Le charme de Noel. Os De Concours.

Voici ma participation pour ce concours de Noël.
Les mots devant obligatoirement figurer dans le texte étant:

-vent
-Bagarre
-Eglise
-Uniforme
-Année
-Calendrier
-Innocence

Bonne lecture.   

Je cochais la dernière croix sur le calendrier. C'était un jour que j'avais attendu longtemps, très longtemps. Je trépignais d'impatience à l'idée de le revoir. Il avait appelé début novembre pour nous dire qu'il serait parmi nous pour les fêtes de fin d'année.
Seule ombre au tableau qui avait fait se serrer mon coeur était qu'il serait là en compagnie de sa petite amie, Séréna. Mais qu'importait, j'étais tout de même heureuse de le revoir. Cela faisait plusieurs années que je n'avais pas eu de ses nouvelles en personne. Et c'était toujours le professeur Chen, ou sa mère, ou bien encore Jacky qu'il appelait pour nous tenir au courant de comment ça se passait pour lui. Il n'omettait jamais de me faire passer un petit coucou malgré tout  et ça me rendait un peu heureuse dans mon quotidien barbant, mais ce n'était pas comme de le voir en personne.
Des milliers de jours que j'attendais ça. Entendre de nouveau sa voix, voir de nouveau son visage. Avait-il changé? Etait-il plus mature ou serait-il toujours encore fichu de cette innocence agaçante qui le rendait si impulsif autrefois?
Arf, je m'en fichais après tout, tant qu'il serait là. C'était là l'essentiel.

La main tremblante, je reposais le stylo sur la table et caressai la date d'aujourd'hui, 24 décembre, du bout des doigts avec un sourire nostalgique sur le visage. Dans quelques heures il serait ici, avec nous. Avec mes soeurs, Pierre, Jacky, le professeur Chen, sa mère et moi.
Mon ventre commençait à se tordre légèrement d'anticipation. Un mélange d'excitation et de peur me submergeait à l'idée de le revoir.

Mais pour l'heure, je devais accomplir mon devoir de chaque Noël, et aller chanter avec les enfants qui formaient la chorale de l'église d'Azuria.
J'enfilais donc mon uniforme, pour peu qu'on put appeler ça un uniforme et pas un costume. Petite robe rouge à boutons noirs, dont les finitions aux manches longues, et à la jupe qui arrivaient au dessus des genoux étaient faites de fourrure blanche.
Bottes noirs, écharpe verte, bonnet de père noël à pompom (sinon c'est moins drôle) sur ma longue chevelure rousse relevée en chignon et hop ! J'étais prête à accompagner les jeunes voix cristalines de la ville dans la cour de la grande fontaine.

Quand quelques heures et une dizaine de chants plus tard le clocher de la ville sonna vingt heures et que nous eument fini de chanter pour ce jour heureux, il fut temps de rentrer enfin chez moi.
Ce que ma tête avait réussi à occulter le temps de quelques heures, mon coeur se chargea  aussitôt de le lui rappeler.
A cette heure, Sacha et les autres devaient être arrivés à l'arène, là où je leur avais offert de passer la soirée.
Mon coeur tambourinait si fort dans ma poitrine que si j'avais été cardiaque j'y aurai laissé la vie, là, sur ce trottoir enneigé.
Le vent commençait à se lever, froid, perçant. Angoissée ou pas, je devais faire vite pour rentrer avant de devenir une statue de glace. Une jolie statue certes, mais une statue gelée tout de même.

Je me dépêchais de rentrer par l'arrière de la maison pour monter me changer discrètement, tandis que j'entendais les voix de mes invités s'élever du salon où se déroulerait notre réveillon.
J'étais dans l'escalier en train de monter quand, de la pièce où ils étaient, je reconnus sa voix qui s'éleva parmis les autres. Je me figeais. A ce moment là, une déferlente de sentiments me parcourut en l'espace de seulement quelques secondes. La joie et le bonheur de le savoir là, j'étais heureuse sans aucun doute. Mais aussi la tristesse, celle de le savoir ici avec une fille amoureuse accrochée à son bras, la peine de ne l'avoir plus jamais entendu pendant près de 5 ans. L'excitation aussi, celle de savoir que j'allais appercevoir son visage, son beau visage qui m'avait tant manqué. Pourrais-je ne serait-ce que le prendre dans mes bras?

