OS de concours- Précieuse alliance

Disclaimer : Les personnages et l'univers appartiennent à Pokémon, je ne fais que les emprunter.






La main qui tenait la sienne l'enserrait dans une poigne bien trop forte. Elle voulait gémir de douleur mais se retenait, ne voulant pas s'attirer d'avantages de problèmes. Depuis une semaine, elle n'était tranquille que pendant ces instants de superbe ignorance. Le reste du temps, ce n'était que mots méchants à son encontre et bousculades.
Au lieu de se plaindre, donc, elle continua à marcher -presque à courir- au rythme de cette grande jeune fille, qui allait bien trop vite pour ses petites jambes, mais qui semblait ne pas s'en soucier le moins du monde.


Tant qu'elle n'était pas encombrante, tout se passerait bien, se disait-elle. Du coup, elle ne manifestait pas la moindre plainte. Les larmes continuaient de rouler sur ses petites joues rondes et rougies par le chagrin, et elle reniflait aussi discrètement que possible en avançant dans les rues de cette grande ville blindée de gens qui se hataient en toute direction sans même la voir.


Elle remarqua que son lacet était défait et fit tout son possible pour ne pas trébucher, tandis qu'elle continuait d'avancer au rythme effréné de l'adulte. Cependant, et malgré tous ses efforts pour ne pas se faire remarquer, un de ses pieds écrasa le lacet défait et elle s'emmêla les jambes.
La petite fille perdit l'équilibre et s'attendit à s'effondrer sur le sol, mais un mouvement brusque et douloureux tira son bras vers le haut, faisant décoller ses pieds du sol pour empêcher la chute et ainsi, continuer au même rythme.


Bien que la petite ressentit une vive douleur dans l'épaule, elle ne dit rien, se contenta de pleurer sa douleur en plus de son chagrin, tout en retrouvant avec difficulté un certain équilibre.


Elles arrivèrent sur une petite place de la grande ville et, pour le plus grand soulagement de la fillette, s'assirent sur un banc de pierre qui longeait le muret d'une fontaine.


_ Tu ne bouges pas d'ici, c'est clair ? Lui intima durement la voix de la jeune femme qui l'accompagnait.


Elle acquiesca d'un mouvement de tête en prononçant un timide :


_ Promis.


Puis elle massa doucement sa main endolorie que la poigne de sa sœur avait enquilosé. Quand elle remua ses petits doigts dégourdis, elle ramena ensuite son pied à elle sur le petit banc et observa sa chaussure, se demandant comment on pouvait nouer deux fils ensemble de telle sorte à ce qu'ils fassent un aussi joli flot que celui de l'autre chaussure.


Un pan de lacet entre chaque main, c'est en se mordant les lèvres qu'elle tenta plusieurs manœuvres pour les faire se toucher, se croiser, se boucler, sans aucun succès.
Dépitée par son échec, elle laissa retomber les fils de part et d'autre de son petit soulier blanc et espéra très fort ne pas trébucher dessus à nouveau.


_ Tellement idiote, à trois ans, elle ne sait même pas faire un lacet, entendit-elle murmurer sa grande sœur à côté d'elle, qui ne la regardait même pas.


La petite fille reçut un coup en plein cœur. Etait-elle vraiment idiote ? Elle n'avait pourtant jamais eu cette impression, avec son père.
Et, bien que sa sœur ne l'ai jamais porté dans son cœur, cette haine qu'elle lui témoignait depuis quelques jours était très nouvelle, et ses sentiments d'enfant ne savaient pas y faire face ou y réagir convenablement.


_ Lily ! Je suis là ! Entendit-elle une voix appeler un peu plus loin.


Curieuse, elle releva les yeux et reconnut son autre sœur.


_ Violette, enfin te voilà, répondit l'interpellée à ses côtés. Nous n'attendons plus que Daisy, et nous pourrons enfin rentrer chez nous. Cette chambre d'hôtel, je n'en pouvais plus.


_ C'est un miracle que nous en ayons trouvé trois dans la même ville à cette période.


