Souvenirs éveillés~Secret dévoilés

Je ferais peut être un autre combat, mais pas "maintenant". Plus vers après, quoi. x) ( Je parle bien la France, hein? xD)
Bref, je vous mets la suite!
J'espère qu'elle vous plaira.
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Il ouvrit la porte de la maison dix minutes plus tard. Il la referma derrière lui, dans un fond de bruit de casserole. La lumière de la cuisiné était allumée. L'homme avança avant d’être arrêté par la jeune femme qui en sortait.

- Ah, ben te voilà enfin ! Tu avais dit une heure, pourtant !

Il mit sa main derrière sa tête.

- Je sais, je suis désolé. Mais, un enfant a voulu faire un match avec moi, et ça a pris plus de temps que je ne l’avais imaginé…

- Un match ? Et tu as perdu ? Taquina-t-elle en retournant dans la pièce

Sacha réfléchissait quelque secondes. Le ton qu’employait sa fille était étrangement calme depuis qu’elle lui avait envoyé ce message crû et qu’il avait quitté la maison. C’était certainement le calme avant la tempête, se disait-il. Il enregistra à nouveau ce qu’elle venait de dire puis ouvrit la bouche.

- Heu…Non ! Protesta-t-il en la suivant.

- Vraiment ? J’ai dû mal à te croire…

- Ne me crois pas, dans ce cas. Mais je peux t’assurer que j’ai remporté le combat, pas vrai, Pikachu ?

La petite souris acquiesça dans un petit sourire.

- Bon, maintenant que je suis rentré, je vais faire à manger.

- Ah non, hein ! J’ai commencé à cuisiner, je continue. Un point c’est tout.

- Bon, bon, d’accord. Répondit-il en mettant ses mains devant lui, comme pour se protéger.

Il sortit de la cuisine et entra dans sa chambre. Il ôta sa ceinture de la taille puis la jeta sur son lit dans un soupir. Il prit des vêtements puis fila dans la pièce juste à côté.
Une quart d’heure plus tard, la porte de la salle de bain s’ouvrit.

L’homme traversa le couloir puis, guidé par l’odeur qui s’en dégageait, entra dans la cuisine. Emma était toujours face au plan de travail.

- Ca a l’air bon ! Dit-il en s’asseyant sur la première chaise qui s’offrait à lui.

Elle se retourna, posa le saladier ainsi qu’une poêle sur un grand dessous de plat puis s’assied à son tour.

Après deux bonnes minutes de silence, la voix de la jeune femme résonna dans l’air.

- Pourquoi tu m’espionnes ?

Cette question abasourdit l’homme. Il pensait avoir mal entendu.

- Quoi?

- Tu crois peux être que je n’ai pas vu ton petit jeu ? Demanda-t-elle calmement en reposa sa fourchette sur le bord de son assiette, Tu as envoyé Feurisson pour me suivre jusque devant mon lycée, cet après-midi.

- Hein ? Mais quel Feurisson ? De quoi tu me parles, enfin ?

- Ne fais pas comme si tu ne savais pas!

- Je n’ai jamais envoyé Feurisson pour te surveiller ! Tu racontes vraiment n’importe quoi !

- Et en plus tu me mens !

- Je ne te mens pas, c’est la vérité !

- Alors si je vais voir les Pokéballs dans ta chambre, je suis sûr qu’il ne sera pas dans l’une d’elles, dans ce cas ? Demanda-t-elle en se levant.

Sacha se leva à son tour pour lui barrer le passage.

- Je… Écoute. Bon, d’accord, je reconnais que je l’ai envoyé pour te suivre. Avoua-t-il calmement.

- Quoi?

- Mais si j’ai fait ça, c’est pour ton bien. Je ne veux pas qu’il t’arrive quelque chose, tu comprends ?

- Tu ne veux peux être que mon bien, certes, mais en attendant, moi, je me sens étouffée ! Tu vas faire quoi la prochaine fois ? Envoyer des gardes du corps ? Me suivre par avion ?

