Les mots. - Epilogue , fin-

Je le sentais venir le mot !
Après tous ces le titre !
Dès qu'il a parler de mot j'ai compris !
Génial !
Suite !

Invité

Très beau comme toujours !
J'adore le mot !
Sacha et Ondine sont trop mignon !
SUITE !

Coucou ! (= Désolé pour l'attente, je crois que j'ai eu ma mauvaise période, pourtant j'en avais des idées...juste que je n'arrivais pas à les placer ^^
Je crois que c'est le dernier chapitre. je ne sais pas si je fait un épilogue... enfin c'est selon vous après tout , donc faite moi signe pour dire si vous voulez un...

Chapitre 12:

Sacha redressa sa tête, il se perdit dans les profondeurs du regard d' Ondine. Elle s'avança vers lui. Il s'avança vers elle...
Leurs lèvres se touchèrent enfin, timidement comme pour savourer le moment.
Leur baiser commença à être passionner.

« Je ne pu résisté, ses lèvres synonymes de châtiment, cela devrait
interdit... »

Sacha et Ondine, ne se rendaient plus compte du temps, ils étaient dans leur bulle, seuls au monde.
La porte du grenier était entrouverte, et laissait place aux regards de leur compagnons qui ne ratèrent aucune seconde de la scène.

-Bon, on les appelle pour le dîner ou pas ? Chuchota Jessica
-Non, laisse les encore un peu.Dit Pierre.
-J'ai une envie de m' incruster et de casser l' ambiance. Dit Marc.

Jessica et Pierre le regardèrent étrangement.

-Quoi ? avouer que c'est tentant.

Jessica avec un petit sourire au coin, ouvrit bruyamment la porte.

-Les amoureux , c'est le dîner ! Cria-t-elle.

Sacha et Ondine se mit debout aussi vite que la lumière. Deux mètres les séparèrent, leur rougissement leur trahissaient.
Il descendirent, en silence sous le regards amusés de leur trois amis.

Pendant le repas, Sacha était en face d' Ondine, et entre Pierre et Marc. Le nouveau couple se jetait des petits regards par ici, et pas là...
Jessica montra la chambre d' amis, il y avait plusieurs lits, dans la grande chambre.Le groupe se séparèrent, pour passer la nuit.
En pleine nuit, Sacha sortit de la chambre, il ne savait pas qu'il était vu par une autre personne. Il se faufila sans aucun bruit, et descendit au rez-de chaussé. Quand il était en bas des escaliers, il entendit un bruit de pas. Il se retourna et vit Ondine.
Elle descendit calmement, jusqu' arrivé devant l'homme qu'elle aime.
Une bouffer de chaleur monta en eux, ils se regardèrent peut-être déjà des
heures, qu'ils ne se rendirent même plus le temps qui passe. Bleu azur contre noir ténèbres. Noir ténèbres contre bleu azur. Regard contre regard, ils essayaient de donner tout leur amour par ce simple geste. Sans se rendre compte hypnotisé
par le regard de l'autre, comme des aimants, leur lèvres se touchèrent, puis approfondi leur baiser.

« Je ne veux pas détruire ce lien...
Je veux..je veux...
un caprice qui t' es destiné.
Un amour plus fort que la guerre des battements de nos coeurs.
Je te frôle, je te mord la lèvre, j' apprécie ce moment qui est l' illusion du
paradis.
Je goûte à ta peau de pêche, qui me semble délicate et fragile.
Tu me colles, corps contre corps, on est uni lors de cet instant.
Tu captures mes lèvres, tu joues avec, comme moi je joue avec les tiennes...
Cela ressemble à une valse déchaîné qui s' anime dans nos corps, on
n'arrive plus à contrôler.
L'impression d'être droguer par ton parfum, par ton innocence...
Toi non plus, tu ne veux pas que cela s' arrête, tu veux vivre le moment présent.
Tu souris, tu vis...
On s' offre le plaisir d'être conquis par l'autre.
Le temps s' écroule de nos baisers inévitables.
Que cela tienne, tu es enfin mienne...
C'était la première fois, et je ne regrette pas.
Je te prouve mon amour par ces gestes uniques, comme toi, tu me les fais subir...
Oui, je subis, cette douce souffrance appelé amour.
Je t' aime, je t' aime, je t' aime..
Que le silence ne trahisse pas notre petit secret, qui est de nos câlins nocturne.
Le temps semble se stopper. Des minutes, des heures...
Personne sait combien à duré cette délivrance. »

