I lost you [Fiction le rêve de Diana] Chapitre 9 page 2

Voilà, j'ai décidé de poster ma fiction ici =) Par contre il se pourrait que dans la fiction certains passages soient un peu osé, alors pour ceux qui ont 16 ans et plus, il n'y a pas de problèmes, je ne vais pas faire ça dans le moindre détail là, mais si vous avez moins que ça, bien pensez y, vous avez un jugement ^^

Sinon je vais expliquer l'histoire.

Dans la série le rêve de Diana, en allemand, (car en français, ils sont pas rendus aussi loin) Le DRH (Je ne suis pas sûre si est DRH, mais bon) Il travaille dans un centre de mise en forme, Dr Axel Schwarz a une aventure avec son assistante, Nina Sommer. Cette femme l'aime, mais lui ne l'aime pas sérieusement. Il se sert d'elle et la maniplule.

Dans mon histoire, Axel se rend compte qu'il est tombé amoureux d'elle. Nina, ne veut plus lui adresser la parole à cause du fait qu'il s'est servi d'elle et qui la fait souffrir. En plus de cela, j'ai intégré le frère jumeau d'Axel, Thomas Schwarz (dont il est totalement inventé, Laughing

) qui lui enlève la femme qu'il aime. Alors Axel vivra divers moment d'émotions et quelqu'un sera pour l'aider, mais cette personne tombera amoureuse de lui...

Le reste, bien je crois que je ne vais pas en dire plus ! ^^

Bonne lecture, j'espère que vous allez aimer ! Very Happy

Spoiler:

PROLOGUE

-Thomas, il ne s'est rien passé, je te le jure.

Je regardais mon frère lui parler. Celui qui me ressemblait comme deux gouttes d'eau. Celui qui parlait à la femme que j'aimais. J'en étais tombé amoureux. À la folie. J'avais tellement été idiot en la traitant ainsi. Il fallait qu'il arrive, lui. Le moment où je voulais enfin lui déclarer mon amour, était tombé à l'eau. Il fallait qu'il arrive dans ma vie. Celui qui avait réussit tout au long de ma vie, à tout me prendre. Il me la prenait. La femme que je n'avais jamais autant aimé et que j'avais réalisé trop tard que je l'aimais.
Je les regardais, tellement collés l'un à l'autre. Ce qui me faisait terriblement mal.

-Nina.

Il avait une voix si amoureuse en lui parlant. Elle lui disait qu'il ne s'était rien passé entre nous. Cela m'avais profondément blessé. Avait-elle oublié notre fameuse soirée ? Avait-elle oublié notre baiser lorsque nous étions tous les deux dans la piscine ? Ah, j'oubliais. Je l'avais manipulé.

-Je t'aime.

Je voulais tant que ces mots me soient destinés. Je les regardais. Nina était si proche de lui. Elle le regardait dans les yeux, et lui aussi. Il finit par prendre son visage entre ses mains et elle ne le repoussait même pas.

Une telle rage s'était emparée de moi. Je ne savais pas ce qui m'empêchais de courir pour les séparer et de le menacer si il oserait encore la toucher.
Il l'embrassait. Il sépara ses lèvres des siennes et colla son front sur le sien. Je la fixais. Elle avait les yeux fermé. Elle passait tendrement son nez contre le sien. Il fermait les yeux à son tour et lui murmurait les mots dont je me sentais le plus coupable.

-Jamais je ne te ferai souffrir, pas comme lui.

Elle lui avait sans doute raconté ce qu'elle avait sur le coeur. Un tel sentiment de culpabilité s'emparait de moi. Je voulais tant reculer en arrière pour effacer les moments ou je l'avais fait souffrir. Je voulais tant faire marche arrière et lui montrer à qu'elle point je l'aimais et que je l'aimais toujours. Je ne pouvais plus.
Ils ne se préoccupaient pas de moi. Ils se regardaient droit dans les yeux.

-Je sais.

Cette-fois ci, ce fut elle qui s'emparait de ses lèvres. Elle y mettait tellement de passion et d'amour que cela me serrait le coeur. Je n'avais jamais eu autant mal de toute ma vie. Je les voyaient s'embrasser comme si leur vie en dépendait.
Il l'aimait, elle l'aimait.

Et moi ?

Je venais tout juste de la perdre.

Chapitre 1

Non. Je ne pouvais pas le laisser me la prendre. Elle était la femme de ma vie et je ne me voyais pas vivre avec aucune autre femme. Je fis un effort de les épier. Leurs lèvres ne s'étaient pas séparées, l'une de l'autre. Je ne pouvais pas supporter cela plus longtemps. Cela était pire que la torture de voir la femme que j'aimais embrasser un autre homme, mon propre frère. Il ne pouvait pas refaire surface comme cela et me la voler. J'avais fait des erreurs, je ne pouvais pas le nier. Par contre, j'avais une telle envie de me rattraper, pour qu'elle voit que j'avais changé, que je ne jouais plus avec ses sentiments. Dieu que je l'aimais. Je refais tout pour lui prouver. Tout ce qui est en mon pouvoir. J'étais sincère, je voulais lui faire savoir. Elle aurait du mal à me faire confiance, mais je décrocherais la lune s'il le fallait. Je ferais tout pour l'avoir de nouveau entre mes bras et de l'embrasser comme un homme n'aurait jamais embrassé une femme de toute sa vie.

