Quand Le Passé Ressurgit

Haha! J'ai bien rit! Sacré Sacha!

Mais alors là on est coupés en plein moment intense, pourvu que le déroulement de ce petit échange soit positif.

Chuite! Chuite! Chuite!

Après des Jours d'absence... Voici le Chapitre n°28 ... Ravie que le suivant vous est plu...

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Chapitre n°28 : Une fille, Un Gars


Ondine : Maintenant que tu as posé la question, donne-moi la réponse…

Les yeux dans les yeux, la main de Sacha glissa de son cœur à son ventre. Il resta un instant comme ça.

Ondine : Aie !

Sacha : Qu’es qu’il se passe ?

Un sourire s’afficha sur le visage d’Ondine.

Ondine : Je l’ai senti bouger… et c’est la première fois… Je le sens !

Elle répéta cette phrase sans cesse. Les larmes lui montaient aux yeux tellement elle était heureuse. Elle cligna des yeux et des larmes de joies coulèrent le long de ses joues.

Sacha : Non, ne pleure… je ne suis pas venue pour te voir pleurer.
Ondine : Je suis heureuse Sacha… et c’est grâce à toi.

Elle ne put s’empêcher de le prendre dans ses bras.

Ondine : Merci… merci…

Sacha mit ses bras autour de sa taille. Puis au bout de quelques secondes, Ondine se retira.

Ondine : Tu l’as sentit toi ?
Sacha : Non…

Sans que Sacha ait fini de répondre, elle prit sa main et la posa sur son ventre. Sacha posa son regard sur Elle, puis se concentra jusqu’à ce que le petit d’Ondine se mette à bouger. Quand il le sentit, il leva son regard vers la jeune femme qui éliminait. Il n’avait Jamais partagé un moment comme ça avec Annabelle mais sans savoir pourquoi il préférait le faire avec Ondine.

Sacha : Ondine.
Ondine : Oui.
Sacha : Justement, j’étais venu te parler de ça…

Ondine regarda intensément Sacha.

Sacha : Ne me regarde pas comme ça sinon, j’vais jamais pouvoir parler.

Ondine ferma alors les yeux.

Ondine : C’est mieux comme ça.

Un sourire s’afficha sur le visage de Sacha et il ne put s’empêché de poser ses lèvres sur les siennes…

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Régis, qui était toujours à la Recherche d’Olga, fouilla tout le parc en maugréant des phrases incompréhensibles. Ses pas le menèrent à l’endroit où ils avaient déjeunés Jacky, Olga et lui-même, ce midi. Une brise se leva et quelques secondes plus tard, il sentit quelque chose lui tombé sur la tête. C’était le chapeau d’Olga. Il leva la tête et la trouva assise sur une branche d’arbre en train de le regarder de façon ahuri.

Régis : Non mais ça ne va pas de me jeter des objets à la figure comme ça ?!
Olga : Mais ce n’est pas moi, c’est le vent !
Régis : Il a bon dos le vent…

Elle se mit debout sur la branche.

Régis : … fait attention, tu vas tomber…

Elle marcha sur la branche, les bras écartés pour se donner plus d’équilibre.

Olga : Tu t’inquiètes pour moi maintenant ?!

Régis, les yeux rivé en l’air à suivre le moindre de ses mouvements, émit un rire rempli d’ironie.

Régis : Tu plaisantes j’espère, c’est plutôt pour moi que je m’inquiète…
Olga : Comment ça ?

Elle sauta d’une branche à une autre.

Régis : Si Jamais, il t’arrive quelque chose, que tu tombes ou je ne sais pas quoi et bien, on va penser que c’est moi qui t’ai jeté des pierres… vu que tu te plains à mon grand-père.
Olga : Je ne me plains pas. Il m’a gentiment demandé comment je me sentais dans l’équipe et je lui ai dit ma façon de penser… Je n’allais pas me …
Ah !

Elle voulut s’assoir sur une des branches de l’arbre mais le lacet de sa basket se pris dans l’écores et la chute fut inévitable…

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Jacky ouvrit la porte de chez lui.

Jacky : J’suis rentré !

