Chapitre n°2: La Drôle de Guerre1er septembre 1939:«♪Zum letzten Mal
Wird Sturmalarm (-appell) geblasen!
Zum Kampfe steh’n
Wir alle schon bereit!
|: Schon (Bald) flattern Hitlerfahnen über allen Straßen (über Barrikaden)
Die Knechtschaft dauert
Nur noch kurze Zeit!
♫ »
- Papa! Arête Avec cette Chanson! J’ai Mal à La Tête !
- Mais Voyons Mon Fils, l’Allemagne va bientôt connaître Un Nouveau tournant.
- C'est-à-dire ?
- Notre Histoire à partir de Maintenant sera Gravé pour l’Eternité. Toutes les Nations nous respecterons. On ne parlera Que de la puissance de l’Allemagne dans les livres d’Histoire.
Mon Père est devenu complétement Fou. Le Führer est devenu pour Lui comme Une Idole. Il parle de L’Allemagne comme des Etats-Unis. A la Maison, il chante « Horst-Wessel-Lied » à chaque fois qu’il se réveille ou qu’il va se coucher. C’est Pour Lui Une Façon de Montrer l’Admiration qu’il a du Führer. Dans la Rue, Quand il passe devant Notre Nouveau Drapeau, Il lève la Main de façon très Hitlérienne. Mon Père n’a Jamais été très Conservateur. Il Aime le Changement et C’est Pour Cela qu’il Idolâtre Notre Chef d’Etat.
- Sacha, Sortons Un Peu Tout les Deux.
- Oui, si Tu veux …
Dans les Rues de Berlin, Je trouve qu’il y a de Plus en Plus de SS.
- Guten Tag Herren !
- Begrüßungen !
Après avoir Saluer Ses Hommes au Service de l’Etat, il se pencha contre Moi.
- Mon Fils, Je prie Dieu Pour d’un Jour Viendra, Tu me salue dans Cet Uniforme.
- Papa, Tu sais Très Bien que Je ne suis Pas Fait Pour Accentué la Terreur de Certaines Personnes
- Mais Tu te Trompes. Ces Gens-là ont des Contacts directe avec le Grand Führer Hitler. Et Puis Ils Font Juste Exercer les Nouvelles Lois. Ce n’est Pas de La faute de SS, si certains hommes sont nés inferieur à d’autres.
- Papa …
- Non, Sacha, Il n’y a Pas de Papa. Tu as la Chance d’être Né Allemand alors Rend Nous Fier. Lebendig das Dritte Reich !!
Nous Passons Ensemble devant La Nouvelle Chancellerie. Hitler avait Jugé Bon de la Construire au Cœur de La Capitale. Apparemment C’était d’Après Lui, Selon la Presse, Un Point stratégique. Mais de Quel Stratégie Parlait-il ? Une stratégie Politique ? Seul l’Avenir Nous le Dira. Sur Le Mur de la Chancellerie, des Dizaines de Drapeaux Rouge décoré d’une Croix de Forme étrange Noir appeler Croix Camé pendaient le Long de la Façade. Mon Père se mis devant Moi.
- C’est ça L’Avenir.
Il leva la Main et fit le Signe Nazi.
- Avec Moi Sacha.
Je leva à Mon Tour la Main et Mima Son Geste.
- Dans Cette Immeuble, Le Future Maitre du Monde est Installé.
- Pas Maitre du Monde Papa … Führer du Troisième Reich.
- Il Va étendre Le Territoire Allemand pour Cultiver La Richesse de Notre Peuple.
- Mais Papa pour étendre Un Territoire, il faut faire … la Guerre.
- L’Allemagne tiens enfin Sa Vengeance. Tous les Autres pays se sont Bien Amusé à Nous Voir Pilier pendant Toutes ses Longues Années. La Misère c’est Terminé !!
- Papa ne crie Pas Comme ça.
- Mon Fils grâce à Lui.
Mon Père pointa du Doigt La Chancellerie de La Ville.