Pikachu était entre eux. Il essayait de les calmer en agitant ses pattes et en soufflant quelques mots. Mais visiblement, aucun des deux ne l’écoutait.

- Je veux seulement qu’il ne t’arrive rien, Emma. Et puis, tu n’as pas quelque chose à me dire, toi ?

- Quelque chose à te dire ? Répéta-t-elle en fronçant les sourcils.

- Oui. Je t’ai vue parler avec une femme, de l’autre côté de la chaussée.

- Ah ! Ben, pour tout te dire, je ne sais pas ce qu’elle me voulait. Elle m’a abordé, m’as posé des questions et…

- Quelles questions? Coupa fermement son père.

- Elle m’a demandé si j’allais bien parce qu’elle avait entendu une dispute…Finit-elle en détournant le regard.

- Que t’a-t-elle dit d’autre ?

- Rien. Je lui répondu que cela ne se faisait pas de se mêler des affaires des autres, et puis je suis partie.

- Je vois. Écoute, si cette femme te parle encore une fois, ne lui répond pas. Je ne la sens pas. Elle est bizarre, tu ne trouves pas ?

-Si, tu as raison… Et au fait, Repris-t-elle, Tu as réfléchis, pour ma sortie de ce week-end ?

- Et toi, tu as réfléchis comment trouvé l’argent de ton amende ? Répondit-il.

Elle baissa honteusement la tête.

- Bon. Écoute, il ne te reste que Vendredi -c’est-à-dire demain pour trouver la somme… -Oh, bon sang, on dirait que je suis un kidnappeur ! Lâcha Sacha dans un souffle.

Deux secondes de silence s’écoulèrent, puis ils éclatèrent tous les deux de rire. La jeune femme repris contenance la première puis le fixa dans les yeux.

- …Mais toute ma tirelire va y passer !

- C’est ton problème, pas le mien ! Et puis, tu n’as rien à acheter, que je sache.

- Non, je n’ai rien à acheter. Mentit-elle en détournant le regard.

Sacha soupira.

- Si tu veux acheter quelque chose pour ton chéri, fais-le. Mais je te le répète : je ne payerais pas ton amende.

- J’ai compris, c’est bon ! S’exclama la jeune femme, les joues roses

Emma reprit sa place. Son père fit de même.

- Hum… Alors, pour la sortie de ce week-end… Commença-t-elle, tout doucement

L’homme soupira une nouvelle fois pour lui montrer son mécontentement.

- Qu’est-ce que j’ai dit ?

- Bon, ça va, ça va ! Râla-t-elle

Le dîner continua dans un silence pesant, jusqu’à ce qu’un autre fort et long soupir retentit dans l’air.

- D’accord, t’as gagnée ! Lâcha Sacha, exaspéré.

Un large sourire fendit le visage de la jeune femme.

- Merci!

Une fois le repas terminé, ils débarrassèrent la table puis allèrent dans le salon. Ils s’installèrent sur le canapé, devant la télé. Un bon moment passa lorsque la sonnette retentit dans toute la maison.

Bon elel a au moins compris qu'il se tramait quelque chose

Je me demande bien qui sonne à cette heure là...

xD J'adore !!! (=
J'ai bien visualisé la scene ou Emma et Sacha était dans la cuisine, et leur dispute ^^·.surtout le fou rire lol !! (=
Vivement la suite (=

J'ai rattrapé mon retard !
J'me demande aussi qui peut sonner à cette heure-ci lol

Hâte de lire la suite !

super chapitre
J'ai bien visualisé la scène de la dispute
c'est vrai que cette histoire de sonnerie est intriguante
hâte de voir la suite

La suite

Oui, oui, je sais, cela fait super (même beaucoup) longtemps, que je n'ai pas posté la suite, et je m'excuse énormément! Je sais que je ressors une épave et tout, mais euh... voilà la suite xD Mdrr
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Emma tourna sa tête vers son père puis lâcha :

- Tu attends quelqu’un ?

