Une Nuit de Novembre

Ouais Sacha va parler français

Merci pour vos Commentaires =)

Woaaaa Sacha parle français!!!!
La classe!
J'adore!!
Daisy va lui apprendre en plus =)
J'ai trop hâte de savoir la suite!

j'adore ,c'est vraiment bien rédiger je trouve
de plus l'idée est géniale ,comme quoi l'amour n'a pas de barrière
j'espère juste que Sacha resteras envie

Arrêter de dire "sa prouve que l'amour n'a pas de barrière sa on le sais déjà" moi je dit "Le AAML n'a pas de frontière" ! !

lati@s a écrit:

Arrêter de dire "sa prouve que l'amour n'a pas de barrière sa on le sais déjà" moi je dit "Le AAML n'a pas de frontière" ! !

le AAML n'a pas de frontière ça te va lati@s ? XD

Chapitre n°10: L'Allemande

17 juin 1941 :

Il est Midi et Je n'ai toujours pas de Nouvelle de Sacha, ni d'aucun autres soldats Allemands. Seul les coups de Feu, les cris et l'Agitation de la Rue me garde éveillée depuis son départ et comme d'habitude, à genou devant mon Lit, je prie. Je prie pour qu'il revienne... qu'il revienne me prendre dans ses bras. Quand je suis loin de Lui, La sensation de sécurité qu'il m'apporte s'évapore. D'un seul coup, je me lève et cour vers ma petite armoire en bois massif. J'ouvre le dernier tiroir et devant mes yeux, se dessine un signe de Dieu. Je le pris délicatement entre mes mains et le hisse au-dessus de mon lit. Sur la tapisserie blanche, la croix du Christ ressort très bien... Je reprends ma position initiale et regarde les Aiguilles tourner. La Porte de Ma Chambre s'ouvre.

Ondine : Daisy ?

La Jeune femme pénétra dans ma Chambre.

Daisy : Bonjour Ondine =)

Je regarda attentivement son Visage et je remarqua quelques fines mèches de cheveux collé sur le bord de ses joues et des cernes soulignant ses yeux rougis.

Daisy : Vu qu'hier, Tu ne te sentais pas très bien, je suis venue t'apporter de l'eau.

Je l'a regarda droit dans les Yeux. Malgré ses manières de petites bourgeoises capricieuses et souvent pénible, elle avait un cœur. Elle s'approcha de moi, un plateau de bois comportant une carafe d'eau, deux verres et une petite radio. Elle posa le plateau sur ma petite table de nuit et s'installa sur mon lit. C'est là que je remarqua qu'elle portait la même robe qu'hier soir. J'en conclu donc qu'elle ne s'était pas couché. Peut-être n'avait-elle pas pu fermer l'œil de la nuit à cause de la peur et de l'inquiétude ? Tout comme moi... Peut-être que son cœur bat pour un de nos ennemi ? Tout comme moi ...

Ondine : Vous allez Bien ?
Daisy : Tutoie-moi Ondine... Pas besoin de toutes ses formalités entre nous...

Non mais je rêve ! Une des trois sœur Boyer qui me dit de ne pas la vouvoyer. Je la vit allumer la radio. La chaine Radio National de l'Etat Français se fit entendre...

Ondine : Très bien donc Je répète ma Question...

Ses Yeux d'Azur tombèrent sur les miens.

Ondine :... Tu vas bien ?

Son regard tomba et contre toute attente, ses bras se retrouvèrent autour de mon cou et son visage enfoui dans mes cheveux au creux de mon cou. Je ne compris pas son geste et ne savait pas comment réagir. Puis quand j'entendis un de ses sanglots, je referma les bras sur elle. Je ne sais pas quoi lui dire ni quoi faire. Qu'es que c'est dur une situation comme ça. Vu d'un point extérieur, je trouve que si un Peintre nous aurais peint ainsi, le titre de son Tableau aurais été « Les Malheureuses de Paris » On resta quelques Longues minutes comme cela. Elle releva la tête vers Moi, ses yeux d'Azur devenu d'eau pale.

Daisy : Je ne sais pas pourquoi mais j'ai l'impression que tu me comprends...

