robe et Mis le morceau de Tissus sur la Temple de l’Homme. Mes Mains Tremblèrent. Je sentis derrière Moi une Chaleur. Je me retourna et Vit Un Drapeau Français en train de Brûler à nos Côtés. Je compris mieux alors le Geste de cet Homme à Terre. Il voulait défendre l’Honneur de la France à Sa Façon.

Ondine : Rentrez Chez Vous !!

Mes Yeux regardèrent Le Drapeau tricolore se consumer rapidement. La Flamme se reflétait dans le Vert de Mes Yeux. Les Allemands discutèrent entre Eux Jusqu’à ce que J’entende Son Prénom …

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Mes Grands Yeux Bleu reflétaient la Douleur Que j’éprouvais à cet instant. Des Larmes Coulaient le Long de Mes Joues qui collèrent quelques-unes de Mes Mèches Blondes Sur Mon Visage.

Daisy : Lâche-Moi et Vas t’en s’il te plait…

Face à Ma Détresse, il me lâcha violement en me poussant Par terre. Il me regarda d’un regarda supérieur, pris Sa Veste puis partit sans Un Mot. Quand J’entendis la Porte d’entrer se claquer, Je me leva et m’installa. Sur Mon Visage Se figea Un Grand Sourire.

Daisy : J’ai Réussis !!

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Le regard d’Ondine me fixa sans Que Je ne sache Pourquoi. D’un Seul coup, elle se leva et se mis droit devant Moi. Elle planta son Regard dans Le mien.

Ondine : Va-t’en Sacha !

Je ne compris Que Mon Prénom dans Sa Phrase. D’un Seul Coup, Elle cracha par terre devant Mes Pieds. Voyant Que Je ne fis Rien, Mon Collègue la Poussa en arrière tellement Fort qu’elle tomba au Sol. Je le vis Pointé Son Arme Sur Elle.

Soldat :Du hast dich gegen einen Deutsch Soldat stemmer getrauert

Elle ne le lâcha pas du Regard malgré l’Arme Pointé Sur Elle. Elle ne devait Pas Comprendre. Mes Mains se mirent à Trembler. Je ne sais pas Pourquoi mais j’ai Peur pour elle.

Soldat :Du wirds das bar bezahlen

Je vis Son Doigt se poser à l’endroit où l’on tire. Mes Dents se serrèrent.

Sacha : Nein!

Tous les Regards se tournèrent Vers Moi.

Sacha : Bitte lass mich das machen. Ich will der sie auftreiben werden sein um meinen Stolz zu rächen.

Un Sourire sadique s’afficha sur le visage de Mon Collègue.

Soldat :Alles klar

Il me tendit Son Arme Que Je pris. Je le pointa Sur la Jeune Rousses. Je ne sais pas Pourquoi mais J’ai l’impression Que Son Regard s’adoucisa. Je me noya dans ses Yeux verts quand elle les Ferma. J’allais appuyer Sur la Gâchette Quand Je me retourna Vers mon Collègue et tira Trois Fois de Suite. Les Oiseaux s’envolèrent et Une Femme cria aux Bruits des Coups de Feu. Avant Qu’il ne tombe Au Sol, je pus entendre « Verräter» Tous les Regards étaient Sur Moi. Mon Souffle s’accéléra. Je regarda le Corps Mort de Mon Collègue et lâcha le Fusil au Sol. Ne pouvant supporter tous ses Regards Sur Moi, Je Partis…

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Sans Lâcher Sacha des Yeux, Je me leva et me planta devant Lui.

Ondine : Va-t’en Sacha !

Il ne bougea pas mais Son Regard était Interrogateur. Je ne sais pas Pourquoi mais de Savoir Que c’était Lui, qui avait osez Bruler ce Drapeau me Répugna plus Que Tout. Voyant Que tout était Figé, Je cracha devant Lui. Signe Que Pour Moi, Les Allemands Ne sont Rien de Plus Que des Brigands. Il ne fit Rien. Par contre, Le Deuxième Soldat me poussa tellement Fort Que Je tomba au Sol. Heureusement Que Je suis tombé Sur les Fesses Sinon Je me serais Surement Cassé Quelques Choses. Il Pointa Son Arme Sur Moi. J’avala ma Salive. Devant Tout ce Monde, Ma Fierté se mis en Avant. Je le Regarda droit dans les Yeux malgré ma Peur.