Sacha fit non de la tête tout en fronçant les sourcils. Il jeta un œil à sa montre : 21h04. Il n’attendait personne, pourtant. De plus, vu l’heure qu’il était, cette sonnerie était assez étrange. Surement un plaisantin, pensa l’homme.
La jeune femme se leva puis disparu dans le couloir en soufflant un petit « Je vais voir… »

Emma ouvrit la porte, faisant apparaître une femme aux cheveux blonds et aux yeux verts. La même que celle de cette après-midi. Cette dernière ouvrit la bouche pour parler.

- Qu’est-ce que vous faites ici ? Coupa immédiatement la jeune femme sur un ton sec.

- Eh bien, je…

- Vous m’espionnez ? Coupa-t-elle à nouveau

- Ne te méprend pas, Emma, je veux juste parler à ton père, -s’il est là, s’entend…

Sacha, qui s’était levé, fronça une seconde fois les sourcils en écoutant la conversation. Il ne sem-blait pas connaitre la voix de la femme et pourtant elle, connaissait le prénom de sa fille.

- Ah d’accord, dans ce cas, je vais l’appeler et…

Elle se tut immédiatement puis analysa ce que la femme venait de dire. Elle lui lança un regard sus-picieux et fronça les sourcils.

- Attendez. Comment vous connaissez mon nom ?

- Ah oui, c’est vrai. Tu étais peux être trop jeune… Commença la blonde

Sacha franchis l’encadrement puis arriva derrière sa fille. Au fur et à mesure que la femme pronon-çait doucement ses mots, le pou de l’homme augmenta.

- Tu ne t’en rappelles pas, alors. Eluda cette dernière, Je sais ton nom parce que c’est moi qui te l’ai donnée. Autrement dit ; Je suis ta mère.

Le cœur de Sacha fit un bond en avant, tout comme celui de la jeune femme.

- Quoi ? Vous délirez, madame. Ma mère est morte.

- Il faut croire que l’on t’a menti, alors. Parce que je suis bien celle qui t’as donnée la vie.

Sacha racla sa gorge pour se faire entendre. Sa fille se retourna pour fixer son père, qui lui, fixait la femme blonde.

- Qu’est-ce que c’est que cette histoire?

- Ecoute, je n’en sais pas plus que toi. Maintenant file dans ta chambre, j’aimerais avoir une discus-sion avec cette dame.

- Non. Je reste ici !

- S’il te plait, Emma… Souffla-t-il, doucement.

La jeune femme soupira en s’en allant au fond du couloir, sous le regard de son père. Elle tourna à droite et s’arrêta devant sa porte. Elle l’ouvrit puis la referma s’en y entrer. Elle retourna sur ses pas puis s’arrêta dans l’angle mort du mur afin de suivre la conversation de plus près.
Sacha ayant entendu le bruit de porte de la chambre, tourna sa tête pour faire face à la prétendue « mère » de sa fille.

Il parla d’un ton décontracté, bien que ce soit tout le contraire à l’intérieur.

- Tout d’abord, faisons les présentations ; Je m’appelle Sacha Ketchum. C’est un plaisir de vous rencontrer. Ironisa-t-il dans un faux sourire.

- Moi de même. Répondit-elle en imitant le sourire de l’homme, Je m’appelle Véronique Kiffany.

Il opina tandis que la femme poursuivit.

- Vous êtes sacrément gonflé ! Dire à ma fille que ces parents sont morts ! Il fallait le faire !

- C’est ce que je croyais, figurez-vous ! Et puis d’abord, qui êtes-vous ? Que faites-vous ici ? Atta-qua Sacha en ne cachant pas son amertume.

- Je vous l’ai dit ; je m’appelle Véronique Kiffany, et je viens récupérer ma fille.

- Avez-vous une preuve que c’est bien « votre » fille ? Et puis, comment ça « récupérer » ?