Je suis sensé comprendre Quoi ? Décidément Daisy est une femme aussi belle que mystérieuse.

Daisy : Toi aussi tu as peur pour Lui, n'es-ce pas ?

Mes Yeux doublèrent de volume. Lui ? Alors ça veut dire qu'elle aussi s'inquiète pour ... En voyant que je ne répondis pas, Elle passa ses doigts ornés
d'une multitude de bague dans mes cheveux.

Daisy : Tu lui ressemble tellement ...

Un sourcil s'éleva au-dessus d'un de mes yeux.

Ondine : Tu parles de Qui, Daisy ?
Daisy : de ton ...

Daisy tourna la tête vers la radio et augmenta le volume.

« Ici, Radio National de l'Etat Français. Mesdames, Messieurs, Monsieur le Maréchal Pétain, président du conseil des Ministre vous parle :

Français ! A l'appel de Monsieur le Président de la république, J'assume à partir d'Aujourd'hui la direction du gouvernement de la France. Sur l'affection de notre admirable Armée qui lutte avec un héroïsme digne de ses longues Traditiosn militaires contre un ennemi supérieur en nombre et en arme. Sur, de sa Magnifique résistance, elle a rempli le devoir vis-à-vis de nos alliés. Sur l'appui des anciens combattants que j'ai eu la fierté de commander, Sur de la confiance du peuple tout entier, je fais à la France le don de ma Personne pour atténuer son Malheur. En ces Heures douloureuses, je pense au malheureux réfugiés qui dans un dévouement extrême sillonnent nos rues. Je leurs exprime ma compassion et ma sollicitude. C'est le cœur serré que je vous dis Aujourd'hui qu'il faut cesser le combat. Je me suis adressé, cette nuit, à l'adversaire pour lui demander s'il est prêt à rechercher avec moi, entre soldat, après la lutte et dans l'honneur, les moyens de mettre un terme aux hostilités. Que tous les Français se groupent autour du gouvernement que je réside pendant ses durs épreuves et face taire le rebois pour n'obéir qu'à leurs proies dans le destin de la patrie*... »

Les Yeux posé sur la radio, nous bavâmes ses Paroles. Le combat devait cesser. Sa vie ne sera plus en danger. J'ai envie de crier de Joie mais avant mes Yeux croisent ceux de Daisy.

Daisy : on collabore...

Je ne compris pas le sens du Mot Collaborer que venait de prononcer Daisy ou plutôt je n'en fis pas attention. Pour moi, ce qu'il comptait c'était que les soldats français retrouvent leurs foyers et que le nombre de morts cesse d'augmenter mais surtout que le Nom Sacha ... Je viens de me rentre compte que je ne connais même pas son nom de famille. C'est vrai, je viens de me rentre compte que je ne sais rien de lui sauf qu'il est allemand, soldat, brun, très séduisant, qu'il me protège et que son prénom est Sacha. Je ne sais même pas son nom, ni la ville dans laquelle il vivait avant de venir à Paris, je ne sais même pas comment est sa famille... et je ne risque pas de le savoir. On ne se comprend pas. Puis peut-être qu'il ne veut pas que je le sache... Pour lui, je suis surement, juste une petite française idiote pour faire passer le temps. C'est vrai, il ne m'a Jamais demandé d'où je venais ou autre chose enfin ... peut-être que si mais je ne l'ai pas compris...

Ondine : Daisy ?

Je la vis sursauté comme si je venais de la ramener à la réalité.

Daisy : Oui Ondine.
Ondine : Peux-tu m'apprendre à parler Allemand ?

Elle me regarda avec de grands Yeux.

Daisy : Pourquoi veux-tu apprendre l'Allemand ?

Parce que je veux comprendre et pouvoir discuter avec Sacha... Non, jamais je ne lui donnerais cette réponse.

Ondine : Pour pouvoir mieux servir nos Invités parce que je ne comprends pas toujours ce qu'ils me disent. Le langage des signes, je n'aime pas trop.

Un sourire très exagérer s'afficha sur mon visage.

Daisy : Si tu veux...