Il ferma la porte et seulement l’écho de sa voix lui répondit. Il entra dans le salon ou on avait l’impression que la vie s’était arrêtée. Le Silence qui régnait dans la pièce lui donnait mal à la tête. Il posa ses affaires et se vaudra sur le canapé. Ses yeux se fermèrent… Ses cheveux d’Azur foutent l’air à chaque un de ses mouvements, son sourire tantôt angélique tantôt diabolique se dessine et sa voix légèrement hystérique prend vie dans son esprit. La couleur du rêve se contraste. Ses paupières closent se relevèrent. Il tenta de s’allongé mais les battements du cœur de la jeune femme sont encore présents sur chaque parcelle de tissu. Malgré son départ, le fantôme de son passage est toujours présent. Il se leva et commença à faire les 100 cents jusqu’à ce qu’il s’arrête devant la salle d’eau. Il ouvrit la porte et y pénétra sans allumer la lumière. L’odeur de son gel douche flottait toujours dans la petite pièce. Il posa une main sur l’interrupteur et la pièce s’éclaira. La première chose qui le surprit fut que la tonne de produit de beauté entassé sur l’étagère avait disparu. Il se tourna vers le miroir et ses yeux doublèrent de volume. Sur le verre froid était inscrit de sa main un petit mot d’adieu au rouge à lèvre rouge :

« Merci de ses jours passés à tes côtés. J’ai suivi le chemin de mon cœur. Désolé. Aurore. »

Quand il eut fini de lire ce petit message, ses larmes commencèrent à glisser le long de la paroi du lavabo…

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Malgré que ça fessait des mois qu’il ne l’avait pas embrassé, ses lèvres avait toujours ce même gout à la fois délicieux et piquant. Il mit ses deux mains sur son visage pour approfondir leur baiser. A bout de souffle, Ondine le rompit et regarda Sacha dans les yeux avant de baisser les yeux. Sacha se mordit doucement les lèvres avant que ses doigts viennent frôler le menton de la future maman et lui releva la tête. Leurs regards se croisèrent une nouvelle fois et les mots de Sacha sortirent d’une voix basse mais compréhensible.

Sacha : Tu es sûr que c’est Régis, le père de ce Bébé ?

Le Regard couleur Espoir de la Rouquine ne lâcha pas celui aux reflets noisette de Sacha malgré la question qui la mit mal à l’aise. Ses lèvres
bougèrent et formèrent des mots mais aucun son n’en sortit. Elle jeta un bref coup d’œil à son ventre avant que son regard ne se repose sur Sacha. Elle se racla la gorge et avala sa salive.

Ondine : Pour une fois depuis longtemps… je vais essayer d’être franche avec toi, Sacha…

Ses pupilles se mirent à briller et elle baissa la tête.

Ondine : C’est honteux de se l’avouer pour une femme mais …

Sa tête fit un geste de négation avant qu’elle ne relève la tête, les yeux bués de larmes. Elle prit la main de Sacha qu’elle serra.

Ondine : Je ne sais pas si le père de ce bébé est Régis ou Toi, Sacha…

Des perles salées se mirent à roulées le long de ses joues qui commencèrent à rougir. Devant cette scène, le jeune Ketchum ne put s’empêcher de posé une de ses mains sur son visage et d’essuyer ses larmes. Il approcha son visage du sien et colla son front contre le sien. Leurs regards, aussi prêts, soit-il, se dévisagèrent. Pour la première fois depuis qu’il l’avait rencontré, Il remarqua la touche de couleur bleu qui nuançait ses Iris émeraude.

Sacha : Ondine, je te fais la promesse que s’il s’avère que je suis le père de cet enfant…

Il posa une de ses mains sur son ventre arrondis.

Sacha : … que je serais toujours là à vos côtés.

Un sourire humide s’afficha sur le visage de la jeune femme. Elle se recula du jeune homme de quelques centimètres.

Ondine : Es-ce que tu pourrais venir avec moi, dans les jours qui viennent à l’hôpital de Jadielle pour un test sanguin ?

Sacha l’interrogea du regard.

Ondine : C’est pour un test de paternité… Si ton groupe sanguin mélangé au mien correspond à celui de mon bébé alors tu seras le père mais si c’est
l’inverse… ce sera Régis.

Un silence s’installa entre eux pendant lequel chacun était dans ses pensées puis Sacha prit l’initiative de le briser.