- Je n’ai qu’un douloureux souvenir comme preuve. Et oui, récupérer. C’est vous qui me l’avez en-levé !

- Je ne l’ai pas enlevée ! Vous délirez complétement !

- Vous l’avez pris dans un landau, il y a dix-sept ans, une nuit de Décembre.

D’un coup, l’homme tilta ;

Flash-Back

« C’était bien dix-sept ans en arrière. Il ne neigeait pas encore mais le froid était bien là. Depuis qu’Ondine l’avait quitté, il n’avait goût à plus rien. Il se baladait seul dans les rues de la ville et arrivait sur un parking –vide- à la périphérie de la ville. Il était éclairé par deux pauvres lampa-daires.

Une voiture arriva par la droite, se gara à plusieurs mètres devant Sacha, les phrases rouges flam-boyant. Elle ne l’avait surement pas vue. Elle avait d’étranges motifs sur les côtés, remarqua le jeune homme. La portière gauche s’ouvrit, puis déposa quelque chose au sol. Quelques secondes plus tard, la porte se referma et le véhicule démarra puis s’en alla.
Le jeune homme fit quelques pas en avant, apparaissant à la lumière, puis cria :

- Hé ! Revenez ! Vous avez oubliez quelque chose !

La voiture disparue au loin. Sacha s’approcha de l’objet que les personnes avaient déposé. Un lan-dau probablement. Il s’accroupit et regarda avec de grands yeux ronds, son contenu. Un bébé. Un petit bébé recouvert par une couverture et un petit bonnet qui lui entourait la tête. Il pleurait. De plus en plus fort. Les yeux plissés, les lèvres tremblantes et le visage contracté. Les larmes roulaient sur ses joues et ne s’arrêtaient plus. Sacha ne savait pas vraiment quoi faire.

- S’il te plait, arrête de pleurer… Chuchota-t-il, tout doucement.

Tentative raté. Le bébé pleurait de plus bel sous le regard paniqué du jeune homme. Il expira un bon coup, puis prit maladroitement le nourrisson dans ses bras. Il cala sa tête contre son épaule puis resserra son étreinte afin qu’il ne glisse pas. Soudain, les pleurs du bébé se stoppèrent.

- Là… C’est fini… Murmura-t-il, tout doucement.

Sacha se sentait un peu bête de parler avec douceur à un bébé. Il sourit malgré lui ; si Ondine le voyait, elle rirait sûrement en disant que lui et la douceur faisait deux, pensa-t-il. Il remarqua qu’un papier était retombé dans le landau occupé à présent par un petit lapin-doudou. Il entoura le bébé d’un bras puis saisit le petit bout de papier avec son autre main. Un prénom y était parfaitement lisible.

« Emma »

- Alors tu t’appelles, Emma, hein ?

Une seconde couverture était posée dans le landau. Il le toucha, puis s’arrêta net. Il avait senti quelque chose en dessous. Il replia d’un côté la couverture, puis pris la feuille qui y était pliée. Il réussit à y lire seulement une date ainsi qu’un horaire. Certainement le jour et l’heure de naissance d’Emma.

Après un moment, il replaça le bébé où il l’avait trouvé, saisit la poignée du landau, puis se dirigea vers sa nouvelle maison… »

- Ah, je me rappelle, maintenant ! S’exclama-t-il

- J’avais raison ! Vous m’avez donc bien enlevé ma fille !

- C’est vous qui l’avait abandonné ! Dehors ! Dans le froid !

Pour la première fois, la femme baissa la tête.

- Je…J’avais votre âge, à cette époque...Mon mari et moi avons peur de l’avenir, peur de ne pas pouvoir lui apporter ce dont elle avait besoin. Après une heure, nous sommes retournées sur le par-king et elle n’y était plus… Puis, nous nous sommes dit que la personne qui l’avait recueillie serait mieux s’en occuper que nous…Expliqua-t-elle en bredouillant.