Quelques instants plus tard, on trouva le couple allongé, endormis sur le canapé du salon, enlacés.
Le lendemain, Pierre descendit suivit de jessica et de Marc. Ils observèrent le petit couple endormi.

-Ils sont trop mignons ! Dit Jessica, un peu trop fort ,qui à fait réveillé faiblement Sacha et Ondine.

Sacha et Ondine qui étaient sous une fine couverture, se réveillèrent doucement sous les regards de leur trois amis.

« le réveil est brutal, est-ce mauvais signe ?»

Quand Sacha se leva, tous s' aperçurent qu'il était en torse nu. Ondine rougit face à cette vue, qui avoue-t-elle inconsciemment était très belle.

-Alors on a décidé de dormir en amoureux dans le salon ... Dit Pierre avec une pointe de taquinerie dans sa voix.

Les deux concernés avaient les joues en feu. Ils repensèrent à la nuit dernière
rempli de passion, à leurs baisers fougueux et brûlants.
Ondine qui se leva à son tour, remarqua qu'elle était seulement vêtu d'un long
tee-shirt un peu trop large pour sa petit corps, et s' aperçu qu'il appartenais à son petit ami.
Ce détail donnèrent aux joues de la jeune rousse encore plus rouges qu'elles étaient quelques secondes avant.
Les trois amis laissèrent le nouveau couple, et partirent dans la cuisine.

Sacha et Ondine s' observèrent en silence tout réalisant ce qu'ils ont fait la nuit dernière:une nuit assez...torride ? ( si vous voyez ce que je veux dire xD)
Rien qu'en pensant, ils se sentirent gêner.
Sacha s'avança vers Ondine, qui elle resta immobile, hypnotisé par le regard tendre et rempli de désir de celui-ci. Il l' embrassa. Ondine répondit à son baiser.

-A ce que je vois, tu aimes bien porter mes vêtements. Dit-il malicieusement
-Hum...oui, je l' avoue. Dit-elle avec un sourire timide.

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L' après-midi débuta. Pierre, Marc, Sacha et Ondine avaient laissé leur amie
Jessica, pour continuer continuer leur voyage.
Après quelques semaines, rempli de matchs, de badges, d' aventures, de rires et de pleures, les quatre amis décidèrent de rentrer.
Sur le chemin de retour, ils décidèrent d' allez tous à Bourg-Pallet.
Ondine et Pierre avaient décidé d' honorer la tombe de Cécile. Marc était ému ? en tout cas il était content, malgré que ses deux amis ne connaissait pas vraiment sa soeur, il avait compris qu'ils la connaissaient à travers les souvenirs raconté de Sacha.

Quand ils arrivèrent enfin à destination, le soleil commencèrent à se coucher et laissèrent un ciel plus sombre. Les lampadaires desrues s' allumèrent chacun leur tour au fil des minutes. Il avaient quelques commerces qui étaient encore ouverts malgré l'heure qui devenait tardive.
Quand Sacha ouvrit la porte de sa maison, une tornade brune étouffa Sacha. c'était sa mère qui était contente de le revoir.
Après les salutations, Délia leur fit un dîner digne de ce nom.
Il y avait plein de plats divers, et de boissons différentes: on aurait dit un festin.
Après avoir bien digérer, Sacha montra les chambres à ses amis.
Lors de la nuit, Ondine s'est glissé dans le lit de l' élu de son coeur. Ce dernier
l' emprisonna de ses bras, d'un amour infini.

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Le lendemain Ondine se réveilla seule. Sacha n'était plus dans le lit. Elle descendit, et retrouva Pierre et Marc accompagné de Délia dans la cuisine.

-Quelqu'un à vu Sacha ?