Je me cachais derrière le mur, n'en pouvant plus. Mon coeur battait douloureusment dans ma poitrine. Je me sentais atrocément jaloux. Nina n'avais jamais été aussi intense avec un homme, et cet homme n'était pas moi. Il me ressemblait, mais ce n'était pas moi. Dieu que j'aurai voulu être à sa place. Ne voyant personne aux alentours, je me glissai tout au long du mur long du mur. Il n'y avait que moi à blâmer. Si je n'avais pas été aussi odieux. Si je m'étais rendu compte des sentiments que je ressentais pour elle. Tout cela était de ma faute. Je me mettais la tête entre les mains. Je me sentais tellement coupable de son état. J'avais été un vrai monstre. Jamais je n'arriverais à me pardonner. Les larmes coulaient sur mes joues. Je ne méritais pas ces larmes. Je ne méritais pas d'être triste. Je ne méritais pas de l'aimer, après tant l'avoir fait souffrir. Je pouvais me traiter de tous les noms de la terre. Aucun d'entre eux ne me qualifirait assez. Je méritais toutes les injures du monde.

-Dr Schwarz ?

Je relevai la tête, nerveux. Une servante se tenait devant moi. Je réalisais ma position. Je me sentais gêné et me releva aussitôt. J'essuyais discrètement mon visage. Je n'osais pas trop m'adresser à elle, ne sachant pas comment expliquer ma situation.

-Vous allez bien ?

Je me retournai vers elle. Je n'avais aucune envie de lui dire la raison de cette situation. Mon regard était tout à fait compréhensible. Elle avait finit par voir que je n'osais pas en parler et n'insistait pas. Elle retournait à son travail comme si rien ne s'était passé, à mon grand soulagement.

Je regardais dans la pièce où je les avais vu, mais ils n'étaient plus là. Je commençais à paniquer. Je me suis mit à la chercher des yeux, mais je ne la voyait pas. Je ne les voyait pas. Je regardais dans chaque pièce de la bâtisse, mais il n'y avait rien. Je me demandais ce qu'elle faisait. Je me doutais bien qu'elle était avec lui. Cela ne m'enchantais pas du tout. Je retournais à la pièce ou il y avait la piscine. Les deux avaient finis par revenir. Nina avait posé son regard sur le mien, mais le détourna. Elle le regardait lui. Thomas s'approchait d'elle et la prenait pas la taille.

-Je n'ai jamais mangé une frite aussi bonne ! Nous devrions y aller plus souvent.
-Oui, tu as raison, chéri.

Il approchait son visage du sien. Je serrais les poings. Nina le regardait elle aussi. Il approchait les lèvres des siennes. Nina faisait de même. Puis elle l'embrassait. Il répondait à son baiser. Nina fermait les yeux et le lui rendit passionnément.
Je me sentais brisé. Ce n'était pas mes lèvres qu'elle embrassait. Ce n'était pas mon coeur qui lui appartenait. Je voulais m'éffondrer au sol. Je voulais mourrir. Je voulais qu'elle réalise l'amour que je ressentais pour elle. Je voulais qu'elle vienne à mon secours et prendre mon corps dans ses bras. Je la regarderais, d'un nouveau regard cette fois-ci. Je tremblerais. Je caresserais sa joue de ma main tremblante et je lui dirais à quel point je l'aimais, avec tout la sincérité du monde. Elle me regarderait, d'un regard embué de larmes. Elle baisserait ses lèvres contre les miennes en un baiser amoureux et sincère. Elle me caresserait la joue et me pardonnerait tout, en disant qu'elle m'aimait elle aussi. Si elle n'étais plus a moi, je succomberais. Les derniers battements de mon coeur se raréfiaient. Je voyais le visage de la femme que j'aimais heureuse aux côtés d'un autre homme, ayant famille et enfants. Je renderais mon dernier souffle, car mon coeur n'avait plus personne à aimer, sachant que celle qui y était, n'était plus qu'une illusion. Je renderais l'âme, étendu par terre, bouche ouverte et mes deux yeux bleus ciels grands ouverts.

-Je dois y aller Nina.

J'entendis cette voix qui me sortis de mes lugubres pensées pour me faire revenir à la réalité, encore plus douloureuse. Je me trouvais toujours là, devant la grande piscine, dont j'avais toujours les yeux fixés sur elle. Elle le suppliait de rester, mais il ne pouvait pas. Il l'embrassait une dernière fois, puis s'en allait. Je vis qu'elle ne savait pas quoi faire. Elle avait fini par détourner son regard vers le mien et en était surprise. Elle me regardait. Elle était effrayée.

Je la regardais toujours, en réalisant que mon rival n'était plus là. J'ouvris la bouche et je prononcais son nom dans un murmure sanglotant.