Sacha : Je sais que ça va paraitre bizarre, ce que je vais dire mais…

Il émit un petit rire.

Sacha :… malgré que ma fiancée attende aussi un enfant de moi et que tout sera compliqué, j’aimerais que ce petit soit de moi.

Le sourire qui était sur le visage d’Ondine s’effaça dès qu’elle entendit de la bouche de Sacha « ma fiancée » Pour ne pas que Sacha le remarque elle baissa la tête et partit dans ses pensées les plus secrètes. Les portes de son jardin secret s’ouvrirent et elle pensa à voix haute…

Ondine : … et moi, j’aimerais tellement que l’enfant de ta fiancée ne soit pas le tien…

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Régis vit le corps d’Olga qui allait tomber sur lui. En quelques secondes, il passa de la lumière à l’ombre puis de l’ombre à la lumière. Dans un geste inconscient, il ouvrit les bras et la jeune brune tomba à l’intérieur. Pour ce rattrapée, elle mit ses fins bras autour du coup de l’homme qui venait de la rattraper. Olga planta son regard dans celui de Régis avant de le dévisager. Elle observa les moindres petits détails de son visage comme la petite bosse sur son nez ou son front dégagé. L’ombre de son chapeau cachait la couleur exacte de ses yeux. Elle lui prit et le posa son sa propre tête.

Olga : Il me va mieux à moi.

Elle afficha un petit sourire et Régis tourna la tête tout en retirant le bras qui tenait les jambes de la jeune femme. Les deux basquets d’Olga touchèrent
le sol et elle se mit debout.

Régis : Je t’avais dit que tu allais tomber…

Il se recula d’elle.

Régis : Heureusement que j’étais là.
Olga : C’est vrai sinon Dieu seul sait ce qui me serait arrivé.
Régis : Moi, je sais ce qui te serait arrivé. Tu te serais éclater comme une crêpe sur le sol et tu n’en serais ressorti au mieux avec une jambe en moins et au pire t’y laissait la vie …
Olga : C’est Gaye…

Il y eut un silence pendant lequel chacun regardait de droite à gauche. Olga s’installa sur le sol. Régis fit de même. Il la regarda joué avec un bâton sur le sol puis décida de l’embêter un peu. Il attrapa son chapeau et lui baissa sur les yeux.

Olga : Eh !

Elle le releva en rigolant.

Régis : Tu vois c’est ça que je n’aime pas chez toi…
Olga : Pardon ?
Régis : Je t’ai sauvé la vie et tu ne me remercie même pas.

Les deux yeux d’Olga s’ouvrirent en grand mais elle décida de ne pas répondre à sa provocation mais au contraire d’en tirer à son avantage.

Olga : C’est vrai… Excuse-moi, j’ai oubliée.

Elle se mit à quatre pattes et avança dangereusement vers lui.

Régis : Qu’es que tu fais ?

Arrivé à sa hauteur, elle planta son regard dans le sien.

Olga : Comme dans toutes les histoires, les sauveurs reçoivent le baiser de la jeune victime qu’ils ont sauvé des griffes du mal.

Elle mit ses mains sur ses épaules et déposa un baiser sur sa joue. Elle se recula et se leva.

Olga : Bon maintenant que c’est fait, je vais arrêter de polluer l’air de mon sauveur.

Elle commença à partir mais cette réflexion fit pensé à Régis le pourquoi il était venu la voir. Très Rapidement, il se leva et l’attrapa par le poignet. Elle
se retourna, un sourire sur les lèvres.

Olga : Tu as déjà eu ton baiser Don Juan…

Régis leva les yeux en l’air.

Régis : Non mais qu’es que tu crois. Je n’en ai rien à faire de tes baisers ridicules…
Olga : Quoi !
Régis : … bah oui, je vais bientôt me …

Il allait dire « Je vais bientôt me marier et je suis père de famille donc des bisous, j’en ai à revendre » mais cette dernière, un zeste susceptible, avait très mal pris le mot « RIDUCULE » pour caractérisé un bisou de sa part. Elle le prit alors pas le col de sa blouse blanche et écrasa ses lèvres sur les siennes. Régis surpris ne ferma pas les yeux mais répondit. Il commença à se retirer pour rompre leur baiser mais il sentit les mains de la jeune femme derrière sa tête qu’il l’en empêchait. Il sentit la langue de jeune femme essayer de passer la barrière de ses lèvres qu’il entrouvrit pour se laissé aller. Leur baiser devint alors fougueux et langoureux. A bout de quelques minutes, Olga se retira. Elle croisa le regard de Régis.

