Bah après les gérémiade et les pleurnicheri de mon cher piti mari (et après avoir recommencer trois fois! ><) je vous poste mon chtit torchon TT pas hyper génial comme fic, tiré de mon manga préféré Fruots Basket. Il me semble que même si vous ne connaissez pas le manga, on peut comprendre l'histoire vu que ce n'est pas la même^^'' Je vous poste déjà les trois premier chapitre, après si sa vous plait, vous me le dites et je met la suite (mais qui aimerai un nullité pareille?)
Angels battle
Chapitre 1:Le noir embrumait Tokyo. Plus une seule créature n’osait se traîner dehors ; seul le vent se risquait à siffler des complaintes dans les branches du vieil arbre d’un cimetière. La lune était totalement masquée, une bonne occasion pour les démons de vagabonder dans les rues ténébreuses de la capitale japonaise. Pourtant rien ne bougeait, les démons eux même étaient terrifiés. Quelque chose était pénétrée dans la ville, quelque chose d’assez puissant pour pétrifier la totalité de Tokyo. Aucunes étoiles ne brillait, toutes les vitres des lampadaires avait explosé en même temps en s’éteignant. Une forme noire glissait sur le sol ; elle s’approchait d’un immeuble.
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- On est en retard !
Une jeune fille brune courrait dans tous les sens dans un appartement, sous le regard surpris d’une autre jeune fille aux cheveux noirs et d’un jeune homme à la chevelure elle aussi noire.
- Calme-toi, Tohru, dit tout gentiment la deuxième jeune fille.
- On a examens aujouuuuuuuurd’hui, cria Tohru en encaissant un virage en enfilant une chaussette à cloche-pied.
- Quoiiii ?!
La jeune fille poussa un cri affolé et se mit à courir à son tour dans tous les sens.
- Ne t’en fait pas Komaki, dit le garçon au cheveux noirs, je vous prendrai toutes les deux sur mon scooter !
Tohru et Komaki s’arrêtèrent et tournèrent la tête vers le garçon.
- Maintenant il ne me reste plus qu’à m’en acheter un et à apprendre à conduire ! Continua le garçon avec un grand sourire. Une goutte apparut derrière la tête des deux jeunes filles, qui tombèrent par terre.
- KAKÉRU !!! crièrent les filles prêtes, en commençant à courir après ce dernier.
- J’AI COMPRIS ! ria Kakéru, en courant comme un dingue dans les escaliers de l’immeuble, suivies de près par les deux filles.
Sortis de l’immeuble, c’était la pagaille. Des groupes de lycéens retardataires où se mêlaient Kakéru, Tohru et Komaki courait après des bus, des taxis ou simplement vers leur établissement, sur les trottoirs comme pas. Le lycée du trio était le lycée Sakura (pas original, je sais…). Il était proche, si bien qu’en cinq minutes, les trois élèves arrivèrent. A peine assis à leur place, retentit la voix moqueuse du vieux Professeur squelettique de Mathématiques :
- J’espère qu’on a bien révisé aujourd’hui, n’est-ce pas ? dit-il d’une voix narquoise, les feuilles maudites dans les mains (vous voyez des quelles je parle ?)
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- Disparais ! hurla Kyoko Honda, dans une ruelle sombre.
Devant elle, se tenait une immense ombre noir. Deux traits violet brillant lui faisait guise d’yeux. Tout le reste était indescriptible, noir.
- Pourquoi partirais-je ? Pour la première fois… commença l’Ombre en levant une main griffu.
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- Plus que cinq minutes, dit le Professeur en jetant un regard sadique à ses élèves.
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- …que tu es…
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- Plus qu’une minute ! dit le professeur en faisant un sourire mauvais à ses élèves.
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- …A MA MERCI ! cria l’Ombre en abaissant sa patte sur la femme. Et c’est dans un dernier hurlement, le sang fusant partout, que Kyoko Honda rendit son dernier souffle…
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- Posez vos crayon c’est fini ! dit le professeur.
Il se leva pour ramasser les feuilles maudites et, une fois assis à son bureau, regarda ses élèves, amusé.
- Voyons voir si nos cancres *son regard s’attarda sur Tohru et Kakéru* ont aussi bien travailler que le reste de la classe.
Les cours continuèrent ainsi jusqu’à ce que, vers 14h30 :
- Honda Tohru, veuillez aller dans le bureau du directeur, dit une voix par l’interphone.
- T’as foutu quoi ? demanda Kakéru en se retournant vers Tohru.