-Nina...

Elle me regardait et était étonnée du son de ma voix. Elle fronçait les sourcils et reculait. Elle me tournait les talons. Je ne voulais pas qu'elle me fuie. Je ne voulais pas qu'elle s'éloigne de moi.

-Non. Nina !

Je courrais. Le plus vite que je pouvais. Je la voyais entrer dans l'ascenseur. Je ne voulais pas la voir disparaître sous mes yeux. J'avançai vers les portes. Nina semblait très énervée. Les portes se refermaient. Non ! Tout mais sauf cela ! Je courrais. Je me trouvais devant. Il était trop tard. Les portes étaient presque fermées. Nina me regardait. Je la regardais aussi.

Dans un élan de pasison démesurée, je lui disais les trois petits mots qui étaient douloureusement enfouis en moi depuis tellement longtemps.

-Je t'aime...

Puis elle disparut sous mes yeux. Une libération s'échapait de moi pendant qu'un mal me gagnait.

Chapitre 2

Je restais là. Devant ces portes. La douleur ne voulait pas me quitter. L'image de la femme que j'aimais s'était volatilisée, sous mon nez. J'espérais tellement que les portes s'ouvrent à nouveau. J'espérais tellement qu'elle y soit encore. Les portes s'ouvriraient et elle serait là. Elle me regarderait dans les yeux. Je m'approcherais, elle ne me fuierait pas. Les portes se fermeraient sur nous. Nous descenderions. J'actionnerais le bouton de blocage et l'ascenseur s'arrêterait. Nina me regarderait et elle ne serait pas effrayée. À ce moment là, je m'approcherais encore plus. J'aurai toujours un regard intense plongé dans le sien. Mon visage serait à quelques centimètres du sien. Mon souffle chaud viendrait chatouiller ses si douces lèvres. Des lèvres que je ne voudrais partager avec personne. Elle me regarderait, tremblante. Elle baisserait le regard, mais je le remonterais de mes doigts. Elle me regarderait ainsi, les larmes lui venant aux yeux. Elle me dirait que je l'aurais profondément blessée par mon comportement. Je sentirais un coup de poingart me heurter violemment. Je me sentirais si mal de l'avoir fait souffrir. Je m'en voudrais tellement. J'approcherais mon visage du sien et je lui souflerais dans un murmure gémissant :

-Pardonne-moi....

Je collerais mon front au sien.

-Jamais je ne referai cette erreur. Jamais....

Puis je lui prendrais son visage entre mes main et écraserait mes lèvres sur les siennes.

Je l'embrasserais comme jamais un homme n'aurait embrassé une femme. Dans ce seul baiser, je lui ferait sentir tout l'amour que je ressentirais pour elle.

Elle y répondrait et nous nous embrasserions tous les deux comme fous.....

*********

Des larmes s'écoulaient de mes yeux. Je les rouvris. L'image que j'avais d'elle était disparue. Je me retrouvais toujours devant ces portes, froides. Les portes ne s'ouvriraient pas. Nina ne serait plus à l'intérieur. Elle serait partie. Elle ne reviendrait pas. Je n'osais pas imaginer qu'elle serait dans ses bras. J'avais mal en y pensant. Avec lui. Mon propre frère. Qui me ressemble tellement. Ce qui me fait encore plus de mal.

-Dr Schwarz ?

Je me retournais. Je le voyais. Il était bien la dernière personne que j'avais envie de voir. Lui qui était son meilleur ami. Lui qui me poserait sans doute des questions sur elle. Que je supporterais pas. Je ne voulais pas cacher ma peine, qui m'avait dominée. Les larmes ne cessèrent de couler. Je n'étais pas capable de prononcer un seul mot.

Il s'approchait de moi et s'apprêterait sûrement à me parler. Il ne semblait pas surpris de mon état.

-C'est Nina, je me trompe ? Je l'ai vu avec votre frère je crois.

Il savait que j'avais un frère. Tout le monde le savait. Tout le monde l'aimait. Pourquoi ? Car il n'était pas comme moi. Il ne manipulait personne, il n'avait jamais jamais été odieux, ni monstrueux.

-Vous l'aimez.

Je le regardai. Les yeux rougis par la peine. Il croisait les bras.

-Vous lui avez fait beaucoup de mal. Vous savez ?[center]

Chapitre 2 (suite)

Une lame me transperçait la poitrine. Je le savais bien plus qui ne le savait lui-même. Je le savais par cette torture que je vivais en ce moment et que je vivrais certainement pendant encore longtemps. Je me sentais hideux, laid. Je ne cesserai jamais de m'en vouloir.

Roman me regardait, il avait touché à un point sensible. Il voyait bien que j'étais dans un piteux état, mais serait sans doute le dernier à vouloir m'écouter.

-Ne venez pas pleurer sur mon épaule, car je suis dégoûté de ce que vous lui avez fait.

Il me faisait un regard mauvais. Cela était tout à fait compréhensible. Il ne pouvait pas savoir à quel point du dégoût que je ressentais par mes actes.