Ne pouvant pas laisser mes émotions prendre le dessus sur moi ce soir, je me reprenais vite fait et montais me changer en vitesse.
Quand je redescendis pour me joindre enfin à eux, j'eus un moment d'hésitation avant de franchir la porte du salon qui se tenait fermée.

Je savais que derrière j'avais dressée une grande table décorée devant la cheminée, dans une lumière mi tamisée pour créer une ambiance chaleureuse. Je sentais déjà l'odeur du vin chaud et du pain d'épice à travers la porte, mais je n'osais pas tourner la poignée pour rejoindre ce décor de Noël presque parfait. J'appréhendais trop l'effet de mon arrivée. Oh je ne m'accordais pas une importance déplacée ! Non, mais, je me disais que les retrouvailles ne se passeraient peut-être pas de manières aussi conviviales que dans mes rêves. C'était ça qui me stressait. Et si ça ne se passait pas bien? Ou s'il était devenu différent, froid, ou mesquin? Ou pire, indifférent?

J'inspirais profondément pour me donner du courage et me lancer, et alors que j'allais saisir la poignée, quelqu'un de l'autre côté le fit avant moi et la porte s'ouvrit tout à coup.
La surprise m'avait prise de cours, mais elle ne fut rien comparé à celle que je ressentis quand je vis qui me faisait face.

M*rde alors! Sacha! En chair et en os devant moi. C'était encore plus troublant que de se retrouver face à Robert Pattinson. Beau ! Encore plus beau que dans mes souvenirs. Franchement ma mémoire ne lui avait pas du tout rendu honneur, il était à tomber ! Son beau regard marron était plus intense, plus profond, plus envoutant. Le noir intense de ses cheveux leur donnait tellement plus d'intensité. Cette coupe toujours aussi décoiffée mais toujours aussi attrayante, de celles qui vous donnent envie de fourrager vos mains dedans pour approfondir un baiser brûlant que seules des lèvres comme les siennes, qui m'adressaient un sourire en coin particulièrement charmant, pouvaient vous donner.

Tellement plus grand, et aussi sûrement plus fort si on en jugeait à sa carrure. Hmm. Il avait des bras dans lesquels vous auriez donné n'importe quoi pour vous y blottir ne serait-ce qu'une seconde, même sous un faux prétexte.

Quant à moi, je devais réellement avoir l'air bête, là devant lui, les yeux figés sur le spectacle que son physique de rêve m'offrait, les lèvres entre-ouvertes, j'espère que je ne bavais pas d'ailleurs. J'aurais bien voulu dire quelque chose, un "salut" par exemple mais, aucun son ne voulait sortir de ma bouche c'était particulièrement étrange. J'avais plus de contrôle. Pour preuve, même mes jambes menacaient de se dérober sous moi d'une minute à l'autre.

_ Salut. Lança-t-il le premier pour briser le silence.

Oh put*in cette voix! Wouaaaw j'aurais pu fondre sur place. Ce n'était plus la voix fluette de l'enfant que j'avais connu, mais bel et bien celle d'un homme, ou peut-être d'un Vampire de Twilight qui sait. Après tout c'était tellement pas humain d'être si beau, si... parfait !

_ Salut, réussis-je à articuler avec un sourire qui frisait la débilité.

_ Wouaw Ondine tu ... tu as changé.

Moi? Bah dis donc! Pas autant que toi, me dis-je.

_ Heu... toi aussi.

Et c'était franchement peu dire.

_ Tu es tellement plus... heu ... je ne sais pas... bref. Ca va?

Il bafouillait? C'étaitt lui qui bafouillait? C'était pourtant moi qui avait de bonnes raisons d'être troublée.

_ Oui. Ca fait tellement longtemps. Et toi? Ca va?

J'avais réussi à faire une phrase entière! Sans bafouiller! Wouuw! Ovation s'il vous plait!

_ Oui ça fait longtemps c'est vrai. Et c'est... comment dire... tellement dommage, admit-il en secouant légèrement la tête.

Ca, j'lui faisais pas dire ! "Dommage" était même un euphémisme, moi j'aurai dit dramatique, horrible, catastrophique, cauchemardesque, et encore! Sans en faire trop !

_ Ca ne tenait qu'à toi, tu sais, dis-je gentiment.

_ Mais je n'osais pas.

Cette phrase lui étais sortie du tac o tac et il sembla aussitôt la regretter à en juger par son air confus. Mais je n'allais pas en rester là.