Soldat : Du hast dich gegen einen Deutsch Soldat stemmer getrauert.

Je ne compris pas Ce qu’il disait mais J’en avais Quand Même une Petite Idée.

Soldat : Du wirds das bar bezahlen

Ça y’ais C’était la Fin. Je sentis le Sol s’ouvrir Sous mon Corps.

Sacha : Nein !

Mon Regard et Ceux des Autres Spectateurs se tournèrent Vers Sacha.

Sacha : Bitte lass mich das machen. Ich will der sie auftreiben werden sein um meinen Stolz zu rächen.

Un Sourire sadique s’afficha sur le visage du Soldat Allemand qui voulait me tuer.

Soldat : Alles klar

Il tendit Son Arme à Sacha qui la prit Dans Ses Mains. Je cru Voir ses Mains Trembler mais c’est Surement mon Imagination Qui me joue des Tours une Fois de Plus. L’arme fut Pointée Sur Moi. Sans Que Je ne comprennes Pourquoi, Je ressentis Une Emotion étrange. Je me sentis Bien. Comme si le faite Que Ce soit Sacha qui mette fin à Mes Jours ne me dérangeait Pas. Je ferma Les Yeux et J’entendis Trois Coups de Feu et Deux personnes Crier. Etrangement, Je ne sentis Rien. Mourir ne fessait Donc Pas Souffrir. J’ouvrir Les Yeux et Vit Le Soldat Allemand à Terre jissant de Sang. Je regarda Sacha. Il semblait Perdu. Il ne m’a Pas Tuer. Il a Préférer tuer Un de Ses Collègues plutôt Que Moi. Mais Pourquoi ? Je voulais aller le Remercier mais Quelques choses me retiens en Moi. Il partit en courant. Je le regarda s’éloigna. L’Homme qui m’avait parlé toute à l’heure courra vers Moi.

Homme : Vous allez Bien Mademoiselle ?

Je lui fis Oui de la Tête. La Famille de l’Homme à Terre vint Autour de Moi et me remercia. Ils m’embrassèrent Tous. Sans Un Mot, Je donna le morceau de Ma Robe déchiré et me Leva. Sous les Regards Silencieux de Tous, Je m’éloigna et Monta sur le Dos de Toképi. Je lui donna Un Coup de Talon dans Les Flancs et il se Mit à Courir dans la Direction de la Maison.

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Général : En Avant Toute ! Direction le Jardins des Tuileries !

Il est 15h et Nous Avançons dans les Rues de Paris pour Nous rendre au Jardin des Tuileries. Je me demande ce qu’on va encore Faire là-bas. Nous marchons tous ensemble en rang. Quand d’habitude, Je suis à Côté de Pierre. Cette Fois par contre, c’est Moi qui lui tapa dans l’épaule.

Pierre : Une Petite Question mon Petit Sacha ?

Il se retourna vers Moi.

Pierre : Si Tu savais Comment Ma Journée a été belle… Trois belles Françaises rien Que Pour Moi …
Sacha : … J’ai Fait Quelques Choses de Mal …
Général : Taisez-Vous Un Peu dans les Rang et On Chante !

On se mirent tous à Chanter …

Deux Heures Plus tard, On Arriva enfin dans ce Fameux Jardins des Tuileries … Devant ce Fameux et Célèbre Louvre, Un Grand Jardin Fleurie s’ouvrit devant Moi. Le Général nous conduisit devant la Statue d’une Femme.

Général : Edith Cavell, née le 4 décembre 1865 à Swardeston et morte le 12 octobre 1915 à Schaerbeek, était infirmière. Lors de Notre Première Guerre contre la France, elle a aidé les Alliés face à Nos Forces. C’était Une Traitresse ! Elle ne mérite Pas d’avoir Un Monument à Sa Mémoire. Prêt !