Il disparut derrières les portes d'ascenseur à son tour.

Je me passais les mains sur mon visage mouillés par les larmes.

Je me retournais. Je voyais la piscine. Je m'approchais. Je ne cessais de penser à ses paroles.

Je l'avais perdu. Elle ne reviendrait pas vers moi. J'avais été dégeulasse. Elle ne méritait pas un homme comme moi. Tout le monde sur cette terre, méritait mieux que cette pourriture d'Axel Schwarz.

N'ayant plus l'espoir de pouvoir l'avoir dans mes bras un jour, je m'avançai vers la masse d'eau bleue. Je regardai en bas, voyant mon image méprisante.

Puis je fermai les yeux. N'ayant plus aucune raison de rester, je me penchai et fini par me laisser tomber dans les profondeurs de l'obscurité.

Je sentais l'eau froide. Je ne bougais pas. Je sentais l'eau entrer dans mes narines, je ne bougais pas. J'attendais les derniers battements de mon coeur. Je fut bientôt privé d'oxygène. Il ne m'étais plus utile. Je n'étais plus utile.

Puis je suffoquais. Du sang sortait de mes narines.

Je sombrais.

"Oh mon Dieu, Dr Schwarz !"

Quelqu'un plongea dans l'eau.

Mais cela, je n'avais pas eu le temps de l'entendre.

Chapitre 3

Je m'enfonçai dans les profondeurs. J'allais atteindre mon but qui était de quitter ce monde. Je n'entendais plus rien autour de moi. Je gardais les yeux fermés en attendant que mon heure vienne, en ayant plus de raison de vivre. Celle que j'aimais et dont j'ai tellement fait souffrir s'était éloignée de moi. Ce serait dans la mort que j'aurais réalisé que je l'aimais plus que tout. Je lui avait enfin déclaré, mais le regard qu'elle avait eu pour moi était aussi froid que de la glace. Cela m'avait brisé en deux. Je savais bien qu'elle n'en était pas totalement indifférente, mais d'un autre côté, il y avait eu si plein de dégoût et de mépris. Cela m'avait fait ressentir comme si j'avais la mort dans l'âme. Elle était partie. Pour me fuir. Pour ne pas souffrir de nouveau. Cela n'était certainement plus mon intention, mais qui me croirait? Moi qui avait toujours été si manipulateur, ils penseraient que je serais le même. Ils avaient tord. Je n'étais plus celui qui se comportait ainsi. Moi seul le savait et j'avais tellement mal, haut plus haut des points.

Maintenant, il était trop tard. Il lui était trop tard pour lui dévoiler de nouveau l'amour fou que je ressentais pour elle. Tout était noir à présent. Je ne voyais rien devant moi. J'attendais impatiemment la lumière au bout de ce sombre chemin comme tant de personnes le disaient dans les films quand ils étaient proches de la mort.
Rien. Il n'y avait rien. Le noir était complet. Je me demandais si j'étais déjà mort. Si cela était le cas, la mort serait ainsi ? Voulait-elle me prendre et de m'amener à cet endroit qu'on appelait le paradis? Non. Je ne pouvais pas m'y rendre. J'avais commis un acte impardonnable de vouloir m'enlever la vie. Cet endroit d'anges ne voudrait pas de moi. Au nombre de personnes à qui j'avais causé tant de douleur et peine, je serais condamné à rester dans la noirceur. Je repensais à Annette, dont je me suis tant moqué. Elle n'avait pas mérité cela. Elle aurait pu être celle de ma vie, si je n'aurais pas agi en véritable imbécile. Je ne pouvais pas nier que j'avais ressenti quelque chose pour elle à l'époque. J'avais également fait souffrir Jenny et sa mère, mais il fallait dire qu'elles n'étaient pas tout à fait innocentes dans leurs actions. Elles avaient également certaines choses à se rapprocher. Tout cela était dû au passé et je ne voulais plus retourner en arrière. Le mal avait été fait. Tout était trop tard. Je priais pour qu'enfin je puisse tomber dans quelque chose. Soit dans les lymbes, soit dans l'enfer pour payer tout le mal que j'avais causé. La femme que j'aimais me hantait. Celle que je ne penserais jamais en tomber amoureux. Cela était arrivé. Le jour ou j'avais compris que je l'aimais, elle était avec un autre. Mon frère. Un homme qui me ressemblait. Tellement que les autres n'arriveraient pas à nous distinguer. Il était gentil, lui. Il ferait tout pour ne pas lui faire de mal et de la rendre heureuse, lui. Chose que je voulais tellement, mais qui était trop tard.