Heureuse, je lui sauta dessus et la prit dans mes bras. Je l'entendis Rire.

Ondine : Merci Daisy !
Daisy : Merci à toi... regarde je ne suis plus triste =)

Elle afficha un de ses plus beaux sourires.

Ondine : On peut commencer maintenant ?
Daisy : D'Accord...

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Je ferma la porte derrière Moi et laissa mes pas me guider. La Nuit a été longue et pénible. L'impression d'être dans un cauchemar se fessait sentir à chaque coin de rue. Une odeur, mélange de Sang et de poudre à canon, semblable à celle de la mort flottait dans toute la Ville Lumière. Seul les Lumières de la tour Effel éclairait les visages et les uniformes. Les Soldats qu'il soit Français ou Allemands tiraient partout et sur ce qui bougeait sans faire attention à leurs identités. C'est ainsi qu'une balle provenant d'un Général Allemand me frôla le bras et arracha sur son Passage les trois couches de ma peau. Légèrement blessé au bras, Mon général me donna l'ordre de rentrer. J'arriva devant les deux portes Voisines. Je m'avance dans celle qui conduisait dans sa chambre. Je mis ma main sur la poignet et au moment de la tourner, j'entendis rigoler. De nature curieuse, je mis mon oreille contre la porte et écouta discrètement.

Ondine : Gouten Tag...

Un rire éclata.

Daisy : Non, Guten Tag... ça veut dire Bonjour.

Je reconnu toute suite les deux voix. La première appartenait à Ondine et la deuxième à Daisy.

Ondine : Guten Tag !
Daisy : Avec l'accent de la compagne française, c'est génial !

Et j'entendis à nouveau rire dans la pièce. Ondine qui essaye de parler ma langue maternelle... C'est trop mignon. Son Accent typiquement français me rend le sourire après cette nuit au côté de Lucifer. Je continua à écouter...

Daisy : Bon, je crois que je vais te laisser... ça suffit pour aujourd'hui.
Ondine : D'accord. On continu demain ?
Daisy : Très Bien.

J'entendis des pas avancer vers la porte.

Ondine : Daisy attend !
Daisy : Oui.
Ondine : Juste un dernier mot ...

Les pas s'arrêtèrent. Etrangement, je ne comprenais pas leurs paroles françaises. Mon cerveau à vraiment un drôle de fonctionnement. Je ne comprends qu'Ondine quand elle parle avec Moi. Quel Situation !

Ondine : Je t'aime.
Daisy : A qui veux-tu dire cette aussi belle déclaration ? ... Ondine, fait attention les Allemands ne sont pas des gens de confiance. Ils nous prennent, nous font de belles déclarations et s'en font des que la guerre est finit...
Ondine : Pourquoi me dit tu cela, Daisy ?
Daisy : Parce que c'est ce qui est arrivé à ma Mère...

Il y eut un silence dans la pièce. Je me demande ce qu'elle se raconte toutes les deux.

Daisy : A l'époque, Ma famille vivait en Alsace...Lors de la « Der des Der », Mon père était parti au front en laissant ma mère et ma sœur ainée seul. Les allemands ont envahi cette région de la France et ma mère la rencontré. Dans les contes de Fée, on appelle ça le Coup de Foudre. Il lui a fait de belles déclarations, lui a promis de resté en France des que tout serais fini... Que de Mensonges ! ... Ma mère lui a donné sa dignité et je suis arrivé au monde quelques mois plus tard... J'ai eu l'occasion de voir mon père seulement une fois et bien sûr, je ne m'en souviens pas. La Guerre s'est terminée et il a quitté le pays sans même dire au revoir à Ma Mère... sans même venir voir sa petite fille, l'être que était née de l'amour entre ma mère et lui-même... Ma mère n'a jamais plus eu de nouvelle de Lui.

Il y eu un silence dans la chambre.