_ Ah bon mais pourquoi?

Il me regarda et se machouilla l'intérieur des joues avant de se passer une main dans les cheveux, nerveux.

_ Je ne sais pas. Je suppose que, je ne voulais pas te déranger.

Je ne su d'où me vint cet élan de courage mais, j'osais un pas en sa direction de telle sorte à me retrouver à son contact presque direct et je lui murmurai

_ Tu ne m'aurais jamais dérangé. Bien au contraire.

Il braqua ses yeux aux miens, m'habitant de son regard ardent qui me rendait faible, si faible.

_ J'avais juste peur, murmura-t-il à son tour proche de moi, trop proche pour mon bien.

_ Peur de quoi?

Notre échange n'était plus que chuchottements.

_ Que tu ne veuilles pas me parler. Que tu n'aies plus de temps à me consacrer. Je ne l'aurais pas supporté, répondit-il en baissant la tête et en fronçant les sourcils, anxieux.

_ Mais en attendant, c'est moi qui ai ressenti ça.

Ses yeux se plissèrent, comme s'il venait de recevoir un coup douloureux et il me regarda de nouveau. Une de ses mains se leva jusqu'à hauteur de mon visage et il la posa en coupe sur ma joue.

_ Je suis désolée, si tu savais, tellement désolé. Ce n'est pas ce que j'ai voulu.

Je baissais les yeux à mon tour, incapable de soutenir son regard si sincèrement triste alors qu'il m'avait pourtant si profondément blessée de par son attitude. Mais une pression exercée sous mon menton me fit relever la tête vers lui, replonger dans son regard hypnotisant, réussissant à lui seul à me faire plonger dans les plus profondes vérités de son âme et à y déceler de véritables excuses. Un regard un million de fois plus parlant que des mots.

_ Je sais. Je... enfin je crois que ...

Il posa un doigt sur mes lèvres pour me faire taire et, rapprochant son visage du mien, que ses doigts chauds tenaient toujours, il chuchotta, tout près de mes lèvres

_ Je ne veux pas que tu crois. Je veux que tu sois sûre.

Puis, comme pour apporter une preuve concrète à ses paroles, il posa sa bouche sur la mienne. Oh bon sang! Il m'embrassait ! Ses lèvres embrassaient les miennes ! Oh mon dieu! Et le pire, c'est que j'adorais ça !
Une minute auparavant je détaillais encore son joli visage en m'imaginant plonger mes mains dans ses cheveux en pétard et à présent, j'en avais l'opportunité. Amen seigneur! Merci les p'tits anges! Merci Père Noël! Merci ! Merci ! Merci !
Je sentis sa langue chercher doucement l'accès à la mienne pour un baiser plus profond et, sans réfléchir plus, même si je savais qu'il y avait des invités derrière la porte, même si je savais que parmi ces invités se trouvait sa fiancée, je cessai la bagarre entre mon coeur et ma tête et lui accordais ce qu'il me demandait.
Et notre baiser s'approfondit sans aucune pudeur, sans qu'on y ai réfléchi des heures, comme si on l'attendait depuis longtemps et qu'enfin, on libérait notre conscience d'une énorme frustration.

Un gémissement rauque sortit de sa gorge alors qu'il m'embrassait toujours en faisant courir ses mains dans mon dos puis sur mes hanches. Ce son stimula les papillons de mon ventre qui volaient déjà mais qui cette fois se déchainèrent en un tourbillon de sensations.
Wouaw! Tous les hommes sont-ils capables de vous faire ressentir ça juste avec un baiser? Je ne pensais pas ! Et mon ardeur me poussa à défaire mes mains de sa nuque pour enfin oser aller emmêler sa crinière noire.
Mue d'une excitation à peine contenue, il me saisit plus fortement par la taille et m'adossa au mur à deux pas derrière nous, m'embrassant plus violemment. Et là, adossée au mur, emprisonnée par son corps pressant contre le mien, j'étais plus folle que jamais. Inutile de me mentir, j'aimais cet homme. Je voulais cet homme, de toute les façons qu'on voudrait bien me le donner. Et je me donnerai à lui aussi, de toute les façons que lui voudrait de moi. J'étais à lui, inconditionellement.

Une de ses mains quitta mes reins pour enlacer une des mienne.

_ Où est ta chambre? me demanda-t-il d'une voix essouflée et excitée.