Cet acte, je m'en voulais de ne pas le regretter. Si quelqu'un tenait à moi, il me dirait sans doute que je ne serais qu'un lâche, un insensible. Je lui dirais que se serait tout le contraire. Je l'aimais trop. Je ne pourrais pas m'empêcher de souffrir de la voir la voir avec un autre homme. Je la verrais à chaque jour. Je la verrais passer du temps avec lui. Je la verrais l'embrasser. À chaque jour, je m'éteigenrais à petit feu.
Je me sentais si froid. L'heure avait sonné. La mort viendrait enfin me chercher et déciderait à quel endroit je serais le mieux placé. Je vis soudainement, une ombre s'approcher de moi. Je savais qui elle était. Elle viendrait se saisir de mon âme qui me délivrerait. Elle était la seule chose que je voyais autour de moi. Elle était un peu plus claire et s'approchait encore. Mon heure allait arriver. Elle avait finit par être à quelques centimères de moi. J'attendais impatiemment, jusqu'à ce qu'elle finisse par me dire :

-Tu ne mourras pas.

Puis elle s'éloignait de moi. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait. Je voulais bien courir, mais la froideur qui s'était emparée de moi était de plus en plus lourde, m'obligeant de ne pas bouger. Que m'arrivait-il?

-Dr Schwarz, répondez-moi ! Oh mon Dieu, Dr Schwarz !

J'entendais une voix. Une voix qui ne m'était pas étrangère. Mes poumons faisaient une drôle de pression sur moi. J'ouvris les yeux et je toussais en même temps. Je voyais maintenant très clairement autour de moi. Je sentais ses mains sur mon visage et je sentais qu'on tenait mon corps. Je me sentais si froid. Je me sentais mouillé.
Je regardais la personne qui me tenait. Je la reconnaissais très bien. Brigitte, celle qui travaillait au centre. Elle semblait très paniquée et était mouillée aussi de la tête aux pieds.
-Pouvez-vous me dire ce qu'il vous a prit ! On ne rigole pas avec ce genre de choses !
Je regardais autour de moi, en cligant difficilement des yeux. Je me rappelais ce qu'il s'était passé. Je ne rigolais pas du tout. La dure réalité revenait à moi. L'image de Nina me hantait de nouveau. L'image de la voir dans les bras d'un autre homme me hantait aussi. Je ne voulais pas les voir. Une douleur profonde s'emparait de moi, comme si elle ne m'avait jamais quittée. Je n'avais jamais eu aussi mal de toute ma vie.

-Pourquoi m'avez-vous sauvé....

Chapitre 4

Pourquoi m'avat-elle sorti de l'eau. Je ne voulais pas remonter. La femme me regardait, effrayée par mes paroles. Je la regardai dans les yeux en espérant pouvoir lui montrer tout le mal que je ressentais. Elle semblait avoir compris quelque chose, mais ne savait probablement pas de quoi il s'agissait. Elle mis sa main sur mon front gentiment. Elle n'était pas obligée de faire cela. Elle aurait pu me sauver et me laisser comme cela, où même elle aurait pu me laisser me noyer. Je ne méritais l'affection de personne. Elle avait gardé sa main sur ma tête et s'était un peu calmée. Je voyais bien qu'elle n'osait pas me demander ce qu'il s'était passé, par peur. Par habitude, puisque je lui disais tout le temps de s'occuper de ses affaires.

-Il faut vous amener aux urgences.

Elle avait essayé de dire cela sur un ton le plus calme possible, mais j'avais bien vu qu'elle était inquiète. Quand j'entendis cette phrase, je me relevai et contestais.

-Non... Je ne veux pas.

-Axel.

Je la regardai et je me retournais vers elle. S'était bien la première fois qu'elle m'appelait par mon prénom. Devais-je lui rectifier ? Non, je ne voulais pas. Elle venait de me sauver la vie, malgré mon désir d'y rester.

Je me relevai avec peine. Elle m'avait aidé à me relever et avait en même temps essayer de me convaincre. Je la regardai et je restais sur la même conviction.

-Je ne vais pas aller à l'hôpital !

Elle me regardait, surprise. Je voyais bien qu'elle voulait m'aider, mais je ne voulais l'aide de personne. Elle s'approchait de moi.

-Vous avez essayé de vous enlever la vie, Dr, Schwarz. Je crois que vous avez besoin d'aide.

Comment le savait-elle ? Comment avait-elle su que j'avais voulu mettre un terme à mes jours? Je restais très surpris.
-Comment vous....

-Vous l'aimez.
-...
-Nina

Un autre de ces poignards me transperçait le corps. Je reculais d'elle, je voulais m'éloigner. Elle ne devait pas aller plus loin. Elle ne devait plus prononcer un seul mot. Je la regardais dans les yeux, la suppliant du regard de ne plus rien ajouter.

-Laissez-moi vous aider.
-Non..

Je reculais de nouveau. Je vis qu'elle ne semblait pas vouloir me laisser partir.

-Dr Schwarz.

Je lui tournais le dos et ne l'écoutait plus. Je m'avançais vers la porte et je marchais vite. C'est à ce moment que je la sentis s'abattre sur moi.

-Je ne vous laisserai jamais dans cet état !

Je me débattais contre elle, mais je manquais de force. Je m'écroulais sur le sol et je ne pus m'empêcher de pleurer. J'étais à genous et je pleurais toutes les larmes de mon corps. Elle était encore là à me recouvrir de ses bras en tentant de m'aider.