Daisy : Au retour de Mon père, Ma mère ne lui à rien caché. Ça a été un déshonore pour lui mais L'amour qu'il ressentait pour ma mère a été plus fort que tout le reste. Il m'a reconnu comme étend son enfant et à éviter à ma mère les pires tortures. Peu de temps après, ils ont eu une nouvelle fille et la vie à continuer comme si ne rien ne s'était passé... Plus je grandissais et plus je ressemblais à une Allemande. Mes cheveux Blonds, mes Yeux bleus, ma peau blanche... Bref Je dois t'ennuyer avec mes Histoires...
Ondine : NON ! ... non, au contraire je besoin que tu me raconte ton histoire...
Daisy : Je suis fatiguer Ondine ...
Ondine : Je comprends.
Daisy : Je le sais que tu comprends. C'est pour cela que je suis venu te voir en réalité toute à l'heure... Fais attention Ondine, ils sont très manipulateurs.

Des pas se firent entendre de nouveaux mais ils s'arrêtèrent vite.

Daisy: Ich Liebe Dich
Ondine: Comment ?
Daisy: Je t'aime en Allemand c'est Ich liebe dich...
Ondine : Ich liebe dich...

Je rêve ?!

Daisy : Tu as réussis à le prononcer comme il faut d'un seul coup, c'est bien Ondine.
Ondine : Ich liebe Dich...

Mon cœur se met à battre à 300 km/h et un frison parcourt mon corps tout entier. De sa bouche, cette phrase magique prend tout son sens. Je mis une main sur mon cœur pour qu'il se calme. A mon dieu ! Quel sensation ! ...

Daisy : Sacha ? ...

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Daisy : Bon, je crois que je vais te laisser... ça suffit pour aujourd'hui.
Ondine : D'accord. On continu demain ?
Daisy : Très Bien.

Daisy se leva et commença à partir. L'Allemand est vraiment une langue étrange. Même pour dire Bonjour, il faut utiliser deux mots. Je suis toute excitée à l'idée de pouvoir comprendre et parler avec Sacha...

Ondine : Daisy attend !

Elle s'arrêta et se retourna vers Moi.

Daisy : Oui.
Ondine : Juste un dernier mot ...

Elle me fit Oui de la Tête.

Ondine : Je t'aime.

Elle me dévisagea avec une drôle d'expression sur le visage.

Daisy : A qui veux-tu dire cette aussi belle déclaration ?

C'est quoi cette Question ?! Je voulais lui répondre à personne mais je n'y croyais moi-même tellement pas que les mots ne sortit pas. Et Puis, c'est Ma Vie Privée =)

Daisy : Ondine, fait attention les Allemands ne sont pas des gens de confiance. Ils nous prennent, nous font de belles déclarations et s'en font des que la guerre est finit...

J'avala ma salive de Travers. C'est quoi toutes ses Préjugés qui courent au sujet des Allemands. J'ai l'impression qu'on me parle de créature au corps
d'homme et au cœur de pierre ...

Ondine : Pourquoi me dit tu cela, Daisy ?
Daisy : Parce que c'est ce qui est arrivé à ma Mère...

Elle me répondit du tact au tact et sa réponse installa un silence dans la pièce. Je ne comprenais pas bien ce qu'elle venait de me dire jusqu'à ce qu'elle continu.

Daisy : A l'époque, Ma famille vivait en Alsace...Lors de la « Der des Der », Mon père était parti au front en laissant ma mère et ma sœur ainée seul. Les allemands ont envahi cette région de la France et ma mère la rencontré. Dans les contes de Fée, on appelle ça le Coup de Foudre. Il lui a fait de belles déclarations, lui a promis de resté en France des que tout serais fini...

Je buvais ses paroles.

Daisy : Que de Mensonges ! ... Ma mère lui a donné sa dignité et je suis arrivé au monde quelques mois plus tard...

Mes Yeux s'ouvrent comme des soucoupes.

Daisy : J'ai eu l'occasion de voir mon père seulement une fois et bien sûr, je ne m'en souviens pas. La Guerre s'est terminée et il a quitté le pays sans même dire au revoir à Ma Mère... sans même venir voir sa petite fille, l'être que était née de l'amour entre ma mère et lui-même... Ma mère n'a jamais plus eu de nouvelle de Lui.