Olga : J’espère que de celui-là tu t’en souviendras !

Elle partit mais une nouvelle fois, il l’a retenu.

Olga : Quoi ?! T’en veux un autre ?!

Il fit non de la tête et planta son regard dans celui de la jeune femme.

Régis : Je voulais m’excuser pour mon comportement…

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Ses mains s’agrippèrent sur le lavabo et il se laissa aller comme Jamais. Les sanglots prirent place et dans un vacarme de désespoir, il n’entendit pas la porte d’entrée s’ouvrir, ni le bruit des pas qui s’approchait de lui. Jacky ouvrit l’eau du robinet de couleur bleu et l’eau fraiche coula abondamment. Il passa son visage en dessous et des qu’il le releva son reflet pétillant brilla dans la glace. Surpris, il se retourna et elle était bien là devant lui vêtu de sa petite jupe rose. Gêné qu’elle le voiye dans cet état, il prit une serviette et s’essuya le visage.

Jacky : Ce n’est pas ce que tu crois.
Aurore : Ne t’inquiète pas, je ne crois rien.

Jacky posa la serviette et sortit de la salle de bain, Aurore sur les talons.
Jacky : Comment tu as fait pour rentrer ?
Aurore : J’ai simplement utilisé la clef que tu m’as donnée.

Jacky s’installa sur le canapé et Aurore se mit dans un coin de la pièce contre un meuble, comme si elle était gênée d’être là. Un silence s’installa entre eux. Ils ne savaient pas quoi se dire.

Aurore : Tu as bien travaillé aujourd’hui ?

Jacky leva la tête vers elle.

Jacky : Tu es venue ici pour me poser ce genre de question ?

Aurore détourna le regard et souffla intérieurement.

Aurore : Je ne sais pas si j’ai bien fait de venir…

Jacky se leva brusquement.

Jacky : C’est vrai ça pourquoi tu es venue ?!

Il commença à marcher lentement dans la pièce en silence, Aurore le regarda faire.

Jacky : … pour voir si le pauvre Jacky allait bien ?!

Il plaça prêt d’un meuble ou plusieurs livres et cadres photos y était installer. D’un seul coup, dans un geste violent, il jeta tout par terre. Le bruit du verre brisé des cadres au sol fit sursauter Aurore.

Jacky : … et bien Tu as l’a réponse. NON !

Il avait hurlé. Un hurlement provenant du fond de son Cœur. Il s’approcha dangereusement d’Aurore.

Jacky : et tu sais c’est à cause de qui, si je ne vais pas bien ?

Aurore recula au fur et à mesure que Jacky approcha d’elle avec un air menaçant dans le fond de ses prunelles brunes mais le mur se retrouva très vite derrière elle. Il arriva en face d’elle et planta son regard dans le sien d’eau pâle.

Jacky : Tu sais à cause de qui, je ne vais pas bien ? …

Aurore le regarda mais ne répondit pas ce qui l’énerva. Il tapa dans le mur à côté d’elle.

Jacky : Et bah alors tu as perdu ta langue ?

La lèvre inférieur d’Aurore trembla légèrement et ont pu voir qu’elle retenait ses larmes.

Aurore : non… non… j’ai simplement peur quand je te vois ainsi…

Le mot « peur » raisonna dans l’esprit du jeune homme. Il fessait peur à la femme qu’il aimait. Elle avait peur de lui… il ne voulait pas lui laissé se
souvenir là de lui. Il ne voulait que quand elle entende le nom « Jacky » elle pense à une personne effrayante…

Jacky : non…

Il laissa glisser ses mains contre le mur puis sur les épaules de la jeune femme. Vu qu’elle portait un bustier, il put sentir la chaleur de sa peau sous
ses doigts. Cette sensation de chaleur qu’elle voulait offrir à quelqu’un d’autre que lui. Les larmes lui montèrent aux yeux et il ne put les contenir plus
longtemps. Il enfoua sa tête au creux de son cou, passa les bras autour de son cou et se lassa aller. Aurore qui sentit les larmes chaudes du jeune homme couler le long de son dos et les tremblements de son corps toute entier ne sut pas quoi faire d’autre que de le serrer contre elle.