- … Grâce à Lui Tes Enfants ne connaitrons jamais la Honte et l'Humiliation de porter les Couleur de L’Allemagne…
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- Ondine !
Je me mis à Courir jusqu’à dans l’étable ou se trouvait Mon Frère Léon. Quand j’arriva à l’étable, il était en train de chercher des Graines pour les Poules.
- Te voilà enfin.
- Désolé, Je ne t’avais Pas entendu.
- C’est Pas Grave.
- Tu veux que je nourrisse les Poules ?
- Maman m’a dit que les Impôts avaient augmenté en plus des taxes sur le Sucre, la viande et la Farine qui flambent.
- Oui, je le sais Bien tout ça.
- Ondine, tu es Ma Petite Sœur et pour le Bien de Toute la Famille, Je ne peux plus te soutenir
- Comment ça ?
- Depuis le Début, Je fais Tout pour Que n’aille Pas Travailler dans Une Autre Famille mais cette Fois c’est Pour Ton Bien …
- Je ne veux pas Aller faire la Boniche devant des Gens de Bonnes Familles !
- Ondine, Arrête de Faire l’enfant !
- Et Toi ? tu vas Rester Ici Bien Pépère !!
- On Peut dire ça comme ça.
Ecœuré par Sa Décision, Je cracha par terre à côté de Ses Chaussures et Commença à partir. Mes Joues étaient devenues Rouge à cause la Colère. J’entendis des Pas derrière Moi.
- Léon dégage !
Il m’attrapa Par les épaules et Me serra contre Lui.
- Maman et Moi ne voulons pas Nous séparé de Toi Mais c’est Ainsi …
- Ainsi, ça veut Dire Quoi ? Injuste ?
Il ne me Répondit Pas. Je prends ça pour Une réponse positif.
- Ce n’est pas parce que Je suis Une femme qu’il faut me traité comme si j’étais l’ombre d’un Homme.
Sans me Répondre, il sortit de Sa Chaussette Un Petit Morceau de Papier jaunis. Il me tendit.
- Moi Aussi J’aimerais Faire ce dont J’ai envie mais Je pense à Vous d’abord. Je suis l’Homme de La Famille, je dois donc être responsable.
Je déplia le Papier et vu Une petite Affiche que l’on trouve accrocher Sur les Poteau de la Ville. Il y avait écrit en Gros « ORDRE DE MOBILISATION GENERAL » Deux Drapeaux Bleu Blanc Rouge se dessinent en dessous de l’auteur : La 3éme République Française.
- Je ne sais Pas Lire.
- Arrête de Faire l’Imbécile. Je sais Très Bien Que Tu as Compris.
- Je ne fais l’imbécile. Je ne sais Pas ce que ça signifie.
- La Guerre !
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L'armée Allemande Franchit La Frontière Polonaise et Envahit le Pays Par la Force Sous l’Ordre d’Hitler. L’URSS rejoint La Guerre au Côté de l’Allemagne. Le Traité de Versailles et l’Accord de Munich ne sont Pas Respectés Par L’Allemagne. Quelques Jours Plus Tard, l’Armée Française et Britannique attaquent l’Allemagne de L’Ouest. C’est le début de La Drôle de Guerre…
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6 septembre 1939:- Pour l’Occasion, Je t’ai Acheté Une Nouvelle Robe.
- Merci Maman
- Va Prendre Un Bain à L’étang et met Ta Robe. Je dois t’amener ce soir.
- D’accord Maman.
Je partis vers l’étang ma nouvelle robe à la Main. Arrivé devant l’étendu d’Eau, Je retira mes Sabots et mis mes Pieds dans l’eau. L’eau était Très Fraiche malgré Que les températures soient encore élevées. Je me déshabilla entièrement et me plongea doucement dans l’eau. Ma Peau à Son Contact Frissonna. Je mis ma tête en arrière pour mouiller mes Cheveux. Je me frotta partout pour enlever le Plus de crasse possible. Quelques Algues me chatouillèrent les Pieds. Une fois toute Propre, Je me sorti de l’eau. D’un seul coup, j’entendis Quelqu’un Siffler. Je me retourna et vit … Mon Imbécile de Voisin. Mon Premier Réflexe fut de me replonger dans l’eau.