Je cessai notre échange et le regardai. Ce que je vis dans ses yeux me troubla et m'excita moi aussi. Il me rendait dingue ! Une lueur de désir aussi forte, voire plus forte que la mienne l'habitait sans aucun doute jusqu'au plus profond de ses entrailles. Arg ! Je ne voulais pas résister. Je ne voulais pas réfléchir. Au diable Séréna, et la dinde au four qui sentait si bon! Je m'abandonnais. Je n'étais que sensation entre ses mains, qu'une petite flamme qui demandait à s'embraser, un glaçon oublié sur un radiateur. Je pouvais ressentir entre ses bras et sous l'assaut de ses baisers un sentiments et des effets de fou que personne d'autre que lui ne pouvait me faire ressentir. Et je voulais plus. Qu'importe à quel prix et pour combien de temps. Je le voulais lui. Sacha. Lui qui n'était pas mon homme à moi mais que je voulais envers et contre tous.

_ Suis-moi. Murmurais-je à mon tour.

Puis je resserrai ma main autour de la sienne et le tirai dans les escaliers à ma suite, quand une voix résonna, interrompant notre course.

_ Ondine où vas-tu?

Oh non! Rêve brisé! Vie cruelle! Malédiction!

_ Hé ho Ondine!

Non je ne veux pas que ça s'arrête ! Je le veux ! Personne ne peut m'en empêcher !

_ Bah alors Ondine! T'es là?

Un claquement de doigts au niveau de mes yeux et je me reconnectais avec la réalité. M*rde! Qu'est-ce qui se passait dans ma tête? Où j'étais d'abord?
Ah oui ça me revenait ! J'hésitais à ouvrir cette porte parce que je flippais et je m'étais mise à m'imaginer mon plus grand fantasme ...

Mais! Attendez une minute!

Je relevais doucement les yeux avec bien du mal vers la voix de celui qui venait de me ramener sur terre et mon coeur ratta un battement. Wow. Face à moi se tenait l'homme le plus beau et le plus sexy de la planète! Un prototype parfait créé sans aucun doute par Dieu lui-même.

_ Sacha. Baffouillais-je, rouge comme une pivoine. Wouaw, salut. Ca fait longtemps...

Il m'adressa un sourire sincère d'un million de degré et me prit dans ses bras sans plus de cérémonie.

_ Oh Ondine, murmura-t-il à mon oreille. Tu m'as manqué. Tellement manqué.







La suite est laissée au plaisir de votre imagination    Merci de m'avoir lue.  

Ah super ! J'ai adoré ! MDR Au début je me disais, Sacha oserait l'embrasser devant sa soi-disant petite amie ? Et là... c'était juste l'imagination d'Ondine qui a dérivé ! XD Pas mal du tout Super OS

Hihi oui sacré Ondine!   

Merci beaucoup d'avoir lu et pour ton com   

Haaaaan !! J'ai kiffé, un truc de malade !! *-*
Bon sang, c'était terrible !

Le début était super, on ressentait bien son appréhension et ses peurs face à ses retrouvailles avec Sacha !
J'ai adoré ses pensées, ça m'a fait bien rire les allusions à Robert Pattinson, ahah ! xD Ses impressions sur Sacha était géniales, j'ai rit tout au long ! Mdr Mais surtout, ce qui m'a fait le + rire, c'est vers la fin, le " Un prototype parfait créé sans aucun doute par Dieu lui-même." Des barres ... ! x)

J'ai beaucoup aimée leurs conversations ! :DPas de dialogues inutiles, les phrases était parfaitement bien choisies et je trouve que cela correspond plutôt bien aux sentiments cachés d'Ondine, héhé ! :DP'tin au début, je commençais à flipper lorsqu'ils ont commencés à s'embrasser !! O.o J'me disais "Mais merde, ya les autres à côté, si y'en a un qui vient voir ce qu'il se passe, ils vont se faire cramer et ça va finir en cacahuète !" xD

J'ai aussi adoré ces pensées lorsqu'ils se sont embrassés, on voit qu'elle commençait à perdre encore + la tête, et qu'ils n'en pouvaient plus au bout de quelques minutes x) J'étais moitié choquée lorsque Sacha lui a demandé où était sa chambre ! Le mec, il va faire l'amour à son amante alors qu'ils y a des invités et sa fiancée en bas, t'sais ! Mdrr

