Les mots. - Epilogue , fin-

moi je supporte pas ce genre de type qui s'attaque à des gens qui ne sont pas entièrement responsable en particulier quand il le fait à Sacha ou à Ondine!

remy1106 a écrit:: moi je supporte pas ce genre de type qui s'attaque à des gens qui ne sont pas entièrement responsable en particulier quand il le fait à Sacha ou à Ondine!

XD okay c'est une raison valable loOl ,à; on voit bien le fanatique du AAML =D c'est bon signe xD

fanatique faut pas exagéré, je suis plutôt anti-anti-aaml ^^ en clair je suis contre ce qui qui est contre le AAML et je suis aussi contre les caractères déplorables

Invité

Je vais me repêter mais j'aodre les phrase en italique =D
Cécile était donc la soeur de Marc ...
Je ne pense pas que Sacha soit un asssacin
et j'aodre quand Ondine prends sa defence
Suite

Oohfemmeluxieuse a écrit:

remy1106 a écrit:: c'est Marc qu'il faudrait tué oui!!

...sympa xD on voit le sadisme qui est en to lOol

Je dois être moi aussi un peu sadique par ce que c'est exactement se que j'avais envie de faire :19:

Cécilia a écrit:: Je vais me repêter mais j'aodre les phrase en italique =D
Cécile était donc la soeur de Marc ...
Je ne pense pas que Sacha soit un asssacin
et j'aodre quand Ondine prends sa defence
Suite

Un assassin ... Non mais sa va pas ... C'est pas possible, il me faut une explication !

xD sa va s'eclaircir dans les prochains chapitres...

Moi par contre je suis vraiment fanatique de AAML et encore je trouve le mot faible (tien encore un mot) !

lati@s a écrit:: Moi par contre je suis vraiment fanatique de AAML et encore je trouve le mot faible (tien encore un mot) !

xD

alors tu es quoi un accro nan.. un droguer xD? loOl

j'ai bientot terminer le chapitre 5 (=

Mél=>Drogué au AAML ! MDR ! Mais t'a peu être raison ! lol!

!

Chapitre 5:

En fin d' après-midi,Ondine et Pierre revenaient du centre plus qu' inquiet. Ils
regardèrent dans le self, dans le hall, puis demandaient à l' infirmière Joelle. Sacha n'était pas là non plus. Ils avaient chercher dans tout le parc, après que Marc et Jessica soient partis.
Pendant ce temps, Sacha parti faire un tour de la ville. Après une heure et demi de marche, il décida de revenir au parc. Il savait que ses amis le recherchaient, mais il n'était pas encore tout à fait conscient de l' inquiétude qui pouvait laisser. Ses pensées étaient tournées vers la dispute, les mots dits et les souvenirs du visage de Cécile se mélangeaient avec.
Il semblait anéanti. Le regard vide, aucune larmes tombaient. Il s' appuya contre un mur. Les gens commençaient à partir, et faisait peu à peu place à un espace vide. Il commençait à se faire tard, mais il ne voulut pas rentré. Il profita du silence qui régnait pour réfléchir. Mais réfléchir à quoi ? Il était perdu.
Il se retourna contre le mur. La rage lui encombrait.
Le silence se brisa : Sacha frappa de toute des forces contre le mur. Le poing serré, il continua. Il voulait se délivré, aéré sa rancoeur, sa rage, sa colère, sa culpabilité. Il ne laissa aucun son sortir de sa bouche. Il ne gémit pas de douleur.
On avait l'impression qu'il n'avait plus de douleur en lui,qu' il ressentait aucun mal. Il accentuait ses coups, puis s' arrêta.
Il était un peu essoufflé à cause de cet effort, qui ressemblait plutôt à une torture.

« Juste mérité la souffrance, elle était déjà destiné, elle attendait juste que je vienne la chercher...»

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Il était 19h00, Jessica et Marc descendirent. Ils aperçurent les visages inquiets de Pierre et d' Ondine. Celle-ci, parti les voir.

- Je peux vous parler deux secondes...
- Qu'est-ce qui se passe ? Questionna Jessica
- Sacha à disparu, on l' a cherché toute l' après-midi.
- Quoi ?! Dit-elle inquiet.