- Alors vous n’êtes pas partit à sa recherche. Conclut l’homme

Elle acquiesça silencieusement.

- Comment avez-vous faits pour la retrouvé, dans ce cas ?

- Nous avons été dans un hôpital, et nous avons demandé si quelqu’un avait enregistré une fille du nom d’Emma, sa date de naissance ainsi que l’heure. La réceptionniste ne nous a informés que de l’adresse. Alors nous avons attendus bon nombre d’années, vous observant de loin…

Elle releva la tête.

- Je sais que j’ai fait une erreur, mais maintenant, je sais que je peux à nouveau m’en occuper.

- Pourquoi ne pas avoir fait un deuxième enfant ? Demanda Sacha en ignorant ce qu’elle venait de dire.

- Je ne voulais pas en faire un deuxième tant que je n’aurais pas récupéré le premier… Je sais que cela parait bizarre, mais s’il vous plait, j’aimerais récupérer mon enfant. Il est le premier à qui j’ai donné naissance et…

- Je suis désolé, madame …, mais j’ai élevé et nourrit Emma jusqu’à aujourd’hui. De plus, j’ai fait les papiers concernant son adoption. C’est donc officiel. Elle est ma fille. Je ne suis peut-être pas son père biologique, mais je suis tout de même son père adoptif. Et puis, vous pouvez me remercier d’avoir été au bon endroit au bon moment. Sans moi, elle mangerait les pissenlits par les racines…

Après un moment, la voix de la femme blonde se fit entendre.

- Ecoutez, monsieur Ketchum… On pourrait s’arranger… Commença-t-elle en caressant gentiment l’épaule de ce dernier et en lui faisant les yeux doux.

L’homme serra la mâchoire puis dégagea violemment la main de la femme.

- Vous me répugnez, madame…Si c’est ça que vous cherchez, vous pouvez partir de chez moi. Adieu. Pesta-t-il, froidement.

Il poussa la porte afin de la refermer sur la femme. Elle eût le réflexe de retenir la porte avec son pied, puis saisit la tranche de la porte. Elle se décala pour voir le visage de son interlocuteur et s’appuya contre le mur.

- ...Vous savez, je suis assistante sociale. Lâcha-t-elle difficilement

Les deux derniers mots firent l’effet d’une bombe dans la poitrine de Sacha. Il relâcha lentement sa pression sur la porte.

- Si j’apprends que ma fille vit dans un endroit mal sain, je ferais en sorte de vous retirer sa garde. Sachez que je ne serais jamais loin. Que je ferais tout pour récupérer Emma. Et ce, par n’importe quel moyens, Monsieur Ketchum…

Sur ces dernières paroles, elle quitta la maison de ce dernier en soufflant un « A très bientôt » et monta dans une voiture. Le véhicule disparu au premier tournant.

La petite souris avait rejoint son maître et le fixait tristement. Sacha referma la porte puis reposa son front contre celle-ci. Il soupira puis frappa le mur qui se trouvait à sa droite, d’un coup de poing.

- Quelle merde ! Lâcha-t-il dans un souffle

AAAAAAAAAAAAAAAAAh J'adore !!!!!!!!!!!!!!!!!
Enfin tu as posté !! J'hallucine tu as posté !!! (-:
J'aime trop ce chapitre.
Cette Véronique... grrr je la deteste !!! est-ce que meme elle va s'en occuper bien de sa "fille biologique" .. pfff..
Oh Emma a tout entendu !! eh eh.. j'espère qu'elle va encore plus destester cette Véronique. Vas-elle faire une crise a Sacha pour ne lui avoir pas dit qu'il avait trouvé sur un parking ? ... O:
J'ai tout bien visualisé ! sutout le souvenir du parking !
J'adore ! J'adore ! J"adore !
Vivement la suite ! (-:

magnifique chapitre
la mère est sacrèment gonflée de vouloir récupérer sa fille 17 ans après
j'ai adoré la scène de la dispute
hâte de lire la suite