- Je ne sais pas, répondit Tohru en se levant. Elle se dirigea vers le bureau du directeur et une fois devant la porte, elle hésita un instant puis frappa à la porte.
- Entrez, répondit la voix du directeur.
Tohru entra puis tout doucement, referma la porte derrière elle.
Chapitre 2, quand un ange monte au ciel:
Tohru sortit en courant du bureau du directeur, se rua vers la sortie, les larmes aux yeux. Non, ce n’était pas possible. Qui l’accompagnera sur ce long chemin qu’était l’avenir ? Qui lui l’aidera à avancer ? La fin de cours sonna et Tohru toujours occuper à courir vers la sortie, fût accompagné de Kakéru, le visage inexpressif (ça nous change un peu) et de Komaki, pleurant elle aussi.
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- Il y a longtemps, bien longtemps avant la naissance des divinités telle que Dieu ou Bouddha, bien longtemps avant la naissance du premier reptile, régnait sur cette terre, unique et d’une puissance colossal, les éléments. Rien ne pouvait les stopper et c’est ainsi que uni, qu’ils soient eau ou feu, qu’ils formèrent notre univers. Mais les tous premiers éléments, les grands créateurs étaient l’eau, l’air, le feu et la terre. A chacun, on attribua une qualité.
- Lesquelles, vieux loup ?
- On attribua à l’eau la beauté, à la terre la force, au feu le courage et à l’air l’intelligence. Le temps passa et plus la terre évoluait, plus les quatre éléments formèrent de nouveaux éléments, de nouvelles forces de l’univers telle que le sable ou la foudre.
- Mais quel est le rapport avec…
- Avec le temps, les files de l’amitié, les éléments autrefois unis se divisèrent en deux groupe : les Lumias et les Teybras.
- Mais que… sépare
- Lumia se traduirai aujourd’hui par lumière et Teybra, par ténèbres… Les éléments principaux, sentant la fin de ce lien décidèrent de ‘’réincarner’’ en animaux tous les éléments et eux avec. Ces animaux, à leur naissance, n’ont eu plus qu’un but : trouver un être assez fort pour contenir la puissance de l’élément qu’il portait et l’âme de l’animal porteur, faisant d’eux, des créatures de grandes puissances : les anges.
- Ange ?
- Les années, se succédèrent. Les hommes naissèrent. Certains ne reçurent rien, d’autre reçurent l’animal et ses dons à la naissance, d’autre dans un moment fort, un moment de détresse… et …
- Et quoi ?
- Silence ! C’est… ce n’est pas possible !
- Hein ?
- … Ils… ils… naissent ! Il… il y en a un…… deux… non ! trois ! Mais comment !? ils… c’est impossible ! Elle… elle est en train de disparaître !
- Mais qui, vieux loup ?!
- Le… le…
- Vieux loup !
- Koff ! Koff ! le…
- Tenez bon ! ça va passer !
- ……rouge…
- Quoi ?!
- … … … le papillon rouge… … …
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Tohru hurlait, pleurait devant le lit de mort de sa mère. Un accident ! Un accident de voiture si fatale ! C’était trop louche ! Mais Tohru ne chercha pas plus loin. Elle n’en pouvait plus. Komaki, à côté d’elle, pleurait elle aussi, se rappelant de la dernière fois qu’elle avait vu la femme, la veille. Elles avaient discuté en allant à la rencontre de Tohru et Kakéru qui avait du suivre des cours de rattrapage. Elle avait ri, comme à son habitude. Kakéru pleurait lui aussi, en caressants doucement la tête de Tohru et celle de Komaki.
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Les jours passèrent et l’on porta à terre le corps de Kyoko Honda. Tohru n’allait plus à l’école, restait enfermée dans sa chambre. Elle ne parlait plus à personne, rongée par la tristesse, elle restait allongé sur son lit, même quand venait lui rendre visite Komaki et Kakéru. Pourtant un soir, lors d’une des visites, alors que les trois adolescents restaient silencieux dans la chambre de la jeune fille quand soudain, un cadre tomba sur le sol et explosa. Tohru se jeta vers l’objet, l’ayant tout de suite reconnu car il s’agissait d’une photo de sa mère. Un grand vent se mit à balayer la pièce, faisant voler dans tous les sens papiers et peluche. Le vent se calma, remplacer par un épais brouillard argenté.