Tous répondit un non. Il y avait aussi l'absence de Pikachu qui troubla.

-Je crois savoir où il est, mais je ne suis pas sûr. Dit Délia.

Les trois amis la regarda étonné.

-Il doit être au cimetière.Murmura presque.

Toute suite après que Délia à fini sa phrase, Ondine, Pierre et Marc se préparèrent, puis partirent au lieu indiqué.
Quand ils rentrèrent dans cet endroit triste, ils trouvèrent leur ami accompagné de sa souris électrique devant une tombe.

-Marc, vas-y, nous va attendre un peu... Dit Pierre.

Marc acquiesça, et lui fut reconnaissant. Il parti d'un pas lent, rejoindre Sacha. Il appréhendais les réactions un peu, car cela sera la première fois qu'il sera avec lui devant la tombe de sa soeur.
Sacha entendit des bruits de pas. Il tourna sa tête et aperçu son ami qui arriva à coté de lui.
Un silence glacial s' installa. Personne osait le briser. Le vent s' incrusta, et se filtra dans les cheveux des deux adolescents. Après quelques minutes, le regard dans le vide,Marc décida de parler.

-ça fait longtemps que tu es là ?
-Je ne sais pas. Dit Sacha en se tourna vers son ami.
- On s' inquiétait pour toi.
-Il ne faut pas.
-Tu es encore en deuil ? Dit Marc avec une voix qui semble troubler par l' émotion.

Sacha ne répondit pas. A vrai dire, il réfléchissait à sa question, complexe et simple à la fois.

-Non, plus maintenant, je crois. Mais je ne peux m' empêcher de venir encore ici.

-Marc sourit.

- Je te comprends.

Ondine et Pierre partirent les rejoindre. Quand ils furent arrivé à eux, ils
observèrent la tombale qui était inscrite « Cécile Mathilde Tablar »
Après quelques instants, Marc, Ondine et Pierre attendirent leur ami devant le cimetière. Sacha voulu rester encore quelques minutes.

Tu sais Cécile, tu avais raison, j' étais bien amoureux d'elle. je me demande comment tu fais pour savoir... Dit-il avec un petit sourire.

« Les mots...
Il suffit quelques syllabes pour en transformer des mots. Juste quelques mots pour en faire des phrases.
Ces phrases qui la plupart sont rempli de vide.
Tu as su donner des émotions à ces mots, tu as su leur donner de
l' importance.
Les mots, ceux qui trahissent les sentiments, les préjugés, les colères.
Ceux qui remplacent les gestes, les silences embarrassants.
Les mots...
Juste pour dire ce que l'on pense.
Ces mots, qui peuvent être difficiles à cerner, ces mots où cela ressemblent à
des gifles.
Ces mots qui motivent, qui rassurent...
Ces mots qui ont le don aussi de tout briser , de tout arracher.
Tu avais envie d' en sélectionner, de les collectionner, de les choisir, et de les préférés.
Ces mots qui avaient pourtant eu dû mal à sortir, se retrouvent libres sur des papiers.
Je les ai lu, je les ai déchiffrer, je les ai compris.
Les mots...
Il y avait de la valeur, de la compassion.
Je sentais à travers eux, les doutes, les faiblesses, les appréhensions.
Je les ai touchés, je les ai détruits, je les ai rebâti , je les ai accepter.
Les mots...
Tu as voulu les garder, pour espérer encore...
Tu as cru, tu as tout donner.
Tu m' as semblé confiant. Tu m'a semblé indifférent.
Les mots, pour avouer.
Les mots, les mots...
S'il on pouvait se taire, pour une fois.
Mais voilà, le silence à su les traverser.
Ta voix, incertaine...
Tu as voulu te taire et cacher ta douleur. A la place, tu as su écrire et donner ces mots une vie.
Tu les as honoré, que dire de plus ?
Les mots....
C'est cela en fait, ce ne sont que des mots, qui se transforment en poussières dès qu'ils touchent l' air.
Si fragiles, ils ont réussi à te donner de la force...
Les mots, les mots... »

