Ton omniprésence

Sujet: Re: Ton omniprésence Ven 02 Oct 2015, 17:38

Elle savait Ondine avant que Sacha s'excite que Julien l'avait traumatisé ?

Sujet: Re: Ton omniprésence Ven 02 Oct 2015, 21:33

Bah ça on le saura dans les prochains chapitres x) en attendant, le chapitre d'aujourd'hui sort normalement à 23h ! Very Happy

Sujet: Re: Ton omniprésence Ven 02 Oct 2015, 21:37

C'est une bonne question TerraRafa et j'avoue mettre posé la même.
J'ai hâte de lire la suite Smile

Sujet: Re: Ton omniprésence Ven 02 Oct 2015, 22:45

Alors en fait j'étais entrain d'écrire et je n'ai rien sauvegarder, vu que mon ordi sort du réparage il était comment dire... "fatiguer", donc il s'est éteint... Le chapitre sortira vers 00:00 désolé x) j'ai rager vous savez pas comment T.T

Sujet: Re: Ton omniprésence Ven 02 Oct 2015, 22:52

Mais je vais te tuer toi un jour c'est pas possible !!!! Evil or Very Mad

Sujet: Re: Ton omniprésence Ven 02 Oct 2015, 22:55

Et ! C'était dur pour moi aussi hein ! xD T'façons tu l'as aujourd'hui donc chut ! >.<

Sujet: Re: Ton omniprésence Ven 02 Oct 2015, 23:06

Grrrr !

Sujet: Re: Ton omniprésence Ven 02 Oct 2015, 23:15

En fait vous l'aurez peut-être un peu plus tôt... Fin je sais pas x)

Sujet: Re: Ton omniprésence Ven 02 Oct 2015, 23:26

Tu me cherches là c'est pas possible !! xD

Sujet: Ton omniprésence Ven 02 Oct 2015, 23:31

Voila la vedette, le chapitre 12 ! x)
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Ton omniprésence

Chapitre 12

Le savais-tu ?

Savais-tu que tu ne servais à rien ?

Savais-tu que tu n'es qu'un bon à rien ?

Alors arrête de te sentir bien

Je ne veux pas que tu sois serein

Fais toi écraser par un train

Je sais pas moi, bouge ton arrière train

Mais je veux que tu aies peur à t'en faire mal au rein

Je ne veux pas que tu sois bien

Je veux que tu ne sois rien

Perdre ses moyens devant ses yeux bleus azurs. Elle le fixait, il la fixait. Une bataille de regard qui prit vite fin à cause des coups des "méchants". Mais bientôt, ce ne fut plus les coups qu'il sentait, mais le regard attendrissant de cette fille aux cheveux semblable au pelage d'un beau renard. Son regard était tellement rassurant, Sacha ne su baisser les yeux. Il voulait qu'elle le prenne dans ses bras. Il voulait sentir la chaleur de son corps, mais c'était impossible. Sacha passa de l'eau sur son visage, aux toilettes. Devait-il continuer à voir la Princesse Troublante ? Ne devait-il pas changer d'établissement scolaire. Si. Mais ses yeux bleus azurs le bloquait.

Sacha envoya un message. Un long message. Plein de haine, de volonté, de tristesse, de remords, de reproches.

"Vous, à l'instant :

Pourquoi ? Pourquoi oublié ce que j'aurais pu éviter grâce à ton aide, qui n'a jamais existé. J'en ai des séquelles. J'en souffre. Je ne sais pas oublier. Bon Dieu pourquoi n'as-tu rien fait ?! Bordel pourquoi tu m'as laisser dans cette galère ?! Pourquoi tu te marie avec lui ?! Pourquoi tu fais tout ça ?! Tout aurais pu prendre une autre tournure, tu aurais pu changer mon futur. Mais tu as fait ce que je suis aujourd'hui. Tu aurais du prévenir quelqu'un, tout se serait arrangé en dix secondes, mais rien. Tu n'as rien fait. Pourquoi ?!"

Sacha ferma l'ordinateur et s'approcha de Pierre.

- Bonne chance.

Et Sacha sortit de l'appartement. Il se rendit à la Place Darkrez, le coeur lourd. Il monta dans l'appartement d'Ondine et se rendit discrètement dans sa chambre. Il se laissa tomber sur le lit et mit ses mains en dessous de son orreiller. Et là, il sentit une carte. Sacha la saisis et lu silencieusement.
"Carte de fidélité de Julien Williams
Site extra-conjugual TheZigard"

Julien s'ennuyait donc de sa propre femme. Très bien, l'heure de la deuxième vengeance avait sonné ! Sacha se rendit dans la chambre des deux mariés, sur la pointe des pieds. Il déposa délicatement la carte sur la table de chevet d'Ondine et retourna dans sa chambre, ni vu ni connu. Puis, il s'écroula sur son lit, un sourire sournois dessiné sur son visage. Julien allait payer pour toutes les souffrances qu'il lui avait fait subir.