Elle s'arrêta un Moment de parler. Surement l'émotion. Cette jeune femme était donc mi- Française, mi- Allemande... Je peux sentir dans sa voix ce qu'elle ressent. L'Image que son père lui a donné des hommes allemands est vraiment ... moche. Je ne trouve pas d'autres mots. Et Si Sacha était comme ça lui aussi ? Qu'il s'amusait avec moi en posant ses lèvres sur les miennes... s'il voulait simplement profiter de moi ?

Daisy : Au retour de Mon père, Ma mère ne lui à rien caché. Ça a été un déshonore pour lui mais L'amour qu'il ressentait pour ma mère a été plus fort que tout le reste.

C'est tellement beau le geste de son Père enfin beau-père envers sa mère ... Qu'es que j'aimerais que mon futur fiancé soit ainsi

Daisy : Il m'a reconnu comme étend son enfant et à éviter à ma mère les pires tortures.

Qu'entends telle par pire tortures ?

Daisy : Peu de temps après, ils ont eu une nouvelle fille et la vie à continuer comme si ne rien ne s'était passé... Plus je grandissais et plus je ressemblais à une Allemande. Mes cheveux Blonds, mes Yeux bleus, ma peau blanche...

Elle passa ses mains dans ses beaux cheveux d'or.

Daisy : ...Bref Je dois t'ennuyer avec mes Histoires...
Ondine : NON ! ... non, au contraire je besoin que tu me raconte ton histoire...

Ça à été plus fort que Moi. Je veux qu'elle continu son histoire, qu'elle...

Daisy : Je suis fatiguer Ondine ...
Ondine : Je comprends.

Je baissa le yeux et regarda le sol.

Daisy : Je le sais que tu comprends. C'est pour cela que je suis venu te voir en réalité toute à l'heure...

Je veux bien croire que je suis une personne plus digne de confiance que ses deux affreuses sœurs... je n'ai pas les chevilles qui enflent moi !

Daisy : Fais attention Ondine, ils sont très manipulateurs.

Elle me regarda dans les Yeux. Sentait-elle que je commençais à m'attacher à un homme vivant de l'autre côté de la frontière ? Elle commença à repartir quand elle s'arrêta une nouvelle fois. Peut-être voulait-elle me raconter une autre histoire ?

Daisy: Ich Liebe Dich

Hein?!

Ondine: Comment ?
Daisy: Je t'aime en Allemand c'est Ich liebe dich...

Je répéta sa phrase sans aucune difficulté ce qui me surpris moi-même.

Ondine : Ich liebe dich...

Un sourire s'afficha sur son visage d'ange.

Daisy : Tu as réussis à le prononcer comme il faut d'un seul coup, c'est bien Ondine.

Merci =) Profitant que mon cerveau soit à sa puissance maximum que je continua à la prononcer.

Ondine : Ich liebe Dich...

J'entendis ses pas partir de la chambre. J'en profita pour m'allonger sur mon lit quand j'entendis :

Daisy : Sacha ?!

Je me redressa brusquement. IL EST REVENU !

Sacha : Daisy, Gute Morgen!

Je le regarda, il avait l'air fatigué.

Daisy : Gute Morgen Sacha !

J'aimerais tellement être à la place de Daisy et pouvoir lui parler comme elle et moi l'avons fait avant.

Daisy : Ondine ist mude so wenn du etwas brauchen wurdest, muss du alles selbst machen heute.

Un silence s'installa entre eux.

Sacha . : Ach, gut… ich werde in mein Zimmer gehen

Daisy : Ja, ich glaude, dass es das Beste zu machen ist.

Je pus voir un sourire triste sur le Visage de Sacha et le vit faire demi-tour. Quand je le vu se retourner, je me leva d'un seul coup et cria son prénom.

Ondine : SACHA !

Les Deux personnes devant ma porte se retournèrent. Sur le visage de Daisy, une expression pleine d'interrogation y régnait alors que sur celui de Sacha, un sourire y était dessiné.

Ondine : Daisy, tu peux nous laisser, s'il te plait, je dois lui montrer quelque chose...

C'est quoi ce Mensonge que je viens de raconter !

Daisy : Très bien mais n'oublie pas ce que je t'ai dit toute à l'heure. Ils sont manipulateurs et indigne de confiance.