_ Toi au moins, tu étais seule.




La fillette comprit que la remarque sournoise de sa sœur la concernait mais ne se fit toujours remarquer pour autant. Elle laissa ses grands yeux verts s'émerveiller simplement de ce qui se passait sur cette place de la ville, en attendant de suivre le mouvement qui serait décidées par ses aînées.
Devant elle, des gens allaient et venaient, certains pressés, d'autres se promenaient plus tranquillement. Des Pokémon suivaient leur dresseurs docilement, d'autres jouaient dans les fontaine, et d'autres encore venaient picorer le sol des miettes laissés par les passants.


Elle apperçut un petit garçon, tenant la main d'une femme qui avait l'air d'être sa maman, et le cœur de la petite fille se serra d'avantages.
Tandis qu'elle fixait son attention sur eux, elle remarqua un panier en osier dans les mains du petit garçon.
Dans celui-ci, posés sur un petit papier, il y avait des petits gateaux blanc et fondants, dont elle connaissait le goût par cœur.
Ses larmes se tarirent un instant, sous l'étonnement de trouver ce genre de délicieux petits gateaux ici à Kanto, puis reprirent de plus belle.


Un instant avant le drame, c'est ce qu'elle avait dégusté, avec ses sœurs et son papa, un peu plus d'une semaine plus tôt.


Sur cette plage de sable fin, dans cet endroit idyllique où ils étaient tous cinq en vacances, ils s'amusaient et profitaient sous un ciel bleu d'azur et un océan splendide à perte de vue. Elle se rappelait le bruit paisible des vagues et les rires des enfants alentours qui jouaient avec leur parents ou réclamait un beignet au marchand ambulant.


Ses grandes sœurs, bien plus agées qu'elle, avaient à tour de rôle joué au beach volley, au badmington et au freesbee avec leur père cet après-midi là. Depuis la mort de leur mère, à la naissance de la fillette -d'après ce qu'avaient raconté ses sœurs- leur père prenait particulièrement à cœur le bien être de ses quatre filles, et quand il ne travaillait pas à l'arène, il passait tout son temps libre avec elles.


Quand à la toute petite fille, ce même jour de plage, elle avait fait des château de sable,, s'émerveillant au loin des Pokémon aquatiques qu'elle voyait surgir de l'eau, ou encore de ceux qu'elle trouvait en creusant avec sa pelle. Elle adorait les Pokémon ! Surtout les Pokémon aquatiques, puisqu'elle les cotoyait depuis sa naissance, et était toujours passionnée d'en découvrir de nouveaux.


Son père les avait réunies sur la grande serviette, quand il fut seize heure, pour prendre un goûter.
Et il leur distribua ces petits gateaux, spécialité locale, que la fillette goûta pour la première fois et dont elle tomba amoureuse instantanément tant leur goût particulier était divin.


Et alors que tout le monde riait et discutait, elle demanda à son papa de pouvoir aller jouer les pieds dans l'eau. Il acquiesca en lui faisant promettre de faire attention.


Elle promit et partit vers l'océan, pieds s'enfonçant de plus en plus dans le sable à fait qu'elle avançait vers lui , et elle riait aux éclats tandis que les vagues, les unes après les autres, venaient chatouiller ses pieds et éclabousser ses genoux.
Par moment, elle jetait un œil par dessus son épaule et voyait son père, attentif au moindre de ses gestes et ses sœurs qui se lançaient à leur tour dans une construction de sable.


Quand elle tomba les fesses dans l'eau, elle grogna de douleur. Elle récupéra ce qui avait fait mal à son popotin et trouva un caillou. Contrariée, elle le jeta un peu plus loin devant elle en ronchonnant.


Quelle ne fut pas sa surprise quand elle vit surgir un magicarpe à l'endroit même où elle avait lancé la petite pierre. Elle fut confuse, imaginant qu'elle avait certainement dû le balancer sur lui et lui faire mal. Elle fut d'autant plus confuse qu'elle le savait, les magicarpes et leur évolution, les léviator, étaient des bêtes très susceptibles et coléreuses.


