Chapitre 4 :
Une semaine s’était écoulée. Une semaine de dure labeur encore. Mais peu importe. J’adorais m’occuper de mon arène. Les dresseurs qui venaient m’affronter étaient tous interressant. Chaqu’un avait sa particularité, ses propres ambitions, son prpre caractère, sa propre force. Bref.
C’est très interressant de cotoyer tant de personnes.
Pierre était là à m’aider, aujourd’hui dimanche c’était jour de fermeture et de grand nettoyage. On était occupé à astiquer depuis 8 heures du matin. Et il était déjà 17 heures. La nuit commençait à tomber.
Cela dit, on avait presque fini. Et ce soir, on était tous les deux invité à dîner chez ma sœur Daisy. Son mari était en vacances pour une semaine depuis la veille, et ils ont vu l’occasion idéale pour qu’on se retrouve tous réunis.
_ Bon, et bien je crois que ça ira comme ça, dis-je, on a bien travaillé. Et encore merci énormément de m’avoir aidé, sans toi j’aurai pas eu fini avant au moins minuit.
_ De rien ma Didy. Je n’allais quand même pas te laisser faire toute seule. C’est la moindre des choses que je puisse faire, t’aider.
_ C’est très gentil… Bon, je crois qu’on peut enfin ranger nos sceau et aller nous doucher. Daisy m’a dit qu’on devait être chez elle pour 18h30.
_Ok.
Nous rangeâmes nos ustensiles de nettoyages, faisons le tour des aquariums pour nous assurer que tous les pokemon allaient bien, et nous nous nous decidames enfin à fermer l’arène.
Il était temps de rentrer à la maison et se préparer. Et vu notre état, une bonne douche ne serait certainement pas du luxe. ^^
*
Trois bon quart d’heure plus tard, on était douché, tout beaux tout propres, et prêts, enfin presque, il me restait les dernier détail, attacher mes cheveux, trouver mes baskets que je ne suis jamais fichue de ranger au même endroit, mettre ma montre et mon manteau.
Oui en temps normal, j’ai un côté tom boy. Et j’aime mon style. Mes seules touches de féminités quand je sors avec un garçon sont des escarpins à petits talons, une touche de mascara, de gloss et fard à joue, et mes cheveux lachés.
Quoi que rien que ça ça faisait une énorme différence.^^
Je ne met pas de jupes ou de robes, je ne me sens pas à l’aise dedans. Et puis ce n’est pas moi. Mais bon mon style particulier, ça n’empêche pas les garçons de m’apprécier .
Et mes cheveux sont attachés la plupart du temps. Avec tout ce que j’ai a faire, les laisser detacher, surtout avec la longueur qu’ils font, se serait contraignant. Oui ils sont très long, il m’arrivent au bas des reins. ^^ Et attention, j’y tiens à mes cheveux !
Bref, il était temps d’aller chez Daisy pour le repas, il était 18h30, le temps d’y aller, il serait 40. Donc fallait pas trainer. Dans son état il ne vallait mieux pas la stresser.
On partit et arrivions donc chez elle 10 minutes plus tard comme je l’avais dit. Ca sentait bon. Elle et Lily avaient passé l’apres midi à préparer le repas. Et ça valait le coup. Ca semblait apaitissant.
Nous primes tous ensemble l’apéritif. Mes sœurs, leur conjoints, moi et Pierre. Puis on passa à table et nous passames une soirée chaleureuse.
Enfin, chaleureuse jusqu’au moment du dessert ou ma sœur Violette mit sur le tapis le sujet qui faisait mouche à chaques fois. Ma vie sentimentale.
_Quand nous présentera tu enfin le prince charmant Tite sœur ?
Je la regardai d’un œil mauvais et répondit
_ Non Violette, tu ne vas pas recommencer avec ça !
_ Je ne comprend pas, je ne dis rien de mal. L’amour ce n’est pas un sujet qui rebute d’habitude.
_ Et bien moi si ! je ne veux pas être amoureuse !
Daisy, je crois la plus sage de mes sœurs, intervint et répondit à son tour
_Tu sais p’tite sœur, ça ne se commande pas ce genre de choses. Tu crois qu’on décide d’aimer ou pas ? Non. Pour l’instant tu n’es jamais tombée sur quelqu’un qui te fait battre le cœur, mais quand ça arrivera, tu n’auras d’autre choix que d’aimer. C’est comme ça.
_ Oui et bien, je souhaite que ça n’arrive pas ! Aimer= souffrir. Je ne veux pas souffrir ! Pas pour un homme ! Je veux bien accepter la souffrance pour beaucoup de choses, mais pas pour quelque chose d’aussi niais que l’amour.
Je les vis tous se regarder avec un regard qui signifiait clairement ce qu’ils pensaient, entre autre, que j’était un cas desespéré qui finirait soit folle, soit vieille fille. Et chez d’autres qui signifiait que je n’étais qu’une gamine qui ne sait pas de quoi elle parle.
Mais de quoi j’me mêle ? je fais ce que je veux de ma vie non ? Pff. Et puis zut.
Ce sujet de conversation partit vite aux oubliettes et on discuta de multiples autres sujets.
Quand l’horloge sonna 23h00, je decidai de rentrer, et Pierre me suivit, les autres nous emboitèrent le pas.
On salua nos hôtes et nous repartimes chez moi.
Là, Pierre et moi nous souhatèrent bonne nuit et on alla se coucher. Je m’endormis vite, épuisée par cette longue journée.