Destins croisés

Je me lance dans une nouvelle histoire, un peu différente. Je reprend seulement les personnages et leur personnalités! J'espère que ca vous plaira.... Bonne lecture!

Perchée sur d’interminable talon et une énorme valise à la main, Ondine semblait perdue. Quelques heures plus tôt, elle attérissais dans cette nouvelle ville. Elle était enjouée et prête pour recommencer sa vie à zéro, comme la dernière fois ou elle avait du recommencer, comme toute les autres fois. A chaque fois elle avait ressenti ce soulagement mais à chaque fois elle avait rencontré un type, peu importe lequel, et avait passé une nuit voir plus dans ses bras. A chaque fois elle avait du lui mentir et partir. Et maintenant, elle était de retour à la case départ : toujours le même sentiment de vide, toujours cette même solitude, déprimante et inéluctable. Elle était né avec ce poids. Il y’a des choses dans la vie qu’on ne peut pas changé. Votre avenir en dépend et on doit juste accepter de vivre avec. Ondine était née avec un poid difficile à porter et pour se protèger et protéger ceux qu’elle aimait, elle ne devait jamais rester trop de temps au même endroit. Elle s’arreta quelque minutes, et sorti un mouchoir de sa poche pour essuyer les quelque perles de sueur qui avait coulée le long de son cou. L’été n’avait jamais été si chaud. Le soleil l’aveuglait et lui brulait les yeux. Elle n’avait pas penser à emmener ses lunettes de soleil. Peu importe, la prochaine fois elle partira dans un pays plus au nord. Elle commençait à en avoir marre de la chaleur étouffante. Elle sorti un élastique de sa poche et attacha ses longs cheveux roux en une queue de cheval haute. Reprenant son courage à deux mains, elle poursuivit son chemin. Elle devait de nouveau tout recommencer, et la priorité était de trouver un endroit ou dormir.
Après de longues minutes interminable de marche, elle décida de s’arreter à une terrasse et commenda un café. Elle fut interrompu dans ses pensées par un jeune homme:

Jeune homme: Perdue?

Ondine: Non

Jeune homme (sourire): Dommage

La jeune fille ne pu réprimer un rire. C'est drôle, ça faisait à peine quelques heures qu'elle se trouvait là, à languir dans cette nouvelle ville, qu'elle attirait déjà les regards.
Le jeune homme, qui devait mesurer dans les 1m90, avait les cheveux noirs rammené en pic et devait travaillé là vu l’uniforme qu’il portait.

Ondine (ironie) : Vous savez que la mode des pics c’est démodé?

Jeune homme (rire): Vous ne vous laissez pas démontez jeune femme. Aurais-je la chance de pouvoir mettre un prénom sur ce doux visage?

Ondine: Je ne pense pas

Elle avait fini son café. Elle lui laissa l’argent necessaire pour payer son café et elle voulu continuer son chemin mais il lui barra la route:

Jeune homme: Je m’appelle Pierre

Ondine: Enchantée

Pierre: Cette ville est dangeureuse, vous avez besoin de quelqu’un pour vous protéger et..

?: Pierre, laisse la jeune femme tranquille veux tu?

Pierre se retourna et sourit lorsqu’il reconnu la personne.
Il avait les cheveux noirs tout comme lui, mais d’un noir ébène. Ondine ne souhaitait qu’une chose, pouvoir partir. Elle aurait voulu se montrer froide et distante, comme elle le faisait toujours avec ce genre d'hommes. Mais lorsqu'il avait planté son regard dans ses yeux brûlés par le soleil, elle avait ressentie l'envie d’oublier son secret. Du moins de l'enlever et de la poser sagement à côté d'elle, juste pour un soir. Ou juste pour lui.

La couleur de ses cheveux se mariait parfaitement avec son regard sombre. Il était certe plus petit que Pierre, mais à la vue de la carrure du jeune homme, Ondine ne pu réprimer un frisson.

Pierre: Sacha! Te revoilà. Ca fait des jours et des jours qu’on ne t’a plus vu au café.. As tu des nouvelles sur..?

Sacha: Oui et de très bonnes, on l’a enfin localisé!

Ondine: Et bien je vois que vous avez pleins de choses à vous raconter. Je vais vous laisser, je dois encore chercher un endroit ou dormir et la nuit ne va pas tarder à tomber. Merci, Pierre et Sacha.. ravie de vous avoir, euh rencontrer.

Il lui sourit. Ce sourire était vraiment entrain de lui faire perdre ses moyens.

Sacha: Pardon, je manque à tous mes devoirs. Je m’appelle Sacha, et vous?

Elle ne devait pas répondre, ca recommençait, elle ne pouvait pas

Ondine: Ondine, je m’appelle Ondine.