_ Pardon petit magicarpe, babilla-t-elle de sa voix d'enfant.


_ Ondine, n'avance pas d'avantages ! Lui lança son père à quelques mètres derrière elle.


Elle l'écouta et stoppa sa marche tandis que l'eau lui arrivait déjà au-dessus des fesses.


Cependant, un mètre plus loin, d'où venait de surgir le magicarpe, en surgit un deuxième, puis un troisième.
Elle fronça les sourcils en se demandant ce que cela pouvait bien signifier, puis sa petite bouche forma un O parfait quand elle les entendit prononcer leur nom à intervalle régulier, sur un rythme tout aussi régulier.


Instinctivement elle recula d'un pas. Et comme si son père avait lu dans ses pensées, il se leva et se hâta vers elle.


_ Ondine, éloignes-toi ! Cria-t-il.


Elle se demanda rapidement pourquoi son père avait l'air soudain si paniqué mais elle obtempéra.
Alors qu'elle faisait hâtivement volte face, un bruit sourd attira son attention. Elle tourna la tête et apperçut, quelques mètres plus loin dans la mer, la tête d'un énorme léviator surgir de l'eau et pousser un énorme cri.


Elle entendit ses sœurs hurler, ainsi que d'autre vacanciers qui ramassaient déjà leurs affaires en hâte.


Son père arriva sur elle en très peu de temps, et tout alla extrêmement vite. Elle se souvint qu'il la porta et qu'il la poussa brusquement plus loin sur le sable. Elle fut attrapée par sa sœur Daisy qui l'attira vers elle pour la reculer le plus possible, mais tandis que cette dernière tentait de lui cacher la vue, la petite Ondine apperçut entre les doigts écartés de sa grande sœur sur son visage, la scène qui se déroulait.


Une énorme boule d'énergie sortit avec force de la gueule du Léviator qui visa l'endroit où elle se tenait trois secondes plus tôt, mais qui, au lieu de la punir elle, s'abattit de façon foudroyante sur son père qu'elle vit s'écrouler dans l'eau dans un cri agonisant.




_ Nooon ! Cria la petite fille en larmes.


Tous les gens présents autour d'eux sur cette place tournèrent des regard inquiets vers cette fillette en larmes.


_ Qu'est-ce qu'elle a encore ? Cracha la voix de Violette.


_ J'en sais rien, elle n'arrête pas de pleurer, c'est chiant.


_ Tais-toi tu nous fait remarquer, s'adressa Violette à elle pour la première fois depuis qu'elle les avait rejointe.


_ On en a marre de toi, alors arrête de gémir et mouches-toi. Dans ta manche, j'en sais rien, mais fais quelque chose... lui pesta Lily aussi.


Son petit cœur d'enfant déjà brisé, ne faisait que s'émietter d'avantages à chacune des méchancetés qu'elles lui prononçait depuis la mort de leur père.


Et elles avaient sans doute raison de lui en vouloir, ne cessait-elle de se répéter, car sans elle, leur père serait encore parmis elles. Et elles ne devraient pas, si jeunes, assumer la responsabilité de l'élever et d'entretenir une arène.




_ Ca y est les filles, je suis là ! Entendit-elle une autre voix intervenir. On va pouvoir rentrer chez nous à Azuria ! Lança Daisy qui venait juste d'arriver.


Daisy était un peu plus âgée que ses deux autres sœurs, et c'était elle qu'elles étaient venu rejoindre alors que cette dernière avait passé toute la semaine, depuis leur retour sur le continent, à faire un tas de papiers, d'abord pour l'enterrement de leur papa, et aussi pour sa garde, et pour l'arène.
Elle ne l'avait donc pas revue depuis leur descente de l'avion, voyage de retour que toutes quatres avaient passé dans le silence et le chagrin le plus total.


_ D'accord. Nous n'avons plus qu'à y aller, dans ce cas.. répondit Lily.