Jacky : Ne pars pas Aurore… ne pars pas…

Elle le sera contre lui en lui demandant pardon.

Aurore : je suis désolé…

Ils restèrent un long moment dans les bras l’un de l’autre jusqu’à ce que Jacky se retire de son étreinte. Il se dirigea vers la petite radio qui servait à
Aurore quand elle séjournait ici. Il appuya sur un bouton et une musique sortit des Baffes. Il se retourna et s’avança vers elle.

♪ Tous mes amis sont partis, Mon cœur a déménagé… ♪

Il lui tendit la main qu’elle prit. Il l’approcha de lui et passa sa main derrière son dos. Aurore, elle, posa sa main libre sur son épaule et ils commencèrent à tourner doucement.

♫ Mes projets c'est continuer, Mes amours c'est inventer ♫

Ils ne se lâchèrent pas des yeux. Leurs corps se rapprochèrent encore.

♪ Mais mon avenir reste gris et mon cœur aussi... ♪

Aurore posa sa tête sur son torse.

♪ Je suis si peu habile que demain. Le bonheur passera peut-être. Sans que je sache le reconnaître…♫

La chanson n’avait aucune signification pour eux mais la mélodie était belle et que ce moment qu’il partageait ensemble était unique.

♫ Mon cœur est confortable, bien au chaud et je laisse passer le vent. Mes envies s'éteignent, je leur tourne le dos et je m'endors doucement sans chaos ni sentiment… ♪

La mélodie s’estompa lentement ainsi que leur dernière danse. Ils s’arrêtèrent et leurs regards se croisèrent.

Jacky : Je t’aime Aurore…

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Sacha prit la main d’Ondine. Ils se regardèrent dans les yeux.

Sacha : Tu sais Ondine même si j’ai un autre enfant avec une autre que toi, ça ne changera rien…
Ondine : Comment ça ?

Il baissa le regard et le rouge commença à lui monté aux joues.

Sacha : ça ne changera rien sur ceux que je ressens pour toi et pour nos enfants…

Ondine chercha Sacha du regard et même si celui-ci le détourna à chaque fois, elle s’efforça à parler.

Ondine : Qu’es que tu ressens pour moi, Sacha ?

Il leva le regard vers elle mais ne répondit pas toute suite. Il avait l’air de réfléchir. Les minutes s’écoulèrent lentement…

Sacha : je ne sais pas… Tu sais bien que je ne suis pas le genre de gars super branché en Amour mais je peux te dire que c’est encore plus fort…

Pour toute réponse, elle déposa ses lèvres sur sa joue.

Ondine : Malheureusement, on ne peut que ce contenté de ça…

Après qu’Ondine est prononcé cette phrase, Sacha ne put s’empêcher de regarder l’anneau en argent qui briller autour de son annulaire. Ondine regarda aussi sa main droite. Ce bijou leur rappela la présence de Régis dans le cœur de la jeune femme.

Sacha : Tu l’aime ?

Ondine leva la tête vers le ténébreux brun.

Ondine : Pardon ?

Sacha se racla la gorge et plongea dans la marre d’Ondine. Les mots sortirent doucement.

Sacha : Régis, tu l’aime ?

Pour toute réponse, elle approcha doucement son visage de celui de Sacha. Leurs yeux se fermèrent dans un même mouvement. Leurs lèvres allaient se toucher une nouvelle fois mais il s’en fut autrement. Un jeune homme arriva dans la salle et les interpela.

J.H. : Excusez-moi de vous déranger mais je cherche la championne Ondine.

Ondine et Sacha avaient les joues rougies mais la jeune championne se leva.

Ondine : Que lui voulez-vous ?
J.H. : Ce serait pour la défié et gagner un badge cascade.