-Laissez-moi mourir, je ne vaux plus rien.
-Ne dites pas ces choses là.
-Je l'ai perdu, celle que j'aime. Je suis un monstre.
-Shhhhh....

Je voulais tant la séparer de moi en lui disant que seule la femme que j'aime pouvait faire cela, mais elle n'était plus là. Je pleurais comme je n'avais jamais pleuré.

-Maintenant, vous allez faire ce que je vous dis.
-...

Je n'avais pas la force de protester. Elle prit le portable qu'elle avait dans ses poches et composerait certainement le numéro des urgences. Elle expliquait ce qu'il s'était passé.

-Une amublance va arriver.

Je ne disais plus rien. Si j'oserais ouvrir la bouche, j'éclaterais et elle ne réussirais pas à me réconforter.

-Vous êtes gelé.
Elle se releva doucement.

-Restez ici.

Elle partait.

Je n'avais même plus la force de me lever et de partir en courrant. Je n'avais même plus de raisons de me lever. Je n'avais plus raison d'être.
Elle revenait, avec une serviette. Elle l'enroula sur moi et commençait à frotter.

-Vous vous sentez mieux ?
-J'ai toujours froid, en moi.

Elle n'osait rien dire. Je ne voulais pas qu'elle parle.
Les ambulanciers arrivèrent. Il me mirent sur une civière et m'embarquaient dans l'ambulance.

-Je peux monter ?
-Vous êtes...
-C'est un ami.
-Bon, d'accord.

Nous partîmes un peu plus tard. Je ne sais pas ce que j'aurais fait si jamais elle aurait dit qu'elle serait ma femme ou ma fiancée. Cela m'aurais tellement fait mal parce que la femme que j'aimais n'était plus à moi.

Je ne parlais pas. Je fermais les yeux. J'avais toujours aussi mal. J'avais toujours l'envie de disparaître. J'avais toujours envie d'être dans cette piscine en train de mourir, de manque d'oxygène. Mon énergie de vivre, n'était plus là.

Nous étions rendus à l'hôpital et il me firent passer des examens. Ils disaient que je n'avais rien de grave et que j'étais hors de danger. Elle m'avait sauvé à tant.
J'étais maintenant dans la salle de repos. Ils m'avaient injectés de la morphine. J'étais entre la consciance et l'inconscience.

Avant de m'endormir, Brigitte m'adressait un regard qu'elle n'avait jamais eu pour moi.

Chapitre 5

Je tremblais. Je me demandais comment j'avais pour arriver ici. Devant ma porte d'appartement. Je ne voulais pas y entrer. Je n'étais plus seul ici. J'avais hébergé mon frère avant qu'il se trouve un emploi stable et s'installer dans sa propre demeure. Je tremblais, de colère, de tristesse. Il m'avait pris la femme que j'aimais. La femme que j'ai fais tellement souffrir avec ma manipulation. Je m'étais rendu compte que je ne pouvais pas vivre sans elle. Il était trop tard. Il était arrivé. Il me l'avait arraché. Ce n'est plus qu'avec un regard noir de haine et de colère qu'elle portait sur moi maintenant. Elle avait raison. Ce que j'avais était dégoûtant. Je me dégoûtais moi-même en y pensant. Comment avais-je pu faire des choses pareilles ? J'avais profité d'elle au moment où elle s'était offerte à moi. Je suis la pire des ordures qui peut exister sur terre. Je posais ma tête sur ma porte, puis je soupirais.

-Oh, pardonne-moi mon amour...

Je gémissais en prononçant ces mots. Je voulais tant faire pour reculer et de me rattraper. Je l'aurais aimé comme un fou. Il était trop tard. Je ne pouvais plus retenir mes larmes. Je me demandais toujours ce que je faisais ici. Je ne voulais pas entrer. Je ne voulais pas voir ce qu'il s'y passait. Je ne voulais pas les voir les deux dans les bras l'un de l'autre en train de s'embrasser, passionnément. Mon coeur ne le supporterais pas. J'avais tellement mal en me l'imaginant.

Je sentis tout à coup la main dans ma poche. Je sortais la clé. Ce n'était pas moi qui le faisait. Je ne voulais pas mettre ma clé dans la serrure et tourner la serrure pour la déverrouiller. Je ne pouvais pas lutter, cela était plus fort que moi.
La porte était maintenant ouverte. J'avançai, sans le vouloir. Je voulais repartir en courant. Je m'avançais quand même, je ne contrôlais plus mes mouvements...
Je vis qu'il y avait de la lumière, dans le salon. Je ne voulais pas savoir qui y était, si ils étaient tous les deux. Encore contre mon gré, j'arrivais à cet endroit. Mon coeur se stoppait de battre. Elle était là, toute seule. Assise sur le canapé. Je voyais que ses mains tremblaient. Je me trouvais là. Je me pus m'empêcher de dire son nom.

-Nina...