_ Hey mais.. attendez qu'est-ce qui se passe ? Demanda Daisy, inquiète.


Ondine ne releva pas la tête vers elle, n'osant plus du tout se faire remarquer. De toute façon, à travers ses yeux tout embués, elle n'aurait même pas vu à quoi faisait allusion sa sœur.


_ Quoi ? Demanda Lily, surprise.


_ Mais enfin, pourquoi est-elle dans cet état ? Demanda l'aînée, toute confuse.


Ondine fut surprise qu'elle pose cette question. Parlait-elle d'elle ?


_ On s'en fiche, rétorqua Violette. Elle ne fait que ça, pleurer, depuis une semaine, elle nous soûle.


_ Et puis je n'ai vraiment pas envie de m'en faire pour elle. Déjà que tout est de sa faute ! Persiffla Lily avec un ton réellement méchant.


Si elle n'avait fait que le soupçonner, à présent c'était clair pour la petite fille, ses sœurs la tenait bel et bien responsable de la mort de leur père. Cela voulait assurément dire qu'elle l'était. Et tout ce dont elle avait envie à cet instant -en plus des bras de son papa qu'elle n'aurait plus jamais- c'était de rentrer sous terre et que plus personne ne puisse la voir ou savoir de quoi elle était fautive.
Parce qu'un autre sentiment commençait à batailler en elle aussi fort que le chagrin, c'était la honte.


_ Mais enfin vous ne tournez plus ronds les filles, ou quoi ? Elle a trois ans !


_ Et alors ? Pesta Violette.


_ Et alors elle est comme nous, elle vient de perdre son papa elle aussi. Sauf que contrairement à nous, elle ne comprend pas pourquoi. Et croyez-moi, il serait fâcheux pour vous qu'elle grandisse avec l'idée d'être responsable d'une telle tragédie, c'est bien clair ?


Elle joignit un geste à ses paroles et s'agenouilla près de sa petite sœur pour lui donner un mouchoir en papier et commença à essuyer ses joues.


_ Pourtant c'est la vérité, vociféra Lily.... sans elle...


_ Comment ça ''sans elle'' ? Ca ne va pas, non ? Si tu veux suivre ce même cheminement de pensée, alors sans toi nous ne serions pas parti en vacances pour fêter ton grade. Sans Violette, nous n'aurions pas choisi la France comme destination. Sans moi, nous serions allé faire de la randonnée ce jour-là, plutôt que d'aller à la plage, titubait la voix de Daisy empreinte de chagrin elle aussi. Alors ça suffit vos bêtises !


Elle croisèrent les bras, à deux doigts des larmes également, mais ne semblant pas déterminé à lâcher leur coupable idéale, pour le moment.


_ Tiens ma puce, mouches-toi, dit Daisy à sa petite sœur en lui tendant un autre mouchoir. Pendant ce temps, je refais ton lacet.


La petite rousse couvit de ses grands yeux verts, rougis par les larmes, la chevelure blonde de sa grande sœur. Elle devenait à présent la seule personne sur terre à qui elle pouvait se raccrocher, et son petit cœur d'enfant s'y raccrocha comme à une bouée de sauvetage.


Elle posa sa petite main sur sa tête, et Daisy releva le visage vers elle. Leur regard se croisa à toutes les deux, exprimant pour l'autre une réelle compassion. Et à cet instant, pendant cet échange particulier, se scellait une alliance silencieuse entre ces deux soeurs, promesse de protection et de dévotion l'une envers l'autre.

C'était Sacha et sa mère le petit garçon ? ^^

Bon je ne vais pas développer beaucoup car pour une raison que j'ignore, la page se rafraichi automatiquement de manière relativement aléatoire pour une raison que j'ignore, mon commentaire doit donc aller à l'essentiel avant de tout de voir réécrire. 

L'histoire fut à la fois très touchante et très belle. Il est facile de s'imaginer à la place de la petite fille essayant de se faire toute petite pour ne pas déranger. On peut facilement replacer l'histoire dans le lore de l'anime. 