Je baissai les Yeux.

Daisy : Sacha.

J'entendis la porte se fermer et ses pas me firent lever la tête. Il s'installa sur mon Lit et je me colla contre lui. Son bras vint une nouvelle fois entourer ma taille. Je posa ma tête sur lui et une drôle d'odeur vint me pourrir les narines. Je me retira très vite. Il me regarda comme s'il n'avait pas compris. Cette odeur ressemble à celle du sang... SANG... Il est peut-être blessé ! Je commença à ouvrir les boutons de Son Uniforme très rapidement. Je lui retira très vite et trouva une chemise vert et des bretelles ... je ne savais pas que les Soldats portaient des Brettelles... Quelques taches sang était visible sur la manche de sa Chemise. Je commença à lui retirer quand il m'attrapa les Mains et Que son regard tomba dans le mien. Ses lèvres s'approchèrent des miennes et une fois de plus se touchèrent. Directement, j’oublia les taches de sang sur sa chemise et ne pensa qu’à Lui et Moi. Très vite Notre baiser fut fougueux et il fit naitre en moi une sensation que je ne connaissais pas. Une sensation de plaisir extrême. Ses mains chaudes se posèrent sur mon visage et je bascula sur Mon lit. Je sentis tout le poids de son Corps sur le mien. Il était plus lourd que moi et pourtant je n'avais pas mal. Quelle étrange sensation ! Ses baisers descendirent le long de mon cou. Je soupira et mon corps se raidit. Ses mains sur ma taille glissèrent le long de mes hanches puis je les sentis sur mes jambes nues. La jupe de ma robe remonta en même temps que ses doigts frôlent le haut de mes cuisses...

« Ils sont manipulateurs et indigne de confiance »

D'un seul coup, je le poussa et me leva. Je sentis son regard sur Moi, ce qui me fit m'enfoncer dans la chambre.

Ondine : Excuse-moi mais je ne suis prête pour cela.

J'entendis sa respiration. Non mais qu'es qui m'a pris de me laisser emporter de la sorte !?! Quelques secondes plus tard, je sentis sa présence derrière Moi. Je me retourna et le regarda dans les Yeux.

Ondine : Je veux laisser ce privilège à mon futur époux.

Il me fit Oui de la tête comme s'il avait compris. Je sentis la chaleur de ses lèvres sur ma joue et le vis quitté ma chambre sans un Mot. La porte claqua derrière Lui...

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Daisy : Sacha ?!

Un sourire digne d'un enfant prie en train de faire une bêtise s'afficha sur mon visage.

Sacha : Daisy Bonjour !

Poliment elle me répondit.

Daisy : Bonjour Sacha !

Je ne sais pas quoi lui dire. Je l'entendais derrière la porte et pourtant je ne suis pas parti... Pourquoi ? Maintenant j'ai l'air d'un idiot devant Ses Yeux
verts.

Daisy : Ondine est fatiguée alors si tu as besoin de quelque chose il faudra te débrouiller tout seul aujourd'hui.

A ce que je vois je ne suis pas le bienvenue... Dommage. Ça me mal au cœur d'être rejeter ainsi. J'avais tellement envie de la voir, de lui parler ... Tant
pis...

Sacha : Bon et bien... je vais aller dans ma Chambre.

Daisy : Oui, je pense que c'est le mieux à faire.
Je regarda une dernière fois dans la chambre. Elle était là, assise sur son lit aussi pur qu'elle, nous regardant. Je me retourna pour partir quand mon prénom retendit dans tout le couloir.

Ondine : SACHA !

Je me retourna et vis Daisy faire la même chose que Moi.

Ondine : Daisy, tu peux nous laisser, s'il te plait, je dois lui montrer quelque chose...
Daisy : Très bien mais n'oublie pas ce que je t'ai dit toute à l'heure. Ils sont manipulateurs et indigne de confiance.

Ondine baissa la tête et Daisy se retourna vers Moi pour me saluer.

Daisy : Sacha.