[i]

super! je veux la suite !!!

chouette une nouvelle fic!

Cool, j'ai hate de savoir la suite =)

J'adore
suite

J'adhère, j'adore! et j'en veux encoooore!

ça y est ma soeur est en manque

Alors la vielle a pas sa dose? Lol
T'inquiete, moi aussi chui en manque, en manque de pc
Quand je dit la vieille, je rigole biensur! MDR
Enfin bref, je le redit: suite

Je sens que je vais adorer cette fic ^^
Vivement la suite

Merci , je met la suite, j'espère que ca vous plaira toujours

Ondine : Ondine je m’appelle Ondine !

Sacha : Enchanté Ondine, donc tu disais que tu cherchais un endroit où dormir ?

Ondine : Oui c’est exact, vous n’auriez pas un endroit à me proposer ?

Sacha : Si chez moi !

Pierre : Chez toi ? Mais attend tu..

Sacha (regard noir) : Pierre va donc me chercher un café et un bien serré, j’en ai bien besoin.

Au grand étonnement d’Ondine, Pierre ne chercha pas à répondre, ni même protester. Il salua Ondine et se dirigea vers l’intérieur. L’assurance que Sacha avait dans la voix ainsi que la réaction de Pierre prouvaient l’influence du jeune homme. Ondine se demanda l’âge qu’il pouvait avoir. Elle se surpris également à se demander qui il avait réussi à localiser. La curiosité avait toujours été l’un de ses pires défauts. C’est d’ailleurs à cause de ça qu’elle devait sans cesse fuir, partir.

Sacha : Tiens laisse ta valise au café, va faire un peu les boutiques aux alentours et retrouve moi ici dans disons deux heures ?

Ondine : Mais attend je n’ai pas encore accepté, et d’ailleurs personne ne m’a jamais dit ce que je devais faire.

Le regard de Sacha changea brusquement, passant du sourire au regard sérieux.

Sacha : Fais moi confiance, tu seras beaucoup mieux chez moi.. Ah moins que tu préfères aller chez Pierre. Je pense qu’il se fera une joie de…

Ondine (agitant la main) : Non merci ca ira

Sacha (retrouvant le sourire) : Alors tout est réglé, à dans deux heures Ondy.

Sur ces mots il prit la valise d’Ondine, lui fit un rapide signe de la main et se dirigea vers l’intérieur.

Ondine (pensant) Ondy ? Mais c’est quoi ce surnom débile ?

C’était la première fois qu’elle rencontrait quelqu’un comme Sacha, il avait de l’assurance, oh ça oui, il avait de la classe, il avait du charme. Il n’avait rien à voir avec ces garçons d’une nuit dont elle était habituée. Le genre de garçon dont on oublie l’existence une fois passé la porte d’entrée. Non Sacha était de ceux dont on se souvenait surement pendant très longtemps.
Cela faisait bien 5 minutes que Sacha était rentré et Ondine se rendit compte qu’elle n’avait toujours pas bougé. Elle décida donc de se diriger vers le centre ville et faire ses fameuses boutiques. Après tout il ne lui resta que ça à faire.


Pendant ce temps dans le café :
Sacha s’était assis au comptoir et commença à boire le café préparé par Pierre.

Pierre (murmurant) : Sacha tu joues à quoi ? Tu crois que c’est le moment pour toi de te lançer dans une nouvelle histoire d’amour ?

Sacha (sérieux) : Décidément Pierre, tu ne me connais pas aussi bien que tu le prétends.

Pierre (étonné) : Que veux-tu dire ? Et que vas dire ta conquête du moment ?

Sacha (énervé) : Déjà Pierre laisse Aurore en dehors de ça, c’est pas une histoire d’amour elle et moi, c’est juste comment te dire… une façon de passer le temps

Pierre : Bon d’accord si tu veux, mais c’est quoi ton plan avec Ondine ? Je te signale que toute la ville compte sur toi pour Giovanni.

Sacha (retrouvant son calme) : Avec Ondine ? C’est une nouvelle en ville je te signale, qui te dit que ce n’est pas un espion ? Ou un agent envoyé par Giovanni ? Au moins sous mon toit, je pourrais la surveiller et la tester. Je pourrais voir si il est sincère ou non. Tu comprends mieux maintenant ? Je dois la mettre en confiance, si c’est un espion elle doit croire que je ne me doute de rien et sinon… ca fera une présence à la maison.

Pierre : Oh… Je n’ai pas du tout penser à ça. Elle doit être vide depuis que..

Sacha (le coupant) : Trop vide oui ! Mais ce n’est pas le sujet. Sers moi un autre café.

Pierre (en lui ramenant le café) : Tiens, maintenant raconte moi

Sacha : Je sais où il se trouve, Pierre, j’ai retrouvé Giovanni.