Nous Nous mettons Tous devant la Statue.

Général : Charger !

Dans Un Même Geste, nous chargeons nos Armes.

Général : Tirez !

Les Coups de Feu fusèrent. La Statue face aux Balles se cassa en Milles et Un Morceau. Le Général Nous Félicita pour ce Beau Travail. Il Nous Donna l’ordre de Mettre les Drapeaux tricolore Français sur les Décombre de la Statue. Nous Obéissons et Reprenons Nos Places.

Général : Ketchum vient Ici !

Je sortis de Mon Rang et M’approcha du Général.

Sacha : A Vos Ordres, Général !

Je me mis au Garde à Vous devant Lui. Il me tendit Une Boite D’Allumette. Je le regarda.

Général : C’est à Vous l’Honneur...

Je savais très Bien ce Que ça voulait Dire. Sous le Regards de Tous, Je pris Mon Courage à Deux Mains. Je n’avais pas envie de le Faire. Malgré ça, Je Frotta l’allumette contre le papier de Verre et elle s’alluma. Les Soldats et le Général leva la Main.

Sacha : Lebendig Hitler !

Il répéta après Moi et Je balança l’allumette Sur les Drapeaux français qui se mirent doucement à Prendre Feu …

Général : La France, c’est Terminer !

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Il est Tard, Je suis enfermée dans ma Chambre. Ce soir-là, je n’es pas Manger. J’ai Préparé le Pigeon comme du Poulet et suis Partis Dormir mais le Sommeil ne veut Pas venir… J’entends Un Bruit de Pas dans le Couloir. Je me leva de Mon Lit et Partit vers la Porte. Je l’ouvris très Discrètement. C’est là Que Je reconnu Son Ombre.

Ondine : Sacha …

Il se retourna. Sans Que Je ne comprenne, Je le pris par le Bras et le fit entrer dans ma Chambre Que Je ferma à Clef. Il me regarda sans Comprendre. Je lui souris Bêtement. Il regarda toute autour de Lui sans bouger. Il était Toujours contre ce Mur. Je lui pris les Mains et le regarda dans les Yeux. Je ne sais pas Pourquoi mais Mes Yeux se mirent à Briller et des Larmes menacèrent de Couler. Devant Moi se tenait l’Homme Qui M’avait Sauvé.

Ondine : Merci …

Je cligna des Yeux et laissa deux larmes Couler le Long de Mes Joues. Il passa ses Mains Sur Mon Visage pour me Les essayer en me souriant. Sans Que Je ne calcule plus Rien, Je ferma mes Yeux, me mis Sur la Pointe des Pieds et Mes Lèvres Touchèrent Les Siennes. A Cet instant, Je me demande combien de femme ont eu la Chance de l’embrasser … Il se retira sans Que Je comprenne Pourquoi et Partit…


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Ein Reich, ein Volk, ein Führer !!: Un Empire, Un Peuple, Un Guide !!
Du hast dich gegen einen Deutsch Soldat stemmer getrauert.: Tu as osez t'opposé à un Soldat Allemand ?
Du wirds das bar bezahlen:Tu vas Payer !
Nein! : Non !
Bitte lass mich das machen. Ich will der sie auftreiben werden sein um meinen Stolz zu rächen.: Laisse-moi Faire, S'il te plait, Je veux la Tuer moi-même et vanger mon Honneur
Alles klar : Très Bien
Verräter: Traitre !
Lebendig Hitler !: Vive Hitler !!

Auteur: Merci à Indercel pour la Correction en Allemand =)

la réponse est 0 ^^

remy1106 a écrit:

la réponse est 0 ^^

???

Ondine se demandait combien de femmes avant elle avaient eu la chance de l'embrassé, c'est 0

A d'accord J'avais pas Compris =)

J'adore!
...Du Pigeon....Perso, j'aimerais pas en manger =X...
J'aime bien comment Sacha a sauver Ondine
J'ai hâte de savoir la suite!

loool j'adore XD

du pigeon ?dans certain pays ça se mangent parait il Oo XD , mais bon entre les rumeurs et la vérité

J'adore !!!!!

Suite