Jessica se tourna vers Marc et lui jeta un regard noir.

- ... Arrête de me regarder comme cela.
- Si vous n' aviez pas disputer, Sacha seriez ici, et pas ailleurs je ne sais où probablement en train de faire une bêtise !

Quelques minutes plus tard, les portes d'entrée s' ouvrirent et fait place à Sacha, les mains pleines de plaies. Ses poignets semblaient être ravagés
d' égratignures. Ses yeux semblaient fatigués. Ces cernes, devenu presque noirs avaient accentués depuis ce matin. Il marchait d'un pas lasse, plus aucune de vie.
Dès qu'elle l' avait vu,Ondine parti auprès de lui, et tapait des poings sur son
torse.

- Sacha !!! je...on s'est inquiété pour toi, tu étais où ! Dit-elle toujours ses poings sur le torse.

Sacha resta silencieux, et la laissa faire. Pour la rassurer et la calmer, il la pris dans ses bras.

Je suis désolé, je voulais être seul, excuse-moi Ondine, je ne voulait pas vous inquiétez. Chuchota-t-il au creux de son oreille.

Ondine se tu et se calma peu à peu. Elle sentit une chaleur lui montée. C'était la première fois que Sacha lui prenait dans ses bras comme cela.
Sacha de son coté, semblait aussi surpris de son geste, qui était peu habituelle.

« Il y aura toujours des choses qui nous surprennent, surtout quand cela viens de nous... »

Il retira son étreinte. Ondine remarqua ses blessures aux mains et aux poignets.

- Sacha, mais que c'est-il passé ? Dit-elle avec une inquiétude dans sa voix.
- Oh... ça ce n'est rien.
- Comment ça, ce n'est rien ! Dit-elle en colère.

Sa réaction, fit sourire Sacha. Ondine remarqua.

- Pourquoi tu souris ?
- ...J' aime bien quand tu es en colère. Dit-il en évitant son regard.

Ondine rougit et baissa sa tête pour essayé de cacher son gêne, mais trop tard, Sacha l' avait remarqué. Il tourna la tête, et posa son regard sur Pierre, accompagné de Marc et Jessica. Il remarqua que cette dernière et Pierre se parlaient, tout en regardant , limite dévisagé, Ondine et lui.

De leur coté entre Pierre et Jessica.

- Dis... ils sont ensemble ?Questionna Jessica.
- Non, mais j'espère bientôt, c'est désespérant....
- A oui ?
- Même s'ils se chamaillent souvent, au fond c'est une preuve d'amour non ?

Jessica acquiesça, et fit un sourire au coin.
Marc qui avait écouté la conversation, intervient.

- Lui amoureux ? c'est pathétique...
- S'il est pathétique alors toi aussi.
- Pourquoi tu dis ça Jess ?
Parce que malgré ta haine, ta colère, ta je ne sais quoi, tu fonctionne pareil que lui !
- Pardon ?! Moi comme lui... arrête de blaguer s'il te plaît.
- Alors, tu te dispute souvent avec cette... comment s'appelle-t-elle déjà, Lila.
-Et alors... Dit-il en rougissent un peu.
- Tu ne pas passer d'elle avoue-le.
- Mais n'importe quoi. Dit-il en croisant ses bras.
- Tu cite souvent son prénom.
- Même pas vrai...Murmura-t-il.

Pierre sourit en entendant cette discussion. Au fond, Marc et Sacha étaient amis. Ils semblaient réagir un peu pareil. Il se demandait comment cette histoire est devenu un pire cauchemar pour Marc comme pour Sacha.

Sacha suivit d' Ondine, arriva auprès d' eux. Marc lui jeta un regard noir, Sacha l'évita. Il se contenta de rien lui dire, ni de le regarder. Il se sentit honteux.
Honteux parce qu'il ose se montrer devant lui.

« Une amitié que j' aimerai tant retrouvé, une haine que j' aimerai tant pardonner.
Une véritable rage que je veux vaincre, un supplice à chaque regard,
à chaque syllabe que ta voix me frôle.
Je voudrais tant faire ma rédemption...
Mais à qui la faute ? Seul moi à su briser ce lien.
Je ne voulais pas... je ne veux plus, je veux tout refaire, et effacer mes pires erreurs.
A quoi bon. Je sais que cela ne changera rien à ce que j' ai fais.
Malgré ça, je te comprends, ta motivation, ta colère, ta haine, ton mal-être.