- Enfin je te retrouve…
Chapitre 3 :
- Enfin je te retrouve…
Tohru fixa le cadre de la photo. La voix. Cette voix si lointaine et si proche à la fois. Pleine de douceur mais pourtant si sérieuse. Cette voix que Tohru aurait retenue entre mille. Kakéru et Komaki s’approchèrent doucement de Tohru. Celle-ci tenait à présent dans ses mains le cadre, mais ses yeux fixaient autre chose ; posée sur le bord du cadre se tenait un papillon. Un magnifique papillon aux ailes couleurs de feu. Une beauté de la nature qu’il aurait été si facile de détruire et pourtant en elle-même si puissante ! Et même si, en cette soirée étoilée, Kakéru et Komaki ne voyaient qu’un papillon, Tohru voyait, elle, quelque chose qui aurait pu révélé du miracle. Le visage de sa mère lui semblait apparaître sur le papillon. Le papillon battît des ailes quand cette voix retentit, si belle et si douce.
- tu es là… mon enfant…
Komaki tourna la tête de tous les sens, cherchant la personne qui aurait pu parler. Kakéru fixa le cadre, impénétrable. Tohru avait le cœur qui battait la chamade. C’était impossible et en même temps ça ne pouvait être que ça. Une larme coula au bord de son œil. Larme de joie, larme de tristesse, larme de peur, larme de tous les sentiment que Tohru.
- Maman ?
L’image de Kyoko sourit. Tohru ne put plus se retenir, elle fondit en larmes. Ça mère était là, elle lui parlait ! Cette femme qui était décédée était revenu vers sa fille. Tohru approcha son doigt vers le papillon. Ce dernier vint s’y poser.
- Ma fille…
- Maman…
Kakéru et Komaki regardèrent la scène en silence, sachant à présent que la voix ne pouvait venir que du papillon. Tohru sourit.
- Ma fille, je n’ai que peu de temps… L’heure est grave…
Cette phrase eut pour effet de faire disparaître le timide sourire de Tohru. De nouveau plongée dans le doute, Tohru remua lentement les lèvres pour poser la question :
- Pourquoi ?
Un silence se posa dans la salle. Le vent continua de siffler, nous contant son long voyage à travers le pays.
- Il est temps que le mensonge cesse Tohru…
Tohru continua de fixer le papillon, cherchant sur ses ailes de braise les réponses à ses questions.
- Je ne suis pas un être humain Tohru…
- Je le sais… tu es… un fantôme ?...
- Oui, on peut dire ça, répondit Kyoko en souriant face à la vison enfantine de sa fille face à la situation. Mais je veux dire… je n’ai jamais été humain…
- Hein ? s’étonnèrent Tohru, Komaki et Kakéru en même temps.
- Je ne suis pas une femme humaine. Je suis ce que l’on appelle… un ange…
- Ange ?
- Je suis un être différent de ceux que vous avez pu côtoyer. On m’appelle le Papillon Rouge…
- Maman ?
- Tant que je garde l’apparence de ce papillon je ne mourrais pas totalement. C’est cette créature qui me donne cette puissance… cette puissance que vous possédez déjà…
En disant cela, le papillon releva la tête vers les trois adolescents.
- Votre force est née… dans votre âme comme dans votre cœur…
- Nous ne sommes pas des anges… dit Komaki, la tête baissée.
- Crois-tu vraiment ce que tu dis ? demanda Kyoko, son visage souriant.
- Je… je ne…
Le papillon s’envola du doigt de Tohru pour aller se poser sur la poitrine de Komaki, juste au-dessus de son cœur.
- C’est la que réside la vrai force… le titre d’ange n’est qu’une aide supplémentaire… Une aide que vous possédez…
Elle s’envola dans la pièce, déposant dans son sillage une fine poudre dorée. Tohru se retourna vers ses deux amis et leur sourit en pleurant.
- Je m’excuse… les amis !
Ils prirent chacun la main des deux autres dans les leurs, les yeux fermés. Tohru sentit une étincelle s’allumer en elle, Komaki eut l’impression qu’une fleur se mit à pousser dans son cœur, Kakéru eut la sensation que la nuit s’ancrait en lui. Le sourire aux lèvres, les trois amis lâchèrent leurs mains. Le papillon s’envola vers la fenêtre.
- Ne pars pas ! cria Tohru
- Je le dois…
- Mais où vas-tu ?
- Rejoindre ton père…
- Mais comment je ferais pour te revoir !?!
Kyoko se tourna une dernière fois vers sa fille puis dit :
- Tu veux vraiment le savoir ?...
Kyoko sortit par la fenêtre en disant ces dernier mots :
- Deviens un ange… deviens un véritable ange et tu pourras me rejoindre…
Le vent continua de souffler, continua de nous conter la longue histoire de son long voyage en compagnie d’un papillon de braise… D’un certain papillon rouge…