Je técris

Je t’écris d’un baiser de ce banc de Paris, ou deux amants s’enlacent dans leur éternité et que rien ni personne ne pourrait déranger … nos lèvres se détachent et dans le bleu de ses yeux, je vois briller tes Iris couleur Nature. Vert, couleur de l’espoir et de la chance… celle qui m’a abandonner… couleur de l’échec qui me sourit à chaque fois que Mon Regard croise le sien. Mon cœur plein à en mourir regarde jouer Molière dans Son dernier souffle. Ta peau très pâle envahit mon esprit à chaque fois que mes Doigts frôlent la sienne plus dorée. Pourtant ça fait longtemps que t’es parties Maintenant. Bientôt An que je n’ai pas vu ton visage, ni même entendu le son de ta voix. Quatre mois que les lignes de ta main ne tracent plus les boucles de lettre d’argent qui me permettait de vivre mon rêve éveillé chaque matin en relisant tes lettres. Assis sur ce Banc, je regarde ce couple. J’écris à l’encre vide les adjectifs Heureux, Amoureux, et Vivant. Le rouge sur leurs joues se reflète sur les miennes. Ondine, t’amène t’il sur un banc au parc des Amoureux ? Quand ton regard croise le sien, tes joues te trahissent elles ? Et Quand tu lis mes lettres, quel sentiments envahi ton corps ? La pureté de tes formes est telle toujours aussi cristalline et fragile ? Front contre front, les deux Amants se racontent des histoires remplient de prince charmant et de belle aux bois dormant. Ondine, j’ai envie de te raconter une Histoire. L’Histoire d’un homme amoureux à la recherche de son Homologue féminin. Homologue…quel drôle de nom pour caractériser la femme de sa vie. Tous les soirs, des qu’Aurore se déconnecte de la réalité, mes mains se joignent entre elles pour prier. Je prier et demande au plus Grand si mon Homologue ne porterait pas ton Nom. « On », « Di », « Ne » … Trois syllabes que mon cœur ne cesse de soufflé… Je souffle, je souffle et j’écris. J’écris, j’écris sans cesser de t’aimer. Je t’aime Ondine. Je t’aime… Sacha.