Dès qu'il sorti de ce lieu rempli de silence, il parti avec ses deux amis et de sa petite amie, découvrir les moments de cette journée qui est déjà ensoleiller, en laissant une pensée à son amie déjà au paradis...

epilogue ou pas épilogue ? xD

c'est beau ^^

pour l'épilogue tu fais comme tu veux

épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, épilogue, !!!!!!!!!!!!!!!! cheers

Ils sont magnifiques tes poemes. J'ai adoré cheers

Tous simplement magnifique !
J'adore I love you

Pour l'épilogue tu fait comme tu veux mais si tu veux en faire un il faut qu'il sois aussi beau que le reste ou presque ^^
I love you

=D j'ai décidé de faire un épiogue... ^^
merci pour vos commentaires, ça fait plaisir !!!
contente que mes poemes vont en plus....

Super un épilogue !

(= j'ai eu l 'inspiration pour l ' épilogue !
J'ai l 'impression que j'ai fait un début d'une fic.... xD
J'espère que cette fin vous plaira. Perso, j'aime beaucoup.

Épilogue:

Dans une maison dans une ville proche d' Azuria, un fille courrait vers la porte du grenier. Elle aimait l' odeur de cette pièce rempli de mystères et de souvenirs enfouis. Depuis quelques jours elle y va et passe la plupart de son temps, à chercher des choses insolites, des choses sacrés, des lettres,des albums photos...
Elle avait les cheveux noirs, avec des yeux bleus clairs, une peau un peu mate. Elle avait certainement 12 ou 13 ans. Elle était de nature curieuse, le grenier était
son endroit favoris, sa pièce préféré de la maison.
Elle traversa dans le grand bazar mystérieux du grand grenier, et dénicha des vieux livres, quelques photos et même des peluches.
Elle remarqua que dans un coin ,il y avait un espace, bizarrement, mieux ranger que le reste du grenier. Elle s'avança doucement, comme si elle voulait éternisé ce moment de découverte. Il y avait une petite table, où un coffre était poser. Il était
en bois fin, lisse, en parfait état, comme s'il était neuf.
Elle le toucha délicatement, de peur que cela ne soit qu'un rêve. Elle ne savait pourquoi, elle était fasciné par cet objet, peut-être parce qu'elle espérait qui cache des choses magnifiques....
Après quelques minutes de contemplation, elle décida de l' ouvrir.
Elle pris le coffre dans ses mains, et s' assis sur le sol près de la table.
Après l' avoir ouvert, ses yeux écarquillés, une lueur dans ses yeux, comme si
elle avait ouvert le plus beau des cadeau, elle mis sa petite main dans le tas de petits bouts de papiers et lis quelques uns.
Après cette belle découverte, elle revenait chaque jour, et à chaque fois, elle jette un coup d' oeil dans le coffre.

Quelques jours plus tard, elle était encore dans le fameux grenier. Son père, Sacha, la chercha.

-Rosa !

La jeune pré-adolescente, ferma vite le coffre et le mit à sa place.
Sacha, qui avait vu sa fille le faire,et cru la voir mis un feuille dans le coffre, s'avança vers elle.

-Rosa, il y a tes amis en bas.
-Oui, j' arrive.
-Je peux savoir ce que tu faisais ici ?
-euh...rien, rien...

Elle descendit pour éviter les questions de son père. Quand à ce dernier, observa le coffre. Il s'avança vers l'objet, puis, doucement il se mit à genoux et mit le coffre qui était posé sur la table en face de lui.
Il l' ouvrit, et découvrit des papiers différents de ceux d' habituel. Ceux-là
n'étaient pas vieilli par le temps. Il découvrit une lettre et la lit.