- Pas Mal !
Je le regarda sans trop Comprendre.
- Tu es vraiment Mieux sans ta Robe.
- Dégage espèce de Voyeur !
Il avança Jusqu'à mes Vêtements et me Pris Ma Nouvelle robe. Il la mit devant lui et la regarda.
- Pas Mal.
- Enlève vite tes Sales Pâtes de Ma Robe.
Il se recula de Quelques Mètre, ma robe toujours entre ses Mains.
- Tiens viens la Chercher.
Je me mis à Souffler Un Grand coup.
- Arête de Faire Ta Timide Ondine. Dans Quelques Années, On sera Mariés. Je caresserais Ton Corps à L’aide de Ma Plume …
J’en eu assez de Son Récit. Je me leva et courra vers Lui. Je lui arracha presque La Robe des Main et la mit devant Moi Pour Caché Mon Corps Nue. Je commença à l’enfilé sous Son Regard de …
- J’espère Que tu t’ais Bien Rincer l’œil !
- Tu vas ou Habillé comme ça ?
- Ça te Regarde ?!! NON !
- J’espère Que tu ne te cherches Pas Un Fiancé Parce que Tu en n’a déjà Un.
- Arrête de Rêver de Moi La Nuit ! Entre les rêves et la Réalité, il y a Un Mur à franchir.
- Tu sais Autant Que Moi que Nous Sommes Promis l’un à L’autre depuis Notre naissance.
- Tu ne la Ferme Jamais !
- Arête de Vivre dans tes Comptes de fée, La Vie s’est Pas Comme ça !
- Tu es Qui Pour me dire ce Que j’ai à Faire !
- C’est Juste pour t’éviter de tomber de trop Haut quand tu auras le Courage de sortir de Tes Rêveries
- C’est Vraiment Très Gentile de t’inquiète pour Moi, Mais Je n’ai Pas besoin de tes Conseils Débiles !
Je ferma les Boutons de Ma Robe et me regarda dans le reflet de l’eau. Une Jolie Jeune femme apparut.
- La couleur Bleu Marine te Va à ravir.
- Je m’en fou de ce Que tu penses.
Même si Je l’envoyais Baladé tout le Temps depuis Que j’ai Appris Que Mon Père m’avait Promise à Cet Homme, il avait très souvent Raison. Quoi Que Je fasse à Un Moment ou à Un Autre, Je serais à Lui. Il Faut que j’arrête de Rêver de Mon Beau Prince Charmant. Même en ce qui concerne Ma Robe, il a raison. Je me trouve très Belle. Mes Cheveux encore Mouillés ressortent bien et accentue Mon Sourire. La Dentelle Blanche à quelques endroits me donne un Air moins Rural.
- Mon Père M’a dit Que Tu partais Pour travailler dans Une Famille à Fortune. C’est Vrai ?
- Comment Tu le sais !! ?
- Alors il avait Raison.
- Je t’ai posé Une Question !
Il s’approcha de Moi et me pinça la Joue.
- Aïe ! Non Mais Qu’es qu’il te prend !?
- Ne t’inquiète Pas Ma Petite Sourie, Je viendrais de cherché Un Jour.
Je ne Répondis Pas.
- Mon Père m’a dit de te Dire de Faire attention quand tu seras là-bas.
- Pourquoi ?
- Avec Tout ce qui arrive, Je suis de Son Avis.
- Mais il y a Quoi Là-bas ?
Il Baissa la tête.
- L’Allemand approche.
Je ne sais Pas pourquoi mais à cet instant, j’ai cru Que je ne devais pas en rajouter. Il s’approcha de Moi et me déposa un Baiser sur Les lèvres. Quand il se retira, il me regarda trop dans les Yeux.