Merci pour ce moment de lecture ! 

Oh mon dieu ça m’a brisé le Coeur !

Mais qu’elle belle bande de peste ces deux là ! Elles sont vraiment horrible ! Heureusement que Daisy est là ! 

La pauvre petite Ondine m’a vraiment fait beaucoup de peine  C’était une jolie histoire bien que très triste ! Leur père avait l’air de beaucoup les aimer !

J’ai également pensé que c’était Sacha et Délia qu’elle aperçoit, je me suis même imaginé qu’il allait lui proposer un gâteau

Bravo pour ton OS !

Aww la pauvre petite Ondine ; elle m'a fait de la peine
Le flashback a un début tellement adorable mais une fin si déchirante...

Merde, les deux sœurs sont vraiment méchantes, heureusement que Daisy (la meilleure, de toute façon) rattrape le trio ! Je suis contente qu'elle soit la plus mature, qu'elle n'en veuille pas à Ondine pour la mort de leur père, mais surtout qu'elle la défende et qu'elle remette Violette et Lily en place.

C'était une bonne idée d'inclure les rousquilles qui leur aient donné par leur père ! Idem pour la maman et son fils (Délia et Sacha n'est-ce pas ??) qui en transportent ! ^^

J'ai bien aimé le fait que ton histoire soit uniquement centré sur Ondine (et sur ses sœurs) plutôt que sur du Ondine/Sacha ou Ondine/Régis ! Ça fait plaisir de voir des moments "tranche de vie" entre famille comme ça. Bon, certes, les moments ne sont pas joyeux vu le contexte, mais tu vois ce que je veux dire

Je me permet juste une petite remarque ; on comprend au fur et à mesure et grâce aux premières interactions entre ses sœurs que la petite fille qui est tirée et qui est en pleurs au début est Ondine, mais je pense que cela aurait peut-être été mieux si son prénom aurait été écrit dès les premières lignes ou le premier paragraphe à la place d'un "elle", pour que l'on sache rapidement qui est le personnage principal ^^

Bref, bravo à toi !

Merci pour vos commentaires

Ah ouais je m'attendais pas à une histoire comme ça
Vraiment des pestes (pour être poli) les soeurs d'Ondine, heureusement que Daisy est là sinon la pauvre piotte ...
Sympa le petit caméo de la famille Ketchum  
Franchement c'était vraiment triste et on imagine très bien la scène

Et belle utilisation des gâteaux

Hey !  J'aime beaucoup ton OS, c'est à la fois touchant et triste, et franchement on ressent bien les émotions de la petite Ondine, en tant que lecteur, on compatis et on ressent bien ce qu'elle peut vivre avec ses grandes soeurs. C'est bien écrit, on visualise bien les scènes et l'émotion passe tout seul... 

Je trouve cela sympa d'avoir fait du point de vue d'Ondine enfant, on ressent bien ses tourmentes. Heureusement Daisy est là pour la rassurer, je me suis demandée tout au long de ma lecture si Ondine tomberait sur une personne qui l'aiderait et l'aimerait x) Heureusement que sur ses trois grandes soeurs, il y en a une qui la protège comme il se doit.  J'ai bien aimé le petit clin d'oeil du petit garçon avec sa mère, on peut deviner que c'est Sacha et Délià. Ah moins que ça soit en réalité Régis avec sa mère ? 

Enfin bref, j'ai bien aimé  ça va être compliqué à vous départager....^^

Salut,

J'ai lu ton OS, j'ai bien aimé, c'est clair, pas de pave de 1km^^
La petite Ondine prend chere, dommage qu ca soit un peu trop court ^^

Merci pour les coms.

Je n'ai pas précisé qui étaient là maman et le petit garçon justement pour laisser libre à chacun d'imaginer ce qu'il avait envie

Jason75, oui c'est court mais c'est un one shot, pas une fanfic xD  

Contente que vous ayez aimé

Très touchant, j'ai bien aimé !
Les deux sœurs d'Ondine sont vraiments méchantes, heureusement que Daisy est différente !