Ondine descendit les marches des gratins et défia le jeune homme. Sacha qui la regardait combattre remarqua que ça tactique de combat n’avait
toujours pas changé. Elle avait toujours le poing levé vers la victoire et ce visage impassible. La puissance des attaques de ses Pokémons avait encore augmenté et elle gagna le combat très facilement. Dès que le combat fut terminer et le dresseur partit, elle remonta vers Sacha.

Sacha : Félicitation, c’était un beau combat !
Ondine : Merci.
Sacha : Tu n’as vraiment pas changée, ta méthode combat est vraiment toujours aussi bien préparé.

Elle souria.

Ondine : Ma tactique et mes Pokémons, c’est comme un couple, quand ça marche, c’est fort et fait peut faire de très belle chose.

Un sourire triste s’afficha sur le visage de Sacha.

Ondine : Qu’es qu’il se passa Sacha ?
Sacha : Je ne sais pas pourquoi mais ton image m’a fait penser à … à Mélody.
Ondine : Ma fille ?

Sacha baissa la tête et partit une nouvelle fois dans ses pensées. La petite frimousse de cette fillette hantait souvent ses songes.

Sacha : Ondine…
Ondine : Oui Sacha ?
Sacha : Il faut que je t’avoue quelques choses…

Ondine le regarda de haute en bas.

Ondine : Je n’aime pas quand tu prends cette voix grave Sacha.

Il leva son regard vers elle mais ne la regarda pas dans les yeux.

Sacha : J’ai envie… enfin j’aimerais… J’aimerais adopter Mélody…

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Jacky : Je t’aime Aurore…

Elle ferma les yeux.

Aurore : S’il te plait ne me dit pas ça …

Jacky baissa les yeux et partit s’installer sur le canapé. Aurore qui ne sentit plus sa présence en face d’elle ouvrit grand les yeux. Elle le vit le visage dans les mains. Elle décida donc d’aller le rejoindre sur le canapé à ses côtés.

Aurore : J’aurais tellement aimé te rencontrer avant de connaitre Sacha…
Jacky : Qu’es que ça aurait changé ?

Elle ne répondit pas toute suite car elle cherchait ses mots.

Aurore : Eh bien, mon cœur serait libre et tu aurais pu y prendre une place très importante.

Il tourna la tête vers elle.

Jacky : Arrête de dire n’importe quoi s’il te plait… même s’il n’y avait pas eu Sacha, il y aurait eu quelqu’un d’autre …

Et il recommença à regarder le sol.

Aurore : Jacky.
Jacky : Oui.

Elle mit une main dans ses cheveux.

Aurore : J’ai envie que tu m’embrasse.

Cette phrase surprit Jacky qui se retourna vers elle. Elle était là, le visage découvert à le regarder. Il approcha son visage du sien mais s’arrêta à quelques millimètres de ses lèvres.

Jacky : Pourquoi joue-tu avec moi ?

Aurore qui avait les yeux clos, les ouvrit d’un seul coup et se recula.

Aurore : Ce n’était pas mon attention.

Elle se leva.

Aurore : Je pense que je devrais y aller.

Elle fouilla dans son sac à main et en sortit une petite clef qu’elle tendit à Jacky.

Jacky : Garde là… au cas où tu déciderais de revenir ou si tu as un problème…

Elle glissa la clef dans sa poche et s’aggroupia devant Jacky. Elle mit ses mains sur ses genoux et l’embrassa sur le front.

Aurore : Merci.

Elle se leva et partit vers la porte d’entrée.

Jacky : Aurore.
Aurore : Oui.

Elle se retourna.

Jacky : J’espère que cette histoire ne se finira pas comme ça…

Elle ouvrit la porte.

Aurore : Au revoir Jacky.

Il lui fit un geste bref de la main et elle partit en claquant légèrement la porte.

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Il eut un silence entre les deux amis qu’Ondine, abasourdis, brisa.

Ondine : Le seul problème, c’est que Mélody n’est pas une enfant à adopter… Elle a une mère et un…père.
Sacha : et c’est moi !

Elle se leva.

Ondine : Non, Sacha, son père s’est Régis…

Il se leva à son tour.