Il couru le long des rues. Courir, cela donnait envie, faisait penser à la vie. Rien ni personne ne pouvait l’empêcher, l'arrêter. Rien ni personne n'allait l'empêcher, ni l'arrêter. Il courait tel un lionceau qui essayait de sauver sa peau. Le vent le gifflait, mais qu'importe. Tant que Sacha pouvait se sentir libre, libre comme l'air. Libre comme un oiseau. Sacha aurait aimer être un oiseau. Là au moins, aucun tracas. Un oiseau est libre. Sacha, lui, est sous l'emprise de la tristesse.

Il se cogna à la Princesse Troublante. Cette dernière le regardait gentiment. Elle l'aida à se relever. Sacha avait été interrompu par celle qu'il aimait, par celle qu'il avait toujours aimer.

- Comment tu t'appelles ? demanda le jeune homme.

- Pourquoi je te le dirais ?

- JE LE SAVAIS !

Sacha se réveilla en sursaut. Bien vite, il sortit de sa chambre pour assister au spectacle. Julien, la tête entre les mains et Ondine enragée.

- Je le savais ! Je le savais que tu me trompais ! Tu vas sur des sites comme ça, toi ?! Salaud ! Salaud ! cria la rouquine.

Sacha fit un petit sourire en coin discret avant de prendre par à la dispute.

- Que ce passe-t-il ? demanda Sacha, qui connaissait très bien la réponse.

- Il me trompe ! cria Ondine.

- Quitte le ? proposa normalement Sacha.

- Oh que oui ! cria Ondine. JE DIVORCE ! De toutes façons, je ne t'aime plus.

Julien observait Sacha avec un regard de tueur, Sacha, lui, le regardait avec un regard de vainqueur. Julien quitta la maison et Ondine se mit à pleurer sur le canapé. Sacha s'assit à côté d'elle et la prit dans ses bras.

- Tu ne l'aimes pas.

- Je ne l'aimes pas.

Sacha hésitait, devait-il tout cracher maintenant ? Lui dire ce qu'il ressentait depuis le début ? Oui...

- Ondine, je...

- Sacha ! Je sais que tu es désolé de ce qui viens de se passer, mais je ne veux plus en entendre parler !

Ce n'était pas le moment. Cela ne le serait jamais. Il ne devait pas le dire et il ne le dirait jamais, de toutes façons... Sacha la serra plus fort. Alors, si il ne pouvait pas lui dire, il allait lui faire comprendre comme il pouvait.

- Lâche moi.

Sacha s'excécuta.

- Je suis désolée de n'avoir rien fait, quant nous étions enfants.

- Je m'en fiche.

Sacha sortit de la pièce. Elle avait ramener le sujet ! Il ne voulait plus jamais y penser ! Jamais ! Sacha ferma sa porte à clef et se prit la tête entre les mains. C'était entrain de le détruire, tout ça. Tout était entrain de le détruire. C'était à cause d'elle ! Si elle avait dit quelque chose, Sacha n'aurait jamais vécu tout ça ! Sacha se leva. Maintenant, il devait vivre pendant un petit temps avec elle ! C'était de sa faute ! A elle ! La Princesse Troublante ! Sacha donna un violent coup de poing sur le miroir. Soudain, une intense douleur se fit ressentir dans sa main. Il se l'était couper. C'était marrant, cette douleur, il l'avait déjà ressentit. Il y a longtemps, au temps de la réelle Princesse Troublante. Des gouttes de sang tombèrent sur le sol. Cela lui faisait penser à l'époque ou il se faisait martyrisé. Ou le sang coulait sans arrêt. Ou les coups et les blessurent ne s'arrêtaient pas. Il tomba à genoux. Il était fou ! Complètement fou ! Traumatisé à vie, il n'arrivait pas a oublier. Le fait de les revoirs, tous les deux, c'était horrible ! Son intimidateur et sa témoin. L'élue de son coeur.

Ondine toqua à la porte, mais Sacha n'alla pas ouvrir. Il était trop occupé à se mettre en position fœtale dans un coin de la pièce, sanglotant. Mais pourquoi, tout d'un coup, il devenait faible ? Pourquoi, tout d'un coup, il devenait... Comme avant ? Pourquoi était-il ainsi ? Il ne savait point. Et jamais il n'aurait la réponse. Telle était sa destinée, être faible.

La porte s'ouvrit. Elle avait défoncer la porte, comment avait-elle fait ? Incroyable ! Elle en avait, du muscle. Ondine s'assit à côté de Sacha, qui tenait sa main droite dans sa main gauche, le sang coulant le long de son bras. Mais ce n'était pas la douleur de sa main qui était intense, mais la douleur de son passé. Ce fut maintenant au tour d'Ondine de le prendre dans ses bras. Sacha sentit de la chaleur l'envahir. La Princesse Troublante venait de le prendre dans ses bras. Jamais il ne s'était sentit aussi bien avant.

- Dans la vie, il ne faut être bon qu'une fois car si tu es bon deux fois tu deviendras bonbon et on te mangera.

- Dans la vie, il ne faut être bon qu'une fois car si tu es bon deux fois tu deviendras bonbon et on te mangera.

- Ondine... Merci d'avoir été la seule à ne pas te moquer de... Je ne sais même pas de quoi, en fait...

A suivre...

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Voila voila !