- N’oublie Pas qu’un Jour Je Viendrais te cherché.
Sa main me caressa la Joue.
- Au Revoir Ondine.
- Au Revoir Jacky.
Il Partit en me laissant Seul. Je partis vite pour la Maison. A Mon Arrivé, Ma mère et Léon me firent Pleins de Compliments. Avant les « Au revoir », Mon Frère voulu Trinqué à Ma Santé mais Je refusa.
- Mais Pourquoi Ondine ?
- Je veux trinquer à Autre Chose.
- Dis-Nous Tout …
Je leva Mon Verre de Vin.
- A La France !
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- Tu es Vraiment Superbe Mon Chéri comme ça !!
- Maman, ce n’est Rien qu’une tenue Militaire.
Ma Mère me prit dans Ses Bras. Mon Père arriva à cet instant.
- Je vais te préparer Un Petit Encas avant Ton Départ, Sacha.
- Merci Maman.
Et Ma Mère partit me laissant seul Avec Mon père. On se regardait sans se dire Un Mot. Une larme coula le Long de La Joue de Mon Père. Mon Cœur se souleva. Je n’avais Jamais Vu Mon Père pleuré. Mes Mains commencèrent à devenir moites. Sans Comprendre Mon Geste, j’attrapa mon père par la Nuque et le plaqua Contre moi. Je le serra Fort. Si J’en suis ici, c’est Par Rapport à Lui. La France a attaqué le Pays sans Que l’Allemagne ne si attente et Voilà ce Qui Arrive. Les Innocents font Au Front. J’espère Que Je ne vais Pas Pourrir au fond des Tranchées. Mon Père, en digne compatriote, a vendu Son Fils A Lucifer. Si Je pars Au Front Maintenant c’est Pour Mon Père et l’Honneur de ma famille. Je ne comprends Pas Pourquoi ma Famille est si contente Que Je parte Quelques part d’où Je ne reviendrais Peut-être Jamais. Mon Père se retira de Mon Etreinte et mis Une Main sur Mon épaule.
- Je suis tellement Heureux de te voir vêtu Ainsi. La Croix camé te va tellement Bien.
Mon Père fit Référence à la Croix sur le bras droit de Mon Uniforme.
- Je sais Qu’avec Un Soldat Comme Toi, Mon Fils, La France n’a Aucune Chance.
- Merci Papa.
- N’Oublie Pas « Ein Reich, ein Volk, ein Führer »
- Ein Reich, ein Volk, ein Führer !!
- Tu es Vraiment La Fierté de La Famille.
- Danke Vater.
Il y eu Un Silence entre Nous.
- Bon C’est L’Heure. Je dois Partir sinon Je vais Raté l’embarquement.
- Au Revoir Mon Fils.
- Au Revoir Papa.
Il me sera contre Lui.
- Mach uns stolz mein Sohn !
Je lui répondis Oui d’un signe de tête et Partit en direction du Front.
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Zum letzten Mal:Pour la dernière fois
Wird Sturmalarm (-appell) geblasen!: L'alarme (appel) va être sonné.
Zum Kampfe steh’n: Pour le Combat
Wir alle schon bereit!:Nous sommes tous déjà prêts
|: Schon (Bald) flattern Hitlerfahnen über allen Straßen (über Barrikaden): Déjà (bientôt) les drapeaux hitlériens flottent au-dessus de toutes les rues (de toutes les barricades).
Die Knechtschaft dauert Nur noch kurze Zeit!: La servitude ne durera plus longtemps!
Horst-Wessel-Lied: Hymne Officiel du Parti Nazi
Guten Tag Herren : Bonjour Messieurs
Begrüßungen: Salutation
Lebendig das Dritte Reich: Vive le Troisième Empire !!
Ein Reich, ein Volk, ein Führer !!: Un Empire, Un Peuple, Un Quide !! (devise d'Hitler)
Danke Vater: Merci Papa
Mach uns stolz mein Sohn: Rend Nous Fière
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