Et quand j'ai lue qu'une voix l'avait arrêtés dans leurs courses, j'ai eue peur et je me suis dit "Merde de merde ! Pierre les vus !" XD Je ne sais pas pourquoi mais je voyais bien Pierre les interrompre donc voilà pour la raison de ma pensée sur lui... lol
Et quand je vue la chute, je n'ai pas pu m'empêcher de rire en étant tout de même frustrée ! Bah oui, je voulais qu'ils aillent dans la chambre, moi ! xD
Mais n'empêche, c'était génial, Ondine qui venait de fantasmer sur Sacha et que justement, ce soit lui qui casse tout son délire, et qu'elle ne sache plus quoi dire après, epic ! x)

Des pavés et des pavés pour ma plus grande joie ! :cheers:Le texte était ni trop lourd, ni trop léger, juste bien ! Et finalement, la longueur m'a plu ! ;)Je l'ai trouvé à une taille normale lol
Enfin bref, j'ai adorée ton OS, et encore bravo de l'avoir écris !

Lolo57 a écrit:

J'ai adoré ses pensées, ça m'a fait bien rire les allusions à Robert Pattinson, ahah ! xD Ses impressions sur Sacha était géniales, j'ai rit tout au long ! Mdr Mais surtout, ce qui m'a fait le + rire, c'est vers la fin, le " Un prototype parfait créé sans aucun doute par Dieu lui-même." Des barres ... ! x)

:DP'tin au début, je commençais à flipper lorsqu'ils ont commencés à s'embrasser !! O.o J'me disais "Mais merde, ya les autres à côté, si y'en a un qui vient voir ce qu'il se passe, ils vont se faire cramer et ça va finir en cacahuète !" xD

MDR, la même ! pas mal les références avec l'acteur On voit bien que tu adores Robert Pattinson, limite un Dieu mdrr XD
Quand j'ai lu la fin, j'avais pensé qu'Ondine ne faisait que rêver en fait, mais non elle fantasmait. C'est la meilleure

Oui, j'aurai pu éditer mon coom au dessus, mais fallait trop que je confirme ce que Lolo vient de dire : C'est génial.

Wouaaaw merci!!! Moi j'ai kiffé ton com !    Ca fait vraiment plaisir. Ca t'as plu j'suis contente. Et pour la longueur ouai ça va à peu près. J'ai pas été jusqu'au bout de l'idée de départ pour pas en faire trop.
_ Wow Rachel atteris c'est pas une fic c'est un OS! Nan mais allo quoi! Mdrrr   

Et heum, contenu un peu sensuel mais je lis cinquante nuance en ce moment alors du coup bah.. voilà quoi...    vous ne m'en tiendrez pas trop rigueur. XD

Merci en tout cas   

Mais tu es cruelle de nous avoir fais croire que c'était vrai !!! Je voulais savoir la suite moi ! Avec tout les détails en plus ! :p
Haha c'était tellement intense avec tout ses détails, j'ai adoré, si jamais tu te sens une petite sute moi je dis pas non mdrrr :p

Merciii contente que ça t'ai plu.

Cruelle moi? Noooon    Quoi que...   

OMGGGGGGGGGGGGGGGGGGG Le truc de malade ! OMG MAIS C'EST SUPER !!!! O_O

put** que j'ai adoré! Mdr. Oui CRUELLE de nous avoir fait croire que c'était vrai!!! GRRRRR. MDR.

Mais la fin, extra signe que peut-être que ca sera un peu dans le meme sens que le reve .

Serieux, super, vraiment bien écrit et mdr la référence à Rob et à Twilight.

Bravo rachelnounette chérie.

Génial !
Tout simplement génial !
Au moment ou il lui a demander ou était sa chambre je me suis d'abord dit : "Et bien ! Il est direct aujourd'hui Sacha   !".
Mais après j'ai réfléchi et je me suis dit : "Non, Rachel, tu vas pas nous faire ça ... ne me dit pas que c'est un rêve !".
Mais en fait elle délirait complétement ! Et Sacha qui brise son délire, c'était magnifique !
En plus tu décris tellement bien les sentiments et les pensées d'Ondine, on a l'impression qu'elle nous les transmets !
Et c'est surement ça qui détermine à quel point ce genre d'OS est bien, la transmission des sentiments ^^
Je sais que je me répète mais cet OS est GÉNIAL !