Je le vis, je le subis.
J' aimerai vraiment le crié, m' étouffé, ne plus respiré tellement le vide me
rend un vertige.
Pourquoi, je suis encore devant toi ?
Sûrement que j'espère encore.
J'espère, oui, que tout ceci ne soit qu'un mauvais rêve, et que tu me réveilles.
Lorsque tu me diras...
Tout est fini, ce n'était qu'un cauchemar...
J'ai beau m' en convaincre, la vérité est telle qu'est elle.
La réalité est bien là.
Je me sens arraché, tétanisé de regrets.
Je regrette... ce mot n'est pas assez fort. Comme une torture, un semblable à un enfer, je me bouscule à tes mots.
Je mérites ces mots dur et fatales, comme un coup poignard dans âme.»

- Mais c'est quoi ces marques sur tes mains ? ! Remarqua Jessica.
- Pierre tu as toujours ta trousse de secours ?
- Oui, elle est dans ma chambre.
- Passe moi la clé, je vais pansés ses blessures. Dit Ondine.
- Euh...non, ce n'est pas grave...je...
- Si ! Pour une fois, tu ne vas pas faire ta tête de mûle. Protesta Ondine.

Sacha ne répondit pas. Une fois la clé en mains, Ondine monta avec Sacha pour chercher la trousse à pharmacie.
Le silence s' installa entre eux. Ils se dirigèrent vers la porte de la chambre de Pierre, et Ondine mit la clé dans la serrure. Ils rentrèrent, puis Ondine demanda à Sacha de s' asseoir sur le lit.
Elle sortit le gros sac de Pierre du placard, et l' ouvrit. Elle pris la mallette, et la déposa à coté de Sacha.
Elle ouvrit la mallette et prépara les soins.

- Attention, ça va un peu te piquer.

Sacha frissonna un peu au contact du coton, mais ne dit rien.

- Comment tu t' es fais cela ?
- Rien de spécial...
- Sacha, répond-moi s'il te plaît... tes blessures sont quand même un peu profondes.
- ....je me suis fais ça moi-même.
- Comment ? Dit-elle en gardant son calme.
- J'ai cogné dans un mur.

Ondine le regarda avec des grands yeux. Elle voyait mal Sacha se torturé. Lui qui était plus pour les mots que pour les gestes... elle lui semblait un peu différent aujourd'hui. Sûrement à cause de l' émotion qui s'est trop incruster en une seule journée.
Après les plaies pansés, Ondine rangea la mallette, et sortit de la chambre avec Sacha. Ce dernier la remercia.

Pendant le repas, Jessica et Marc mangeaient à part, et le trio mangèrent au fond de la salle.
Sacha avait du mal à coupé sa viande à cause de ses bandages, Ondine qui le voyait dans sa galère, se proposa de l'aider. Elle coupa alors sa viande. Sacha gêné de la situation essaya de cacher ses joues qui devenaient rouges.
Pierre regarda la scène,il voulut taquiner mais préféra s' abstenir: ce n'était
le bon jour pour rajouter une couche...
De loin, Jessica observa le trio, et fit un petit sourire quand elle aperçut le gêne de Sacha.
Après le repas, Sacha monta en premier en laissant ses deux amis.
Dès qu'il rentra dans sa chambre, il s' écroula sur son lit.

« Les hommes ne sont ni pires ni meilleurs,
J' essaie de me persuader.
Je les laissent dans le doute et dans l' appréhension, c'est une preuve de lâcheté,
oui, je suis bel et bien lâche... »

Il se changea, et se mit directement au lit. Il oublia même de fermer les rideaux, et de remettre le réveil, il n'en avait rien à faire. Il voulait juste oublier quelques instants, où même une nuit, toutes ces émotions accumulés, cette journée mouvementée.
A quelques mètres plus loin, le jeune brun, à eu le même idée que lui.
Le crépuscule fait place aux étoiles, la lune illumine la chambre de Sacha, en espérant qu'elle le bercera dans son sommeil.