Elle sursauta et se retournait vers moi. En me voyant, elle se levait du canapé. Elle me jetait un regard froid, encore plus froid que la dernière fois qu'elle m'avait vu. Cela me torturais au plus haut point...

-Ne me regarde pas comme cela je t'en prie.

Mon ton était presque une supplique, mais cela ne semblait pas lui faire quelque chose.

-Comment veux-tu que je te regarde Axel ? Après tout ce que tu m'as fait ? Jamais je ne pourrai te pardonner, tu m'entends ?

Mon coeur était en mille miette, je savais que j'avais fait quelque chose d'horrible, mais ne pouvais pas m'empêcher de m'approcher d'elle. Elle me criait dessus.

-Ne t'approche pas de moi !
-Ne me demande pas cela, mon amour.

J'étais maintenant tout près d'elle. Elle reculait, je m'avançais. Maintenant elle ne pouvait plus s'échapper, en étant entre moi et le mur. Je mis mes mains sur son visage et la regardait comme jamais je ne l'avais regardé. Le regard froid qu'elle avait eu sur moi disparaissait peu à peu. Puis j'avançai mes lèvres mes des siennes.

-Non... Ne fais pas ça. J'aime Thomas.
-Pardonne-moi... Je t'aime.

Puis je déposais mes lèvres sur les siennes et l'embrassais passionnément. Elle ne me repoussait pas... Je sentis encore plus de pression de ses lèvres sur les miennes, elle ne me repoussait pas. Cela me rendait fou et j'approfondis un baiser et l'appuyai de plus en plus contre le mur.

-Chérie?

J'entendis une voix au loin. Peu de temps après, je sentais le froid me régner de nouveau. J'ouvris les yeux et elle me repoussait brusquement, puis me giflai en larmes. Elle s'en allait au milieu du salon et Elle ne le vit pas. Quand il fut arrivé dans le salon, elle se jeta dans ses bras. Il se demandait ce qu'il se passait, puisqu'elle était en larmes. C'est en relevant la tête, qu'il comprit. Il était furieux. Il se séparait d'elle et s'approchait de moi.

-Qu'est-ce que tu lui as encore fait?
-Je l'aime. Je te jure que c'est sincère Nina !

Nina criait de l'autre côté de la pièce.

-Et toi tu n'es rien pour moi ! Va t'en de ma vie ! Je ne veux plus jamais te voir !

Thomas se retournait vers elle et ensuite vers moi.

-Je m'en vais Axel. Elle vient avec moi. Toutes nos valises sont prêtes.

Je ne disais plus rien. Je la regardais, mais elle ne m'adressait plus un seul regard. Les larmes coulaient.

Non, ne t'éloigne pas de moi, je t'en prie.

Thomas se retournait vers elle.

-Mon coeur, je suis prêt. Je suis désolé que tu sois tombé sur lui. Tes valises sont dans la voiture?
-Oui, il n'y a que toi que j'attendais.

Cela me blessait encore plus. Elle ne pouvait pas ne plus m'aimer. Avec toute cette ardeur qu'elle m'avait donnée lorsque nous nous étions embrassés. Elle ne voulait plus souffrir de nouveau. Mais moi je ne pouvais pas m'empêcher d'avoir si mal. Un mal que je ne méritais même pas de ressentir.

Puis ils partirent. Elle s'éloingait de moi, je ne la verrais peut-être plus. Puis elle était partie. Je ne pouvais pas m'empêcher de crier de toute mon âme.

-NINA !

Puis tout devenait noir.

-Vite nous avons besoin d'un médecin ! Il fait des convultions !

Puis, j'ouvris les yeux. Tout était embrouillé Je regardais tout autour de moi et je sentais mon corps entier trembler. J'avais des montées de chaleur et je sentais mon poulx battre à cent mille à l'heure.

Puis un peu plus tard, tout redevenait normal. Je voyais encore plus clairement et j'avais réalisé que j'étais encore dans la chambre d'hôpital.
Je senti une serviette tiède m'éponger le front. Je levais les yeux et vit la personne qui m'avait aidée à venir ici. Brigitte. Je me souvenais aussi du regard qu'elle avait eu sur moi avant que je ne m'endorme. Je me disais que cela serait peut-être normal.

-Je me suis inquiétée. Tu vas mieux, c'est l'important.

Je la fixais, mais ne je répondais rien. Je baissais les yeux.
-Merci.

Elle ne me répondait rien. Cela était mieux ainsi. Je n'arriverais jamais à fermer l'oeil de peur de voir son image me hanter plus qu'elle ne m'hantais déjà.

Cela n'était qu'un rêve.

Mais la douleur était bel et bien présente.