Papa

Si jamais tu ouvres ce coffre, et que tu trouves cette lettre, j'espère que tu comprendra mes gestes.
Je ne voulais pas nuire ces souvenirs que tu m' avais raconté à rapport avec ton amie. Cette amie nommé Cécile...
Je sais qu' à chaque fois, que tu essaies d'en parler, ta gorge se noue, je sais aussi, que malgré toutes ces années passés, tout ce temps, que tu n' oses encore dire son prénom.
Je voulais continué à écrire ces mots, ces mots que je suppose sont importants pour toi.
A travers tes mots qui sont rempli d' émotions, tu oses raconter ces quelques moments de bonheurs et de malheurs que tu avais su et vécu avec elle...
Elle, qui je pense est l' incarnation de courage et d' innocence.
Je voulais la faire vivre encore à travers les papiers écris dans ce coffre.
Je voulais tant la connaître, lui parler, entendre sa voix. J' aurai pu rire avec elle, passer des bons moments...
Alors voilà, je l' avoue, je voue une admiration infaillible à ton amie, qui à
travers ses mots, ont su la rassurer, que tu as su la rassurer.
Alors, j'ai voulu laisser une trace, j'ai voulu...
C'est peut-être égoïste, je ne sais pas.
Pardonne moi, si tu penses que je déchire ce tissu de nostalgie, qui est pour toi, je le sais, des souvenirs qui compte beaucoup d' émotions et d' épreuves.
Pour elle, comme pour toi...
J'ai continué, je ne su te dire pourquoi, car même moi je ne le sais pas.
J'ai continué à écrire des mots, peut-être que j'en avais besoin qui sait?
Ce coffre, ce plus beau trésor, que j'ai pu toucher.
En fait, à vrai dire, je crois que je voulais la faire vivre, encore et encore, à ma
manière...
Alors, j'ai mis des sentiments sur des bouts papiers, un peu, comme si je lui parlais.
Alors j'espère, oui, de tout mon coeur, que tu ne m' en veux pas.
J' aurai pu t' en parler, mais ma voix ne voulais pas sortir...
Alors je l' ai fais en cachette, de peur que tu ne comprenne pas.
Alors, j'ai écris cette lettre, pour qu'un jour peut-être, tu comprendra mes gestes.
Voilà, est-ce que j'ai tout dis ? Je ne sais plus...
En tout cas, ne t'en fais pas , je la respecte, malgré que je ne pu m' empêcher de fouiller là où il fallait pas.
Dans le fond, j' admets, je suis contente de pouvoir trouver ce coffre, qui selon moi, est rempli de vies et de sensations.
Jamais, crois-moi, personne ne pourrais détruire la mémoire de Cécile...
Car, avoue, que c'est un peu de toi qu'on doit détruire, si cela se passe.
Moi, je ne veux pas casser cette paroi, qui as pu résister à garder une part de
toi dans ce coffre rempli de mots.
Je crois que je voulais juste participer un peu, et aussi laisser une trace de moi.
N' oublie pas que je t' aime papa...

Rosa.

Sacha lâcha quelques larmes, il décida de ne rien dire, et de faire comme s'il ne trouvait pas la lettre.
Il était ému, content de sa fille. Après avoir ranger la
lettre et remis le coffre, il descendit rejoindre sa femme.

Dans la cuisine, Ondine mit la table. Sacha la regarda avec un regard tendre que seul lui avait le secret.
Ondine qui le remarqua, ne pu s' empêcher de l' embrasser.

-Il faut que tu arrêtes de faire la cuisine et de....
-Non.
-Ondine, tu es enceinte, et je veux que tu sois tranquille. Dit-il en l' embrassant encore.

« L' amour, plus fort que tout.. »

Il toucha le ventre rond de sa femme. Il ne savait pas encore si c'était un garçon ou une fille. Seul l 'avenir le dira...

Fin.

Je remercie à tout ceux qui ont suivi ma fiction depuis le début et qu'ils m'ont pas lâcher malgré les quelques petits moments d' attente ^^
Merci beaucoup de m'avoir donner envie d'écrire encore et puis euh... xD d'avoir aimer hihi !
Je suis ravie que ma fiction vous en plu.
J'espère que cette fin ne vous déçoit pas. Je ne sais pas si je vais faire une autre fic.
Voilà je crois que j'ai tout dis...

et 2 enfants! 2! ^^
Au moins la petite sais à peut prêt quel était l'enfance de Sacha

PS: Rosa c'est le nom de famille de ma prof d'espagnol de mes années de collège XD