Sacha : Et moi, je suis quoi dans cette histoire ? Le gars qui vient te divertir quand tu en a besoin !
Ondine : Arrête de dire n’importe quoi s’il te plait ! Essayons de discuter calmement tous les deux.
Sacha : Le seul problème, c’est qu’avec Toi, on ne peut pas discuter ! Tu es tellement buté que j’aurais plus de chance à discuter avec le mur…
Ondine : QUOI ?!
Sacha : Tu m’as très bien entendu !

Ondine avança vers Sacha avant de le prendre par son tee-shirt. Elle voulait lui crier dessus mais les mots ne sortirent pas. Elle décida donc de le lâcher et planta un regard dur dans le sien.

Ondine : Pour la naissance Mélody et pendant les six premières années de sa vie, tu n’étais pas là et elle est devenue ce qu’elle est aujourd’hui grâce à Régis alors garde toi bien cette idée en tête : Mélody ne sera jamais ta fille…
Sacha : Tu ne peux pas …

Elle le coupa.

Ondine : Laisse-moi finir… Par contre, pour lui…

Elle posa ses mains sur son ventre.

Ondine : … tu es là. Alors sache que si c’est vraiment ton enfant, il portera ton nom et ton sourire.

Elle mit sa main dans la sienne.

Ondine : Maintenant, j’aimerais bien être un peu seul s’il te plait…

Sacha ne rajouta rien de plus. Il retira sa main de celle d’Ondine et il s’aperçut qu’un petit bout de papier avait été déposé dans sa paume. Le jeune Ketchum ne l’ouvrit pas toute suite, il préférait d’abord partir. Il descendit les gradins sous le regard de la jeune rousse. Une fois dehors, il prit une grande bouffée d’air fraiche et lut le petit mot d’Ondine :

« Mardi 14h Hôpital de Jadielle»

Il le rangea dans la poche de son jean et se retourna vers l’arène d’Azuria. Il regarda le ciel en se promettant que cette fois-ci, il ne commettrait les mêmes erreurs.

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moi aussi j'aimerai que le petit nouveau sois de Sacha et celui d'Annabelle de quelqu'un d'autre

C'est ça Sacha ne commet pas les mêmes erreurs ça vaut mieux

WOW!!! Tellement touchant j'ai versée une larme jte jure
suite

J'adore! J'ai aussi eu les larmes aux yeux! =')

C'est vrai que si l'enfant etait d'un autre de Annabelle ca arrangerait tout!! =P

Vite la suite je veux savoir qui est le vrai pere!

Ce qu'il y a de bien, c'est que chaques problèmes pourrait trouver une solution là pour la survie du AAML, faudrait juste que nos acteurs y mettent un peu de bonne volonté quoi!

Allez hop, en rang! Jacky avec Aurore!! Regis avec Olga, Ondine avec Sacha bien évidemment, et on ne se lâche pas la main les enfants! Et Annabel? Bah avec ton amant tient! Celui qui t'a fait le bébé. Si y'en a pas bah..que veux j'te dise moi??? Demande à Cécilia l'auteur de te trouver un beau et charmant jeune homme (quoi que même s'il était moche ça nous ferait une belle jambe! )

Allez vivement la suitte, j'ai hate de voir le déroulement de tout ça! C'était un super chapitre!

Alexandra34 a écrit:

Ce qu'il y a de bien, c'est que chaques problèmes pourrait trouver une solution là pour la survie du AAML, faudrait juste que nos acteurs y mettent un peu de bonne volonté quoi!

Allez hop, en rang! Jacky avec Aurore!! Regis avec Olga, Ondine avec Sacha bien évidemment, et on ne se lâche pas la main les enfants! Et Annabel? Bah avec ton amant tient! Celui qui t'a fait le bébé. Si y'en a pas bah..que veux j'te dise moi??? Demande à Cécilia l'auteur de te trouver un beau et charmant jeune homme (quoi que même s'il était moche ça nous ferait une belle jambe! )

Allez vivement la suitte, j'ai hate de voir le déroulement de tout ça! C'était un super chapitre!

D'accord avec toi sur tous ces poins Rachel ^^

Je suis en accord aussi ^^

waaah
ça y vas fort de ce coté

j'aimerais bien savoir comment il vont s'en sortir a ce stade

suite

J'ai adorer se chapitre
Hiii Sacha et Indine sont trop mignon ^^
vivement la suite