Chapitre 6

Je me trouvais encore dans cette chambre d'hôpital. Tout ce qu'il y avait autour de moi me déprimais. Je voulais encore cesser d'exister, mais ma faiblesse me l'empêchais. Je rêvais même éveillé. Je ne cessais de voir son image me hanter. Elle refusait de disparaître, Dieu que je me détestait. Je voulais encore plus partir de ce monde, mais ma faiblesse me l'empêchait. Je ne cessais de repenser à ce cauchemard qui me blessais comme mille coups de poignard dans le coeur. Des larmes coulaient de mes joues et elles ne méritaient pas de couler, tellement j'avais fait de mal aux gens autour de moi. Surtout à celle que j'aimais plus que ma raison, au plus profond de mon être. Je ne trouvais plus de signification à la vie que je vivais. Elle était loin de moi. Ceux qui m'aimaient étaient loins de moi, par ma faute. tout le monde me détestait. Je n'avais plus rien. J'étais sur le bord du gouffre. J'étais en train de lâcher le dernier objet qui me retenait avant de tomber dans la vide.

-Une personne est venue vous voir.

J'entendis la voix d'une femme dans la pièce et je ne pris pas la peine de relever la tête. Cela ne pouvais pas être elle. Après tout ce que j'avais pu lui faire subir. Je n'avais même pas réalisé qu'une journée s'était passée.

-Dis-moi comment tu te sens.

Encore elle. Celle qui m'a sauvé la vie. Pourtant je n'ai pas toujours été gentil avec elle. Je ne l'ai été avec personne. Qu'attendait-elle que je lui réponde? Que tout allait bien? Que j'étais en pleine forme? Que j'étais avec la femme que j'aimais? Rien de tout cela. Je n'avais pas la force de lui crier dessus pour lui dire de partir. Pourtant, elle essayait de bien faire. La seule chose que je me demandais était : Pourquoi ce souciait-elle de moi?
Je n'osais pas lui répondre, sinon je dirais quelque chose que j'allais regretter par la suite. Je sentis mon lit se renfoncer. C'est là que j'ai compris qu'elle n'avait aucune iintention de partir.

-Pourquoi faites-vous cela pour moi.

J'étais trop faible pour la chasser, autant lui demander ce que je ce comprenais pas.

-Axel, je crois qu'il est temps d'oublier le vouvoiement.
-Qu'est-ce que tu veux. Je veux être seul.

J'avais le ton de voix un peu dur cette fois-ci. Cela ne la faisait pas partir pour autant.

-Je m'inquiète pour toi.
-Tu es bien la première personne à le faire.
-Je sais que tu as un bon fond, tout de même, sous ta carapace.
-Tu leur a expliqué mon absence au bureau?
-Non.
-De toute façon, cela leur serait bien égal.
-Ne dis pas cela!!

Les larmes s'emparèrent de nouveau de moi.

-Je suis un monstre, Brigitte. J'ai fait tellement mal aux autres. Aussi à Nina. Ô mon amour...

Je gémissais à présent. Je fermais les yeux, les larmes ne voulaient pas cesser de couler.

-Je l'ai perdu. Je ne pourrai jamais plus l'embrasser, ni la prendre dans mes bras, ni me faire pardonner. Elle me déteste et elle est dans ses bras. Pourquoi l'avoir laissé à mon frère!
-Calme-toi.

Puis elle posait sa main sur la mienne. J'ouvris les yeux et je la regardait.

-Je ne suis plus rien !
-Shhhh.

Elle s'approchait et me caressait les cheveux, doucement en me regardant tendrement.

-Je vais t'aider à remonter la pente, je serai là.
-Pourquoi ferais-tu ça?

Elle me souriait.

-Parce que tout le monde a le droit d'avoir une seconde chance.
-Toutes ces nouvelles chances qui m'ont été acordées je n'ai pas su les respecter.
-Laisse-moi t'aider.
-Je veux m'en aller.
-Axel...

Elle se penchait vers moi et m'embrassa sur le front. La tendresse qu'elle avait ne m'atteignant pas, car je souffrais trop. Je vis qu'elle voulait m'aider. À quoi bon? Je savais que cela ne mènerait à rien. Celle que j'aimais, ne m'aimait plus. Elle aimait un autre homme. Pourquoi n'était-elle pas tombée amoureuse de quelqu'un d'autre. Une personne qui vivait sous mon toit. Une personne de ma famille. Un frère que je déteste à présent. Je souffrais et cela importe peu les autres, avec toutes les raisons du monde... Pour eux, j'étais la même personne qu'avant, incapable de changer, incapable de bonté. Cette pensée me faisais mal au plus haut point. À quoi bon les blâmer? Je suis un homme mauvais aux yeux de tous. Je me sentais tellement mauvais, encore plus à ce moment même. Je voulais en finir, comme cela, je ne nuierais personne. Le monde serait en paix.

Épuisé de toutes ces questions et de ses pensées, je m'endormis. Les larmes coulaient encore à flos.

Invité

Très belle fic!!

Magnifique, mais très triste.

Oh merci beaucoup pour vos coms Very Happy

Oui elle sera triste, désolé ^^, mais bon vers le milieu ça devrais aller mieux ^^ Wink

Invité

on attend la suite en tout cas^^

Merci pour vos coms Very Happy

Le chapitre 6 est là ^^ Wink

Très beau chapitre, Brigitte est très compatissante. Smile

Vivement la suite. Wink

Invité

oui, aussi bien que le début!

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