Je lui répondis de la tête et elle sortit de la Chambre. Je ferma la porte derrière elle et m'avança jusqu'à celle que je voulais voir. Ondine. Ma Ondine. Je m'installer à ses côtés. Elle se rapprocha encore un peu plus de moi. On était comme collé. Mes Bras l'entourèrent et elle se blottit contre mon cœur. Ça bat drôlement vite à l'intérieur. J'appuya mon menton sur Sa Tête jusqu'à ce que je la sente se retirer de notre étreinte. On se regarda longuement puis je vis ses mains sur ma veste d'uniforme. Que fait-elle ? Un bouton de retirer, puis deux... Très rapidement, ma veste se trouva au sol. Voulait-elle aller plus loin avec Moi ? Des images de mon rêve d'hier soir me revenirent en mémoire. Son Corps nue dessiné sous mes yeux avides. J’attrapa ses mains et mes lèvres touchèrent les siennes. Je veux partager avec elle quelque chose d'aussi fort que cet échange. Ma langue passa la barrière de ses lèvres. Ce baiser fougueux et profond vit naitre une sensation de chaleur vers mon bas ventre. Je la balança délicatement sur le lit et me mit sur elle. Je veux aller plus loin avec elle. Je veux qu'elle soit mienne. Je gouta à la saveur de sa peau. Un vrai délice. Je ne me contrôle plus. Mes mains passent sous sa robe. Quelle peau douce ! Elle me fait tourner la tête. Je veux sentir ses mains sur Moi. Je veux une caresse de sa part. Mais au lieu de ça, je la sentis bouger sous moi. J'ouvris les yeux et la vit disparaitre de mon champ de vision. Elle se leva et s'éloigna de Moi. NON ! Revins Ondine ! Jamais je n'ai vécu un moment aussi magique aussi fort de toute mon existence !

Ondine : Excuse-moi mais je ne suis prête pour cela.

Une fois de plus, je compris ses dires. Mais je suis trop troublé pour m'arrêter là-dessus. Je me redresse et me rhabilla. Je ne sais pas pourquoi mais j'ai la respiration haletante. Il faut que je me calme. Vraiment. Une fois habillé, je m'approcha d'elle. Elle se retourna vers moi. Ses yeux tombèrent dans les Miens perdus.

Ondine : Je veux laisser ce privilège à mon futur époux.

Oh. Je fis oui de la tête pour ne pas montrer ma déception. Ondine se conserve pour un autre homme que moi. C'est beau mais au fond de moi, je sentis un brin de jalousie. J'aimerais tellement être cet homme mais elle mérite tellement mieux... Quelqu'un comme elle. Je l'embrassa sur la joue. C'est tout ce dont je dois me contenter à partir de maintenant. Je partis aussi vite que je le pus et ferma la porte derrière Moi. Je m'aperçus qu'un bouton de ma Chemise était ouvert. Je le remis quand j'entendis sa Réflexion.

Daisy : Maintenant tu as eu ce dont tu voulais ...

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Daisy, Gute Morgen!: Daisy, Bonjour !
Gute Morgen Sacha !: Bonjour Sacha !
Ondine ist mude so wenn du etwas brauchen wurdest, muss du alles selbst machen heute.: Ondine est fatiguée alors si tu as besoin de quelque chose il faudra te débrouiller tout seul aujourd'hui.
Ach, gut… ich werde in mein Zimmer gehen: Bon et bien... je vais aller dans ma Chambre.
Ja, ich glaude, dass es das Beste zu machen ist.: Oui, je pense que c'est le mieux à faire.

* Discours du 17 juin 1940 du Maréchal Pétain.

Auteur: Et Encore Merci à Intercel pour les Traductions Allemandes =D

On comprend mieux les préjugés sur les allemand grâce à Daisy qui a racontée son histoire =)
Je trouve la réflexion de Daisy un peu hum...comment dire?...Enfin elle n'as pas vue ce qu'il s'est passé et elle lui sort sa quoi..
'Fin bref, j'adore toujours autant
J'ai hâte de savoir la suite

lol Sacha qui veux apprendre le Français et Ondine qui veut apprendre l'Allemand ^^

Donc Daisy est plus gentille que Lily et Violette car elle à pas le même père .... par contre je sent qu'il va y arriver un truc je le sent mal